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José Antonio - La phalange espagnole et le national-syndicalisme

Référence : 40310
2 avis
Date de parution : 1 septembre 2000
Auteur : IMATZ (Arnaud)
EAN 13 : 9782841911011
Nb de pages : 600
40.00
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Description
Plus de soixante ans après son exécution, le fondateur de la Phalange et théoricien du national-syndicalisme, José Antonio Primo de Rivera, suscite toujours la haine ou la ferveur, la répulsion ou l'admiration. Gangster, gouape aux allures de souteneur, homme de main du capital, fasciste arrogant, violent, dépourvu de toute qualité intellectuelle, selon certains, il est héros, martyr, modèle chrétien, paladin de la justice sociale, champion de la solidarité nationale, esprit privilégié parmi les plus prometteurs de l'Europe contemporaine, pour d'autres. Mais quel homme se cache-t-il donc derrière le masque de pierre que détracteurs et hagiographes ont plaqué sur son visage ?
A partir d'une masse considérable de faits, de documents et de témoignages, Arnaud Imatz apporte les réponses pondérées et argumentées de l'historien rigoureux. Mais il a surtout le mérite de montrer l'actualité de la pensée josé-antonienne et la cohérence de sa vision morale, politique et sociale. Républicain de raison, partisan d'une démocratie moins formelle et plus participative, José Antonio condamne à la fois la démocratie individualiste, paravent du régime ploutocratique et la démocratie collectiviste, camouflage de la dictature socialo-marxiste. Il cherche à assurer la dignité de l'homme dans le travail, à implanter une profonde justice sociale pour que le peuple puisse retourner à la suprématie du spirituel. Précurseur, il meurt pour avoir voulu trop tôt synthétiser les idées de droite et de gauche, concilier la Tradition et la Modernité.
Cet ouvrage de référence a été mis à jour et augmenté pour tenir compte des travaux les plus récents. Il contient la bibliographie la plus complète jamais publiée sur ce sujet.
TitreJosé Antonio - La phalange espagnole et le national-syndicalisme
Auteur IMATZ (Arnaud)
ÉditeurGODEFROY DE BOUILLON (EDITIONS)
Date de parution1 septembre 2000
Nb de pages600
EAN 139782841911011
Épaisseur (en mm)42
Largeur (en mm)155
Hauteur (en mm)215
Poids (en Kg)0.78
Critique du libraire
Édition actualisée et complétée. + 24 p. de photos hors texte. Un travail considérable sur le fondateur de la Phalange. Vous trouverez ici la vie, la pensée et l'influence de José-Antonio qui ne fait pas l'impasse sur l'étude de la société espagnole.
Les avis clients
Exhumée le lundi 24 avril 2023
5/5 https://www.medias-presse.info/
.----. Espagne, loi mémorielle liberticide : après Franco, la dépouille de José Antonio va être exhumée et déplacée. Le gouvernement de gauche espagnol, qui a exhumé en 2019 la dépouille de Franco de la valle de los Caidos située près de Madrid, a décidé de faire de même avec celle de José Antonio Primo de Rivera, fondateur du parti d’inspiration fasciste de la Phalange, enterré dans le même mausolée. Cette exhumation, véritable profanation du corps, aura lieu lundi prochain. Une loi mémorielle liberticide qui prévoit la suppression de tous les symboles franquistes et l’exhumation et transfert des dépouilles du Général Franco et de Jose Antonio Primo de Rivera Voulue par le premier ministre socialiste de 2007, José Luis Zapatero, la loi idéologique Fiano autorise la censure historique et s’en prend aux symboles, aux monuments et aux hommes de Franco. Dite « loi de la mémoire historique », elle prévoit, entre autres, la suppression de tous les symboles franquistes et l’exhumation et transfert des dépouilles du Général Franco et de Jose Antonio Primo de Rivera, enterrés à la Valle de Los Caidos, la Vallée de ceux qui sont tombés, un complexe monumental non loin de Madrid construit entre 1940 et 1958 par la volonté du Caudillo lui-même qui s’était engagé à faire de ce lieu un mausolée pour les Espagnols tombés des deux côtés de la guerre civile, avec une claire intention de pacification nationale. Cette loi, appelée aussi loi de « Mémoire démocratique », rappelle la fureur iconoclaste et liberticide que l’État islamique affectionne. Elle divise dans un pays où les blessures du passé ne sont pas refermées. La droite a promis son abrogation si elle revient au pouvoir. En 2019, et malgré les nombreuses protestations des Espagnols qui accusaient le