Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

Le soi-disant anti-racisme

Référence : 61826
1 avis
Date de parution : 1 mars 1995
Éditeur : DIFRALIVRE
EAN 13 : 0000281200007
Nb de pages : 102
80% 8.85 1.77
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié aujourd'hui
Voir la disponibilité en magasin

Description
  Au sommaire :
- Jean Madiran : préface de la seconde série
- Georges-Paul Wagner : La loi de 1972
- Jean Madiran : Abroger ou compléter
- Georges-Paul Wagner : L'anti-racisme contre la nation
- Jean Monnerot : Racisme et identité nationale
- Georges-Paul Wagner : La loi de 1990  

Annexes :
- Lettre au directeur du "Monde"
- Observations complémentaires sur la loi de 1990
- La commission des droits de l'homme :
1. Aide mémoire sur le commissariat de police
2. Son anti-racisme sans racisme 
TitreLe soi-disant anti-racisme
Auteur MADIRAN (Jean) , WAGNER (G-P) , MONNEROT (J)
ÉditeurDIFRALIVRE
Date de parution1 mars 1995
Nb de pages102
EAN 130000281200007
Épaisseur (en mm)8
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)215
Poids (en Kg)0.13
Biographie
Jean MADIRAN (1920-2013)
Jean MADIRAN (1920-2013) Né le 14 juin 1920 à Libourne, décédé à Paris le 31 juillet 2013, Jean Arfel, alias Madiran, Lagor ou Castetis, devient disciple de Charles Maurras qu'il rencontre pour la première fois en 1942.  

Jean Madiran : l'itinéraire s'achève  

Jean Madiran est mort le 31 juillet. Le fondateur du quotidien Présent était une figure de la presse politique française. Né en 1920, Jean Arfel écrit sous son nom ses tout premiers articles dans la Revue universelle, proche de l'Action française quelques mois avant le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale. Remarqué par Charles Maurras, qui le considère très vite comme l'un de ses jeunes dauphins, ce fervent partisan de la Révolution nationale, voulue par le Maréchal Pétain, fonde après la guerre L'indépendance française, qui, entre 1946 et 1950, accueille d'anciens journalistes de l'Action française comme Pierre Varillon. Très vite, à travers un itinéraire spirituel exigeant, il devient l'un des censeurs de la politisation à gauche de l'Eglise de France, contre laquelle il écrit deux livres retentissants, Ils ne savent pas ce qu'ils font et Ils ne savent pas ce qu'ils disent (1955), qui consacreront son talent d'essayiste. En 1956, il fonde la revue Itinéraires, qui, jusqu'en 1996, sera le symbole de la résistance spirituelle des catholique au processus d'autodestruction de l'Eglise, défendant avant que quiconque y ait seulement songé, la pérennité de la liturgie traditionnelle. Dans des Editoriaux, à la rhétorique ciselée, il perpétue quelque chose de la voix grave et obsédante de Charles Péguy. Une collection Itinéraires groupe autour de la revue des contributeurs de talent, de Henri Massis aux frères Charlier et à Louis Salleron. En 1968, Jean Madiran publie L'hérésie du XXème siècle. La revue tend à devenir l'expression d'une véritable école de pensée traditionaliste catholique. C'est dans cette perspective qu'en 1982, avec Romain Marie, François Brigneau et Pierre Durand, il fonde le quotidien Présent, dont il sera le directeur de la rédaction, le directeur de la publication et jusqu'aujourd'hui le directeur émérite et chroniqueur brillant.
Proche de Mgr Lefebvre, il avait refusé d'opter en 1988 en faveur des sacres illégaux de quatre évêques, préférant la position légitimiste de son vieil ami Dom Gérard Calvet, prieur puis abbé du monastère bénédictin du Barroux. Proche du Front national et de Jean-Marie Le Pen, il n'avait pas voulu vouer aux gémonies Bruno Mégret, lors de la scission de 1998, considérant qu'un journaliste n'avait pas à prendre parti dans une affaire d'hommes. Rappelant plusieurs fois par semaine, dans Présent, les fondamentaux du combat national et catholique, il publie de nombreux livres parmi lesquels, en 2002, Une civilisation blessée au cœur, qui passe pour son testament politique et La révolution copernicienne dans l'Eglise qui est son testament spirituel. 
[ Publié le jeudi 1 août 2013 par Minute ]    
Voir plus
Critique du libraire
4e édition.
Les avis clients
Indispensable si vous voulez comprendre !
5/5 Jean Saumur 49.
Il est indispensable de lire ce texte si vous voulez comprendre tout ce qui se dit sur le racisme . J'ajoute que vous proposez la quatrième édition de ce petit livre, elle est beaucoup plus complète et assez rare car l'éditeur n'a plus d'activité !