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N°197/198 Juil/Août 1993 - Maréchal Pétain, Marxisme pas mort ! Thérèse Neumann

Référence : 64915
Date de parution : 1 juillet 1993
EAN 13 : 00003682
Nb de pages : 32
3.50
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Description
  • Editorial : Pétain et la Royale, par Jean-Baptiste Geffroy.  
  • Deux livres de Jacques le Groignec ("Entre ciel et terre" -"Pétain, gloire et sacrifice"), par Claude Mouton-Raimbault.  
  • Un peu d'histoire politique à propos du "Mystérieux docteur Martin", par Henry Coston.  
  • Nous avons reçu, par Jean Auguy.  
  • Mes lectures de ce mois, par André Figueras. 
  • Marxisme, pas mort, par Claude Mouton-Raimbault.  
  • Notes de lecture, par Henri Servien.  
  • Fric-Santé de Marc Dem, par Daniel Raffard de Brienne.  
  • L'Apocalypse de Jean, d'Edouard Delebecque, par Olivier Pressaire.  
  • Contre-Encyclopédie: Thérèse Neumann.  
  • Critique du libraire
    Editorial (extrait) : Pétain et la Royale
    "Vichy, société protectrice des amiraux" ! Tel était le mot un peu féroce qui circulait en France pendant l'occupation et qui voulait brocarder l'omniprésence de la Marine dans les instances politiques et administratives du Gouvernement de Vichy. Le mot était, bien entendu, excessif et caricatural; il exprimait cependant une certaine réalité. De fait, ils s'appelaient Darlan, Estéva, Abrial, Gensoul, Decoux, Auphan, Platon; ils furent chef du gouvernement, ministres, secrétaires d'Etat, gouverneurs et administrateurs de l'Empire. Ces marins et leur flotte jouèrent en effet un rôle capital sur lequel André Figueras a voulu par deux livres-témoins d'un grand intérêt, apporter un éclairage particulier. Le premier est consacré aux onze amiraux ayant éprouvé les rigueurs de la justice épuratrice de l'après-guerre; le second, intitulé Pétain et la Marine, dresse, à travers quelques témoignages clés, le bilan de l'oeuvre accomplie par la Marine française sous l'autorité du Maréchal pendant cette période douloureuse. La tragédie de la marine française est dans l'ambiguïté de son destin où se côtoient bien souvent les plus beaux titres de gloire, et les plus navrantes épreuves, et pourtant sans que jamais l'honneur ait été sacrifié.
    En juillet 1940, la Marine apparaissait comme la seule arme qui ne fut pas marquée par la défaite. Seule dans la tourmente générale, elle restait invaincue, les tragiques épisodes de Mers-el-Kebir et de Dakar ne relevant pas du conflit franco-allemand.