gouvernement socialiste de rouvrir les vieilles blessures, les restes du défunt Caudillo Francisco Franco, décédé en 1975, furent exhumés et transférés dans le cimetière de Mingorrubio, dans la banlieue nord de la capitale espagnole. Pour Pedro Sanchez à la tête du gouvernement de gauche de l’époque, cette exhumation, soutenue par l’extrême gauche de Podemo, mettait fin à « l’affront moral de l’apologie de la figure d’un dictateur dans un espace public » et à « une anomalie pour une démocratie européenne » bien qu’elle ravivât ce que Franco avait su clore intelligemment, les plaies de cette guerre civile. La dépouille du héros phalangiste José Antonio Primo de Rivera sera exhumée le lundi 24 avril pour être transférée au cimetière de San Isidro de la capitale espagnole Cette passion iconoclaste pour le passé espagnol n’a pas cessé depuis lors. Hier jeudi 20 avril, le gouvernement espagnol, du même socialiste Pedro Sanchez, a annoncé qu’en vertu de la loi dite de « Mémoire démocratique », la dépouille du héros phalangiste José Antonio Primo de Rivera sera exhumée le lundi 24 avril au matin du mausolée du Valle de los Caídos pour être transférée au cimetière de San Isidro de la capitale espagnole. Depuis sa mort, en 1936, Primo de Rivera a occupé quatre sépultures. En mars 1959, une fois achevée la construction de la Vallée des morts, Franco ordonna le transfert de la dépouille de Juan Antonio à une place d’honneur dans la basilique, au centre, sous une pierre tombale avec une croix et seulement avec le nom de José Antonio. José Antonio, né à Madrid en 1903, est le fils du général Miguel, qui a pris le pouvoir en Espagne de 1923 à 1930. Il est un catholique de fermes convictions. Catholique de fermes convictions et fondateur de la Phalange espagnole, il sera exécuté par les Républicains José Antonio fut le fondateur de la Phalange espagnole, créée à Madrid en octobre 1933, bouclier et épée du peuple espagnol. Il décrira son mouvement en décembre 1934 : « La Falange Española de las JONS n’est pas un mouvement fasciste, elle a avec le fascisme quelques coïncidences sur des points essentiels de valeur universelle ; mais elle développe chaque jour ses caractères propres et ainsi est sûre de trouver précisément selon ce chemin ses possibilités les plus fécondes ». Averti par Azaña, président de la République espagnole et membre de la gauche, de son arrestation imminente et invité à quitter l’Espagne, il a décliné l’offre prétextant que sa mère n’allait pas bien. Azaña a souligné que la femme était décédée des années plus tôt et Primo de Rivera de répondre que sa mère était l’Espagne et qu’il ne pouvait pas l’abandonner. Cet amour inconditionnel pour la patrie sera la cause de sa mort. Il sera fusillé dans la prison d’Alicante par un peloton d’exécution à l’issue d’un procès-spectacle. Un procès idéologique dont mêmes certains membres du gouvernement Républicain voulurent se démarquer : « l’exécution de Primo de Rivera par peloton d’exécution fut un motif de profond dégoût pour moi » écrira l’un d‘eux, Francisco Largo Caballero, membre du Parti socialiste ouvrier espagnol. « On vous a dit que je suis un ennemi à tuer, mais vous ignorez que mon rêve était une patrie, du pain et de la justice pour tous les Espagnols, spécialement pour les pauvres et les déshérités. Crois-moi ! Quand tu es sur le point de mourir, tu ne peux pas mentir. » Telles furent ses dernières paroles adressées au peloton d’exécution qui va l’exécuter pour ses idées. José Antonio écrivit l’hymne de la Phalange « Cara al sol », Face au soleil. Fidèle à l’idée jusqu’au bout, puisqu’il a été tué d’un coup de fusil alors qu’il tenait le regard levé et tourné vers le soleil. Les Républicains à l’origine de son exécution ont de « dignes » héritiers en les personnes du socialiste Pedro Sanchez et de son gouvernement : la mémoire même de José Antonio Primo de Rivera doit être exécutée ! [ Signé : Francesca de Villasmundo le 21 avril 2023 ] P.S. : Médias-Presse-Info est un média original qui vise la vulgarisation de l'information d'une manière délibérément objective, libre et sans concession. Médias-Presse-Info est un site d'information auquel contribuent dans leurs domaines de compétence, des hommes et des femmes de tous horizons et de toutes catégories socio-professionnelles. Dans un marché de l'information toujours plus dense, les atouts sont nombreux. 2ème P.S. : les 5 étoiles sont données au livre bien entendu !
