Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

Qui est Nubius ? De la conjuration antichrétienne à l´usurpation de Jean XXIII

Référence : 73923
2 avis
Dès les années 1820, la Franc-maçonnerie oeuvre au plus grand complot de l'histoire : l'infiltration de l'Église en vue de placer à sa tête "un pape selon ses besoins", faisant triompher l'idéal révolutionnaire. 
À la tête de cette conspiration, un mystérieux personnage, connu sous le pseudonyme de Nubius, ayant conscience que son projet prendrait un siècle, donne directives et instructions à ses lieutenants, répartis à travers toute l'Europe, pour semer la corruption.
Renforcée par le poison moderniste, la cinquième colonne mine la hiérarchie de l'Église, au point de parvenir, en 1958, à placer sur le Trône de Pierre, le faux pape Angelo Roncalli, alias Jean XXIII, initiateur du conciliabule Vatican II, duquel naît une secte hérétique, schismatique et homophile, éclipsant l'Église.
Depuis lors, grâce à un faux clergé professant une religion moderniste et gnostique, la fausse église a entraîné le corps ecclésial dans l'apostasie. Seul un petit nombre de catholiques a échappé à l'hécatombe en restant fidèle à l'enseignement de l'Église.
Le devoir du pusillus grex est de faire éclater aux yeux du monde, par la confession de la foi, que la secte moderniste, gnostique et homophile, qui a usurpé l'autorité en 1958, n'est pas l'Église instituée par Jésus-Christ, mais sa diabolique contrefaçon.
15.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié à partir du 22 avril
Voir la disponibilité en magasin

