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Les gaullistes vont en enfer

Référence : 33987
1 avis
Date de parution : 1 juin 2005
EAN 13 : 0010365600005
Nb de pages : 162
23.00
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Description
Figueras rend aux gaullistes la monnaie - qui ne leur plut guère - de leur pièce. Mais là où la pensée unique gaullienne imposait la machinerie lourde de la justice, le pamphlétaire se contente d'une féroce satyre. Une plume acérée dont la trace, en définitive, a vie plus longue que certains iniques jugements...
André Figueras (1924-2002), tout à tour résistant, journaliste, écrivain et polémiste, s'est battu toute sa vie contre les faussaires, et notamment ceux de l'Histoire contemporaine de la France. Loin des prébendes, par le fait, il n'y a récolté que des attaques, et, au fur et à mesure que les années passaient, l'enfermement dans l'insidieux silence auquel s'exposent ceux qui défient les vérités officielles. Un silence que, sur bien des sujets, et pour bien des raisons, il est salutaire de secouer...
TitreLes gaullistes vont en enfer
Auteur FIGUERAS (André)
ÉditeurFIGUERAS Mme André
Date de parution1 juin 2005
Nb de pages162
EAN 130010365600005
Épaisseur (en mm)12
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)180
Poids (en Kg)0.18
Les avis clients
Un jugement important .
5/5 Lectures Françaises / 1969.
.----. Poursuivi pour " apologie du crime de meurtre " en raison de certains passages de son livre " LES GAULLISTES VONT EN ENFER " ( du reste saisi avant même la parution ), notre ami A. Figueras avait été condamné, par défaut, en mai 1967, à deux mois de prison ferme et 40.000 F ( lourds ) d'amende. .----. Le jugement lui ayant été signifié en novembre dernier, il y avait fait opposition, et l'affaire est revenue le 20 février devant la 17e Correctionnelle.Plaidant pour M. Figueras, Me Jean-Marc Varaut indique tout de suite au Tribunal qu'il n'aborderait pas le fond de l'affaire. Selon lui, en effet, la loi d'amnistie de juillet 1968 concerne bien les textes incriminés, qui se rapportent à Degueldre et à Bastien-Thiry. .----. Le substitut du procureur s'abstint de requérir, et laissa le tribunal juge de l'application ou non de la loi d'amnistie. .----. Le 27 février, le tribunal rendait son jugement, il faisait droit aux conclusions de la défense et décidait que les faits, pour lesquels M. Figueras était poursuivi, se trouvaient couverts par la loi d'amnistie. Dans les dix jours qui lui étaient impartis, le Parquet ne fit pas appel à minima ; de sorte que ce jugement, le premier en l'espèce, est devenu définitif, et pourra faire jurisprudence. .----. Il semble donc qu'à partir de cette décision de justice, tous les gens de plume condamnés au cours de ces dernières années vont pouvoir demander à bénéficier de la loi d'amnistie. ( numéro, 144 - avril 1969 ).