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Jeanne Jugan

Référence : 43377
1 avis
Date de parution : 21 août 2009
EAN 13 : 9782916727561
Nb de pages : 294
19.50
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Description
Extraordinaire destin que celui de Jeanne Jugan (1792-1879), née près de Cancale en pleine tourmente révolutionnaire et honteusement déchue de sa charge de fondatrice. Dès son plus jeune âge, sa vocation la porte à servir le Christ à travers les pauvres car pour elle, la misère engendre le vice. Membre du Tiers-Ordre de saint Jean Eudes, elle investit tout un héritage pour venir en aide et loger les vieillards. C'est le début de la congrégation hospitalière des "Servantes des pauvres", puis des "Petites Sœurs des pauvres" qui allait se développer dans le monde entier...  

Historien scrupuleux doublé d'un merveilleux conteur, Francis Trochu (1877-1967) est connu dans le monde entier pour sa vie du saint curé d'Ars. Homme de l'Ouest, sa proximité de coeur et d'esprit avec la fondatrice de la congrégation des Petites soeurs des pauvres apparaît ici en pleine lumière de prêtre humble et sage. 
TitreJeanne Jugan
Auteur TROCHU (Mgr Francis)
ÉditeurVIA ROMANA (EDITIONS)
Date de parution21 août 2009
Nb de pages294
EAN 139782916727561
PrésentationBroché
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)205
Poids (en Kg)0.34
Critique du libraire
Jeanne Jugan canonisée le 11 octobre 2009 en même temps que Damien de Veuster.
Nous n'avons pas pu comparer cette édition avec les précédantes .
Il y a au moins une édition en 1947 chez Vitte
et une édition en 1961 pour la maison mère des petites soeurs des pauvres, La tour saint joseph .
Les avis clients
L'étonnant destin .
5/5 Politique Magazine .
.----. Jeanne Jugan,l'éminente dignité des pauvres -....********....- Il n'aura fallu rien moins qu'un pape polonais et un pape allemand pour porter sur les autels cette petite bretonne de Cancale du XIXe siècle, pourtant si peu impressionnante qu'un ecclésiastique peu scrupuleux et bien en cour a pu sans peine l'écarter de l'œuvre qu'elle avait elle-même fondée. On pourrait ainsi résumer l'étonnant destin de Jeanne Jugan. Ce serait historiquement exact. Ce serait aussi risquer de passer à côté du bouleversant témoignage de Jeanne. Ce que Jean-Paul II en la béatifiant, Benoît XVI en la canonisant le 11 octobre dernier, ont voulu affirmer au monde, croyant ou incroyant, c'est que le véritable service des pauvres ne se nourrit que de la charité. Les organisations humanitaires, au plus sincère de leurs engagements, ne peuvent durablement échapper à cette vérité de fond. Il en va de même pour les nations, dont le premier devoir est la justice envers les pauvres. Jeanne Jugan portait en elle-même toute la réponse : seul son cœur la conduisait, à l'image de celui de son seul maître. Il faut avoir lu la petite monographie que lui a consacrée Mgr Trochu, dont le récit de la vie du Curé d'Ars a assis la notoriété, et être reconnaissant à Gérard Bedel d'en avoir suscité la réédition. On y voit comment, à travers une histoire très humaine, trop humaine, avec ses moments lumineux et sa très douloureuse part d'ombre, une œuvre exceptionnelle s'établit et une sainteté s'épanouit -....********....- Cette œuvre, on la connaît, les plus pauvres surtout la connaissent, ce sont les Petites Sœurs des Pauvres. C'est à Saint-Servan, aujourd'hui un quartier de Saint-Malo, que tout a commencé, dans un grenier que Jeanne appelait la « mansarde ». Elle s'y était installée avec une amie. Un jour, au début de l'hiver 1839, elle y accueillit « une vieille aveugle, à moitié paralysée, toute seule par ces premiers grands froids. » Une autre arriva quelque temps plus tard. Révolution industrielle rimait alors avec extension du paupérisme. À Saint-Servan, elle rima aussi avec explosion de la charité. Une explosion que le monde n'avait pas fini d'entendre. [ signé " Ch.T. " dans le numéro 79 - novembre 2009 de " Politique Magazine " ( 7 rue Constance - 75018 - Paris ) ]