Pour information
3/5 https://www.breizh-info.com/
.----. José Antonio Primo de Rivera y Sáenz de Heredia, né le 24 avril 1903 à Madrid et mort le 20 novembre 1936 à Alicante, est un homme politique espagnol, fils du général Miguel Primo de Rivera et fondateur de la Phalange espagnole. Il est mort exécuté par les Républicains, le 20 novembre 1936 à Alicante, au début de la guerre d’Espagne. La veille du soulèvement militaire, le 17 juillet 1936, alors qu’il se sait condamné à mort et qu’il se sait perdu, il publie un dernier manifeste où il écrit : « Nous rompons aujourd’hui ouvertement avec les forces ennemies qui tiennent la patrie prisonnière. Notre rébellion est un acte de service pour la cause de l’Espagne. » Et il conclut par cet appel : « Travailleurs, agriculteurs, intellectuels, soldats, marins, gardiens de notre patrie : secouez votre résignation devant le tableau de son effondrement et venez avec nous pour une Espagne une, grande et libre. Que Dieu nous aide. ¡Arriba España! » Il a laissé de nombreux ouvrages politiques et théoriques derrière lui ( - par exemple - son anthologie traduite en Français). Parmi ses écrits, nous vous proposons de découvrir ce qu’il a écrit, en plusieurs points, à propos de la révolution, dans le contexte de la guerre civile espagnole (mais au final, ses écrits se révèlent intemporels). 9. … une société qui sait qu’elle doit se réformer, c’est qu’elle a conscience de sa propre injustice, et une société qui se croit injuste n’est pas capable de se défendre avec vigueur. 80. Nul ne joue sa vie pour un bien matériel. Les biens matériels, quels qu’ils soient, se placent toujours au-dessous du bien supérieur de la vie. Quand on met en jeu une vie «agréable», quand on risque ses avantages matériels, c’est qu’on se sent plein de ferveur mystique pour une religion, pour une patrie, pour l’honneur ou le sens nouveau de lia société dans laquelle on vit. 81. Les rebellions sont toujours le résultat pour le moins de deux ingrédients: le premier, diffus, est un élément intérieur, un manque de raison interne dans le régime en vigueur. Il faut que cet élément existe pour qu’une rébellion se produise avec des chances de triomphe. Pour qu’une rébellion soit seulement tentée, il faut qu’il y ait un certain mécontentement, un manque de raison de vivre dans le régime contre lequel la rébellion éclate. Cela est indubitable: des rebellions n’ont jamais éclaté que contre des régimes qui commençaient à devenir caducs. D’autre part, il faut qu’il existe un élément historique énergique qui, exploitant cet état de défaillance, ce manque de raison interne de vivre dans l’état politique qu’il s’agit de détruire se lance à l’attaque avec plus ou moins de succès. 82. Le fait de tout laisser rouler, arrive ce qui arrive, est une attitude caractéristique des époques fatiguées, dégénérées; laisser tout rouler est plus facile que de recueillir les morceaux, les arranger, séparer ce qui est bon de ce qui est périmé… La paresse ne serait-elle pas la muse de bien des révolutions ? 83 …Tout fait, tout régime historique qui s’impose par un acte de violence peut s’envisager de deux façons: soit comme une collection d’anecdotes, de dates locales et individuelles ou bien comme un phénomène entier, né d’un point de vue total, dans l’ordre du destin propre que cet ordre historique s’assigne à lui-même dans l’avenir. 84. Une révolution est toujours, en principe, une chose anticlassique. Toute révolution change le rythme, pour juste qu’il soit, de bien des unités harmoniques. Mais une révolution une fois en marche n’a plus que deux possibilités: ou elle inonde tout, ou on la canalise. Ce que l’on ne peut faire, c’est l’éluder, faire comme si on l’ignorait. 85. Une révolution est nécessaire quand, à la fin d’un processus de décadence, le peuple a déjà perdu ou est sur le point de perdre toute forme historique. 86. Une révolution —si elle veut être féconde et ne pas se disperser en émeutes éphémères— exige la conscience claire d’une norme nouvelle et une volonté résolue pour l’appliquer. 