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N°102 Juil/Août 1983 - Henri V, Comte de Chambord, René Guénon

Référence : 64828
Date de parution : 1 juillet 1983
EAN 13 : 0000356900009
Nb de pages : 56
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Description
SOMMAIRE 
  • Chanson d'un soir de printemps, par Henri Courmont 
  • La démocratie fondée sur le suffrage universel conduit normalement à l'anarchie et à la dictature, par H. Le Caron 
  • L'Astrado, revue bilingue de Provence 
  • Entretien avec Alain Jossinet auteur de "Henri V, Duc de Bordeaux, Comte de Chambord" 
  • Quelques notes sur les funérailles du Comte de Chambord à Goritz le 3 septembre 1883 par Luigi Bader 
  • Le Comte de Chambord et les siens en exil de Luigi Bader par Alain Jossinet 
  • Les dernières roses à Rosny (Marie-Caroline de J. Dinfreville) par J. Ploncard d'Assac 
  • La bataille des Idées par J. Ploncard d'Assac
  • (Le chroniqueur ; Jean Madiran, La Chrétienté - Regard sur la Chrétienté par Dom Gérard, Figueras - Les résistants à la Popaul, les derniers jours de la Patrie. Le Fossoyeur de la Monarchie ; Boulanger) 
  • Esotérisme et Christianisme autour de René Guenon de Marie-France James par Jean Vaquié 
  • L'Imposture Guenonienne ; Le mythe de l'androgyne ou le démon substitué au Christ (suite)
  • (Le Rebis alchimique - Le cordonnier de Gôrlitz - Séraphitus - Séraphita - L'inconscient collectif - La fascination hermaphrodite - La contagion gagne Le Serpent Ouroboros - La substitution finale) 
  • Liste des articles de Jean Vaquié sur R. Guenon 
  • Le carrefour d'Action Française (23, 24 avril) 
  • Le prix Robert Brasillach 1983
  • TitreN°102 Juil/Août 1983 - Henri V, Comte de Chambord, René Guénon
    Auteur LECTURE ET TRADITION
    ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
    Date de parution1 juillet 1983
    Nb de pages56
    EAN 130000356900009
    Épaisseur (en mm)3
    Largeur (en mm)147
    Hauteur (en mm)210
    Poids (en Kg)0.07
    Critique du libraire
    La démocratie fondée sur le suffrage universel conduit normalement à l'anarchie et à la dictature
    Il existe bien des formes de démocratie. L'occident se dit sincèrement démocrate. Les régimes communistes prétendent également être des démocraties populaires, mëme quand ils font tirer sur le peuple, comme en Pologne.
    Le mot "démocratie" est une étiquette qui couvre des marchandises très différentes.
    Nous allons démontrer, en prenant le cas de la démocratie idéale, celle du gouvernement du peuple par le peuple, fondée sur le suffrage universel, qu'un tel système n'est pas viable lorsqu'il n'y a nul truquage ou escamotage de la volonté populaire. Il conduit le plus souvent à la dictature d'un parti unique dont les dirigeants prétendent exprimer la volonté du peuple ; ce qui constitue la plus grande escroquerie des temps modernes. Gouverner soit disant au nom du peuple quand on est parvenu au pouvoir, ne signifie pas que l'on respecte sa volonté.
    1 - La démocratie authentique est une utopie qui méconnaît les réalités de la nature humaine.
    Déjà Montesquieu constatait qu'il faut la Vertu dans la Rébublique. La démocratie fondée sur le suffrage universel serait le meilleur des systèmes politiques si, dans leur majorité, les hommes étaient intelligents, sages, bons, fraternels, attachés au bien public et ne se laissaient pas dominer par l'envie et par la jalousie.
    Mais, hélas, par leur nature ils ne répondent pas à ce portrait idyllique et le laïcisme de l'Etat n'a fait qu'accroît re leurs tendances mauvaises.
    Notre démocratie francaise est détestable parce qu'elle est fondée sur les idées fausses de la Révolution qui en constituent les dogmes.
    a) L'homme n'est pas souverain par nature.
    Dieu seul est souverain. Or, les démocrates qui ont le culte de l'homme rejettent le plus souvent toute souveraineté autre que la sienne.
    Pour la même raison, ils n'admettent, lorsqu'ils parlent des droits de l'homme, aucune loi supérieure qui s'impose à lui.
    Mais l'homme qui n'est pas souverain par nature, ne possède aucun droit découlant de cette prétendue souveraineté. Ses seuls droits découlent des devoirs qu'il a envers Dieu son créateur.
    (...)