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La désinformation autour du film "Hors-la-loi"

Référence : 27001
2 avis
Date de parution : 1 septembre 2010
Auteur : MONNERET (Jean)
Collection : L'ETOILE DU BERGER
EAN 13 : 9782357910218
Nb de pages : 104
16.00
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Description
Le film Hors-la-loi nous est donné comme une "œuvre" franco-belge-tuniso-algérienne. Que voilà un bizarre conglomérat ! En précisant que cette "œuvre" a été financée à 40 % (et même 60 % selon certaines sources) par la France. Ce qui est un peu violent quand on sait que ce film est un procès à charge (et un procès truqué de bout en bout) contre la France. Le but de ce livre est donc de démontrer, textes et documents à l'appui, point par point les mensonges, les forgeries, les grossières erreurs historiques d'un film qui n'est qu'une grossière machine de propagande algérienne. Que le FLN et Bouteflika trouvent ça épatant, pourquoi pas ? Que la France ait payé pour se faire cracher dessus et diffuse ce cri de haine sur nos écrans passe l'entendement.  

Jean Monneret est Docteur en Histoire. Il a publié de nombreux livres et articles sur la guerre d'Algérie, notamment : La Phase finale de la Guerre d'Algérie et La Guerre d'Algérie en 35 questions. L'ouvrage qu'il présente ici dénonce les manipulations de l'Histoire à propos d'un autre grand événement, les troubles de Sétif du 8 mai 1945.
TitreLa désinformation autour du film "Hors-la-loi"
Auteur MONNERET (Jean)
ÉditeurATELIER FOL'FER (EDITIONS)
Date de parution1 septembre 2010
Nb de pages104
CollectionL'ETOILE DU BERGER
EAN 139782357910218
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)8
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)205
Poids (en Kg)0.12
Critique du libraire
L´auteur, docteur en histoire, a publié de nombreux livres sur la guerre d´Algérie. Il démontre, textes et documents à l´appui, les mensonges et les grossières erreurs historiques sur les troubles de Sétif du 8 mai 1945. Ce film, en grande partie financé par la France, se révèle n´être qu´une grossière machine de propagande pro FLN propre à attiser la haine anti-française.
Les avis clients
CERCLE DU LIVRE CHOISI
5/5 Reconquête
.----. Qui se souvient encore qu’en 1945, le parti communiste dit français, aux ordres de Moscou, était véhémentement partisan de conserver l’Algérie dans la France et qu’il traitait d’hitlériens les nationalistes du PPA (Parti du Peuple Algérien) appelant à leur mise hors d’état de nuire ? Qui pèse l’énormité fantasmagorique des mensonges du président algérien Bouteflika sur les événements de Sétif du 8 mai 1945 où le massacre d’Européens par une foule excitée et manipulée par certains nationalistes algériens avait entraîné certes une répression disproportionnée mais nullement de l’ordre des chiffres assénés ? C’est sur ces événements présentés selon cette désinformation que démarre le film Hors-la-loi, dont la médiocrité n’a d’égale que le mépris de la vérité des faits. Jean Monneret, docteur en histoire, auteur de plusieurs livres sur la tragédie algérienne, a écrit sur ce film, avec sa minutie habituelle, son souci scrupuleux de la vérification des faits et des références, un très utile ouvrage de désintoxication. Car, même s’il est historiquement nul, le film présenté comme une « œuvre » francobelge-tuniso-algérienne alimente encore l’incessante campagne de culpabilisation de la France par laquelle les mouvements d’Houria Bouteldja et de Saïd Bouamama appellent au « Nique la France ». Précisons que cette production a été officiellement financée à 40 % par nos fonds culturels, selon notre constant système de trahison... Il faut donc lire le travail de Monneret et en répercuter les arguments par tous les modes de contre-désinformation [ Reconquête, n° 271, septembre 2010 ]
Oeuvre de propagande ?
4/5 Présent .
.----. Un film anti-français financé à plus de 60 % par…la France ! Imagine-t-on un pays dans le monde qui donnerait de l’argent à ses ennemis pour leur permettre de lui cracher dessus, de réaliser un film le traînant dans la boue et d’ouvrir ses écrans nationaux à un tel film ? Non, bien sûr. C’est pourtant ce qui se passe avec le film de Rachid Bouchareb, Hors-la-loi, film franco-belgo-algéro-tunisien financé à 61 % par la France ! Dans le plan du financement, la part française (les Belges, les Algériens, les Tunisiens ne nous intéressant pas en l’occurrence), on trouve Canal Plus, CinéCinéma, Canal Horizons, France 2 et France 3 (des chaînes publiques qui touchent la redevance, à savoir notre argent…), les cadors de l’avance sur recettes, « Images de la diversité », la Sofica, etc. Bref, la part française s’élève à 12 539 200 euros. Nous vous avons déjà signalé l’antidote à ce film de propagande FLN, et nous aurons l’occasion d’y revenir, à savoir l’étude très étayée de Jean Monneret : La Désinformation autour du film “Hors-la-loi”. Jean Monneret, auteur de sommes qui font autorité (La Guerre d’Algérie en trente-cinq questions, La Fusillade du 26 mars 1962 à Alger, La Phase finale de la guerre d’Algérie, etc.), est un universitaire qui n’avance rien qu’il ne puisse démontrer par des textes. Hors-la-loi s’ouvrant sur l’affaire de Sétif, en 1945, il en reprend toute la genèse : la version pro FLN ; la version établie par les archives, les témoins et divers historiens ; l’étude de la version Bouchareb qui reprend la version FLN en l’aggravant, etc. Que les apparatchiks fellouzes (le peuple algérien, lui, ne s’en laisse plus conter) balancent sur le marché des œuvres propagandistes truffées de forgeries et de grossières erreurs historiques, pourquoi pas ? Mais qu’on leur permette de diffuser leur grosse machine de guerre haineuse en France (laquelle a largement financé ce cheval de Troie) sans que les autorités françaises n’y trouvent rien à redire, passe l’entendement. Jean Monneret a raison qui, par-delà le mensonge historique que constitue ce film, souligne les conséquences de sa diffusion : « Il est facile d’imaginer l’effet ravageur que peut avoir un tel film dans nos banlieues “sensibles”. Il n’est certes pas de nature à y calmer les esprits, ce serait même l’inverse puisque ceux qui y résident sont des immigrés et des descendants d’immigrés dont les pères ont connu jadis la colonisation française. Leur présenter cette image fausse du passé ne favorisera par leur difficile insertion dans notre société. Au contraire, cela ne peut qu’attiser dans leurs rangs, la haine contre notre pays. » Cela est tellement évident que l’on ne peut s’empêcher de penser – au niveau français (côté algérien, la question ne se pose pas) – que ce film fait partie de cette campagne qui consiste à substituer un « néo peuple » aux ignobles « de souche ». [ Signé : Alain Sanders dans " Présent ", n° 7184 du mercredi 22 septembre 2010 ]