87. La révolution est nécessaire, non pas précisément quand le peuple est corrompu, mais quand ses institutions, ses idées, ses goûts, ont abouti à la stérilité ou sont sur le point de l’atteindre. A ce moment se produit la dégénérescence historique. Non la mort par catastrophe, mais le lent noyage dans une vie sans grâce ni espérance. Toutes les attitudes collectives naissent chétives, comme les produits de reproducteurs épuisés. La vie de la communauté s’aplatit, s’abêtit, se noie dans le mauvais goût et la médiocrité. Il n’y a, pas de remèdes à cela, sinon par une coupure et un nouveau commencement. Les sillons ont besoin de semence nouvelle, de semence historique, parce que l’ancienne a épuisé sa fécondité. Mais qui sera le semeur? Qui aura à choisir la semence et le moment pour la lancer sur la terre? Voilà le difficile 88. Quiconque médite ces minutes est obligé de se poser cette question: «a la fin d’une période historique stérile, quand un peuple —par sa propre faute ou par celle d’autres— a laissé rouiller tous ses grands ressorts, comment peut-il mener à bien, par lui-même, l’immense tâche de sa propre régénération?»… Un peuple tombé est incapable de concevoir et d’appliquer la règle. En cela consiste le désastre. Avoir en main les ressorts précis qu’il faut pour mener a bien une révolution féconde, est un signe indubitable que la révolution n’est pas nécessaire. Et, au contraire, avoir besoin de la révolution, c’est manquer de la clarté et de l’impulsion nécessaires pour l’aimer et la réaliser. En un mot, les peuples ne peuvent se sauver en masse par eux-mêmes parce que le fait d’être apte à réaliser son salut prouve déjà que l’on est sauf. 89. La masse d’un peuple qui a besoin d’une révolution ne peut pas faire la révolution 90. Les peuples n’ont jamais été mis en mouvement que par les poètes, et malheur à celui qui ne sait pas élever en face de la poésie qui détruit la poésie de l’espoir. 91. Quiconque se lance dans l’entreprise d’une révolution prend par là même l’engagement de la terminer, ce qu’il ne peut pas faire c’est l’escamoter. 92.Malheur à ceux qui n’affrontent pas l’âpre torrent de la révolution — aujourd’hui encore plus ou moins invisible— pour canaliser vers le bien toute son impétuosité. 93. … la révolution ne peut être sauvée que si elle trouve un homme que les masses ne tardent jamais à traiter de «traître». Les masses, dans leur inconscience ingénue, considèrent toujours comme tiède ce que font les chefs; elles se croient toujours trahies. Il est vain de chercher à échapper à cette réprobation en cédant de plus en plus à leurs cris. Il n’y a qu’une espèce d’hommes qui échappe au châtiment que les masses infligent à ceux qu’elles accusent de trahison; ce sont ceux qui ne se préoccupent pas d’être fidèles aux petits côtés de la révolution, mais qui savent deviner son sens profond et la libérer par des voies que, sans eux, la masse n’aurait même pas soupconnées. Paradoxe sans doute, mais ces traîtres sont les seuls serviteurs loyaux et efficaces de la destinée populaire. 94. Les chefs d’un mouvement, révolutionnaire ont l’obligation de supporter, entre autres, l’accusation de trahison. La masse croît toujours qu’elle est trahie. Rien n’est plus inutile que d’essayer de la flatter pour échapper à cette accusation. 95. Aucune révolution ne produit de résultats stables si elle n’enfante pas un César. Lui seul est capable de deviner le courant historique souterrain d’arrière la clameur éphémère des masses. La masse généralement ne le comprend pas et ne lui accorde aucune reconnaissance. Pourtant, lui seul la sert. 96. La révolution est l’oeuvre d’une minorité résolue, inaccessible au découragement, d’une minorité dont la masse ne comprend pas les premiers mouvements parce que, victime d’une période de décadence, elle a perdu cette chose précieuse qu’est la lumière intérieure. 97. Un acte révolutionnaire quelconque ne se justifie pas, et ne s’est jamais justifié conformément aux règles de l’ordre juridique antérieur à la révolution. Tout système politique existant dans le monde, sans aucune exception, est né de la lutte ouverte contre l’ordre politique régnant, parce que les prérogatives des ordres politiques ne comprennent pas la faculté de tester. 98. … Un régime révolutionnaire ne trouve sa justification que dans ses états de service, dans ses états de service considérés sous l’angle historique et non sous l’angle anecdotique et mesurés par la confrontation entre ce que se proposait le régime révolutionnaire au jour de la rupture avec le régime antérieur et ce qu’il laisse après lui à la fin de son cycle. [ Publié le 22 novembre 2020 sur breizh-info.com ]