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N°314 Avril 2003 - Algérie : le gâchis fatal de l´Algérie française à la France Algérienne

Référence : 65003
Date de parution : 1 avril 2003
EAN 13 : 00008285
Nb de pages : 32
3.50
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Description
SOMMAIRE
Editorial : "L´année de l´Algérie en France", par Claude Mouton-Raimbault.  
Algérie : le gâchis fatal, de Christian Agius, par Claude Mouton-Raimbault.
Ultime bataille livrée à la France ? (de l´Algérie française à la France algérienne) par Georges Dillinger.
Sainte Philomène.
Discours prononcé à Paris le 11 février 2003 pour la remise du prix Saint-Louis de l´année précédente à la version française d´Apaiser la terreur de William Bush, par Jean-Paul Besse.
Un fait militaire capital bouleverse l´histoire médiévale, par René Olivier.
Courrier des lecteurs : à propos du livre de Jacques Viret "Le chant grégorien et la tradition grégorienne".  
Rien de grave, de Gabrielle Cluzel, par Daniel Raffard de Brienne.
Viva Christo Rey !  
Maurras en justice, de Georges-Paul Wagner, par Daniel Raffard de Brienne.
Nous avons reçu
TitreN°314 Avril 2003 - Algérie : le gâchis fatal de l´Algérie française à la France Algérienne
Auteur LECTURE ET TRADITION
ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
Date de parution1 avril 2003
Nb de pages32
EAN 1300008285
Épaisseur (en mm)3
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.05
Critique du libraire
EDITORIAL
"L'année de l'Algérie en France"
Après avoir crié "Vive l'Algérie française !" et promis d'assurer aux rebelles de l'intérieur "la paix des braves" en les invitant à laisser "les poignards aux vestiaires", on sait que De Gaulle a liquidé dans un effroyable bain de sang non seulement les européens civils et militaires, ainsi que les harkis, favorables à la France, mais aussi des combattants de l'intérieur qui voulaient se rendre - qu'on se souvienne de l'affaire Si Salah ! - en les livrant aux couteaux des égorgeurs. Tout cela pour négocier avec le seul G.P.R.A., gouvernement fantoche de communistes en exil, formés à Moscou et dans les pays de l'Est, qu'il avait publiquement récusés comme "interlocuteurs valables" afin de mieux, dans sa duplicité, asseoir leur dictature.
C'est ainsi que l'Armée française, victorieuse sur le terrain, a été battue après la perte de l'Indochine.
C'est ainsi, en outre, que, sans un coup de feu, Boumedienne, ses commissaires politiques et sa bande, dite "Armée de Libération Nationale" (ALN) ont pu franchir la ligne Morice, s'installer au pouvoir, imposer aux Algériens "indépendants" la férule d'une nomenklatura, qui fit aussitôt main basse sur les hydrocarbures sahariens découverts par la France et que De Gaulle avait fait semblant de préserver, lors des "accords" d'Evian... que le GPRA ne signa même pas !
Cette nomenklatura des "généraux", qui se perpétue depuis, y compris sous Bouteflika, a généré - c'est le cas de le dire - des maffias qui s'en mettent plein les poches grâce à ce pactole, au mépris des richesses diversifiées qu'avait su faire fleurir une colonisation bienfaisante de cent-trente ans (l'agriculture, le tourisme, etc... , ont été anéantis) et au mépris d'une explosion démographique qu'elle pousse au chômage et à l'émigration, avec les arrière-pensées que l'on sait. C'est dans ce contexte que le tapis rouge a été déroulé pour la visite de Bouteflika en France en l'an 2000 et, cette année, pour la visite de Chirac en Algérie. Le journal "Le Monde" a inauguré cette "nouvelle ère" qui n'est que la continuation de la précédente par des encarts publicitaires tendant à faire croire que l'Algérie (sans la colonisation, bien sûr, et haro sur elle !) est en train de redevenir un "petit paradis".
(...)