Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

N°381/382 Nov/Déc 2008 - Un Appel à l´Amour Message du Sacré-Coeur à soeur Josefa Menéndez

Référence : 65058
Date de parution : 1 décembre 2008
EAN 13 : 0010792600005
Nb de pages : 32
3.50
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié aujourd'hui
Voir la disponibilité en magasin

Description
SOMMAIRE
Un Appel à l´Amour Message du Sacré-Cœur à sœur Josefa Menéndez, par François Bonin-Lacour
Philippe Pétain et le Sacré-Cœur, par Claude Mouton-Raimbault
-Une position nuancée durant la Grande Guerre
-Tentative d'explication
-Une incidente
-Une pré-régularisation
-Une nouvelle contestation
-L'acte de mariage
-Une position plus engagée durant la Seconde Guerre mondiale
-Une réponse dilatoire de l'épiscopat
-L'épiscopat a-t-il quelque chose à voir avec la consécration ?
Quand Pie XII demandait au général De Gaulle la réhabilitation du maréchal Pétain, par Claude Mouton-Raimbault
-Ce qu'écrivait Rémy
-Ce qu'écrivait Maître Isorni
-Ce n'était qu'une promesse...
-Qu'est devenu le fanion du Maréchal ?
Legenda. Le monde du livre et de l´édition
-Le grand siècle de l'Action française (F.M. Algoud)
-L'histoire oubliée des guerres d'Italie (J. Heers)
-Souvenirs (de G. de Diesbach)...
Un cadeau de François-Marie Algoud
1958-2008 : Henri Béraud, toujours vivant.
TitreN°381/382 Nov/Déc 2008 - Un Appel à l´Amour Message du Sacré-Coeur à soeur Josefa Menéndez
Auteur LECTURE ET TRADITION
ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
Date de parution1 décembre 2008
Nb de pages32
EAN 130010792600005
Épaisseur (en mm)2
Largeur (en mm)148
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.06
Critique du libraire
Un Appel à l'Amour. Message du Sacré Coeur à soeur Josefa Menéndez
(Ed Oeuvre du Sacré-Coeur)
Chaque jour qui passe nous apporte son lot de violences, de mensonges et de haine. Encore plus grave est la banalisation de la violence ordinaire. Même si chacun d'entre nous refuse cette banalisation, on prend facilement des mesures pour éviter cette violence, en n'allant pas dans une banlieue réputée dangereuse, en rentrant tôt chez soi, en mettant en place des systèmes de surveillance qui se révèlent plus gênants pour l'usager quotidien que pour le malfaiteur qui veut rentrer dans un immeuble dont l'entrée est sécurisée par un digicode : il suffit qu'en sortant vous teniez poliment la porte à celui qui veut entrer, pour, peut-être, faire pénétrer le loup dans la bergerie.
André Glucksmann, qui avait été révélé par son livre Le Discours de la Guerre, a publié, il y a quelques années Le Discours de la Haine. A propos de cette dernière il affirme : "Tantôt brûlante et brutale, tantôt insidieuse et glaciale, une haine inlassable hante le monde. Son spectre obstiné et têtu saccage les relations privées et les affaires publiques. A chacune de ses apparitions on fait mine de tomber des nues. Et chacun de s'offusquer, découvrant que mairies, écoles et commissariats n'éradiquent pas les conflits entre cages d'escalier, tout comme l'ONU, armée de sa sacro-sainte loi internationale, peine lamentablement à instaurer une paix planétaire partout souhaitée, partout rêvée, sans cesse dynamitée. La myopie perdure et ceux qui décidément veulent mourir idiots entonnent l'éternelle antienne du : "Comment est-ce possible au XXè siècle ?", retoquée au goût dujour : "Comment est-ce possible au XXIè ?"".
La prétention d'avoir tourné la page gouverne les qu'en-dira-t-on.
N'avons-nous pas relégué les haines collectives dans les livres d'Histoire et renvoyé les méchancetés individuelles aux bons soins des psychologues ? Peu importent les avertissements qu'assènent les innombrables pépins de l'actualité, l'euphorie moderne passe outre et s'empresse illico de démentir savamment ces démentis. Tout s'explique, se comprend, s'excuse.
(...)