Description
Dès les années 1820, la Franc-maçonnerie oeuvre au plus grand complot de l'histoire : l'infiltration de l'Église en vue de placer à sa tête "un pape selon ses besoins", faisant triompher l'idéal révolutionnaire. 
À la tête de cette conspiration, un mystérieux personnage, connu sous le pseudonyme de Nubius, ayant conscience que son projet prendrait un siècle, donne directives et instructions à ses lieutenants, répartis à travers toute l'Europe, pour semer la corruption.
Renforcée par le poison moderniste, la cinquième colonne mine la hiérarchie de l'Église, au point de parvenir, en 1958, à placer sur le Trône de Pierre, le faux pape Angelo Roncalli, alias Jean XXIII, initiateur du conciliabule Vatican II, duquel naît une secte hérétique, schismatique et homophile, éclipsant l'Église.
Depuis lors, grâce à un faux clergé professant une religion moderniste et gnostique, la fausse église a entraîné le corps ecclésial dans l'apostasie. Seul un petit nombre de catholiques a échappé à l'hécatombe en restant fidèle à l'enseignement de l'Église.
Le devoir du pusillus grex est de faire éclater aux yeux du monde, par la confession de la foi, que la secte moderniste, gnostique et homophile, qui a usurpé l'autorité en 1958, n'est pas l'Église instituée par Jésus-Christ, mais sa diabolique contrefaçon.
Les avis clients
nubuis
3/5 eliane
Je n'ai pas lu ce livre, mais le pape Jean XXIII m'a toujours préoccupé, ce Concile que la Vierge ne voulait pas ! Paul VI a été prévenu de l'annuler par une envoyée de Dieu, .je ne sais par qui ?
" USURPATEUR JEAN XXIII " !! ??
1/5 Yvan
On lit : « la secte moderniste, gnostique et homophile, qui a USURPÉ l'autorité en 1958, n'est pas l'Église instituée par Jésus-Christ, mais sa diabolique contrefaçon »… Ce livre est-il à ranger dans le roman noir ou le livre d’horreur à sensation ? On ne sait pas bien, à moins que ce soit un livre d’humour (noir bien sûr)… En tous cas, c’est clairement annoncé même dans le titre : « L’USURPATION de Jean XXIII » !? Revenons dans le monde du réel, n’en déplaise à l’auteur qui n’a vraiment aucune notion théologique : Précisons en effet que le cardinal Roncalli était évêque titulaire Patriarche de Venise, et le cardinal Montini, archevêque de Milan (le plus important diocèse d’Italie), sacré évêque le 12 décembre 1954 à Saint-Pierre de Rome (traditionnellement, il s’agit là de deux Sièges cardinalices et papabile) par la grâce et la volonté de Pie XII, l’un comme l’autre… Non déposés canoniquement, non démissionnaires… Non excommuniés non plus au demeurant, et même sans aucune monition à leur encontre pour cause d’hérésie ou suspicion d’hérésie (c. 2314-2317) !… Authentiques évêques et cardinaux donc de la hiérarchie catholique légitime ! Que seul le pape peut juger : Canons 1557-1558 / 430 §1 / 2227. Aucun membre de la hiérarchie ne perd son Siège ipso facto, selon ces canons. Les « déchoir » ipso facto après-coup pour les besoins de la cause sedevacantiste, sur la base d’une analyse personnelle (thèse) non confirmée par une autorité (donc sans aucune fiabilité ni certitude), et sans aucun appui sur la loi en vigueur bien comprise (« l’incompétence des autres juges [que le pape légitime] est absolue » can. 1558), est une conclusion irrecevable. Mieux : c’est blasphématoire et hérétique de venir dire que toute l’authentique hiérarchie canoniquement instituée par le pape PIE XII (le concile Vatican II a réuni une authentique hiérarchie puisque c’était celle de PIE XII et il n’y en avait pas d’autre ailleurs !!) a donné naissance à une secte et un anti-pape (pour quelle cause canonique ? On l’ignore puisqu’il n’y en a pas) ! Authentique hiérarchie qui a unanimement reconnu JEAN XXIII (1958) et PAUL VI (1963), (même le cardinal SIRI soit dit en passant) comme PAPES (élus par les cardinaux de PIE XII) en se réunissant autour d’eux en concile universel… Et où est donc parti le vrai « corps hiérarchique divinement institué par le Sauveur » (S. PIE X, Vehementer Nos 1906) pendant cette période, alors qu’on sait dogmatiquement qu’il ne peut pas s’interrompre (note d’Apostolicité) ?? Il faudrait quand même que l’auteur prenne conscience de ses incohérences ou de ses déficiences (et le mot est faible)… La crise de l’Église s’est ouverte avec deux papes véritablement papes (qu’on apprécie ou pas, c’est une autre question) : Jean XXIII et Paul VI. Rien dans la loi de l’Église alors en vigueur ne permet d’affirmer qu’ils n’étaient pas papes. Il n’y a pas de CAUSE identifiable. Et nous avons même la preuve du contraire (acceptation pacifique de l’Église universelle, qui est indéfectible) ! Mgr Lefebvre le soulignait déjà au Père Guérard des Lauriers, qui d’ailleurs ne l’a pas contredit (il n’avait pas de preuve juridique non plus…), d’où la création ex nihilo de sa fameuse thèse dite de Cassiciacum (1979). C’est aussi cela la crise de l’Église et c’est sur cette base certaine qu’elle doit être analysée. Que l’Église soit infiltrée par des ennemis est une chose, et ça ne date pas d’hier (cf. Pascendi !) mais que TOUTE sa hiérarchie légitime soit devenue une SECTE est une affirmation complètement déjantée. Le Libéralisme et le modernisme DANS l’Église ne date pas de Vatican II mais était déjà présent bien avant : il n’a fait qu’exploser à Vatican II, mais les racines sont bien antérieures…. Par ailleurs, à la vérité, historiquement, un "antipape" est un rival d’un vrai pape : Il n’y a JAMAIS EU et ne peut y avoir un anti-pape qui régnerait comme ça à lui tout seul sur toute l’Église sans qu’un vrai ne subsiste en face... C’est pure folie et c’est hérétique que d’envisager une telle chose car si TOUTE l’Église hiérarchique (base et socle de l’Église militante divinement constituée) adhérait à un faux pape, elle se perdrait et ne serait plus indéfectible.... L’annuaire pontifical romain a toujours reproduit la liste ininterrompue des successeurs de PIERRE, même pendant le grand schisme d’Occident (seuls les papes de Rome sont reconnus, les papes d’Avignon étaient des anti-papes). DONC, M. Adrien ABAUZIT.... Si FRANCOIS est un anti-pape, où est son rival à savoir le VRAI PAPE bien vivant sur cette terre ??? POUVEZ-VOUS répondre à cette question ? L’Apostolicité est une note essentielle de la véritable Église (voir DTC), mais si toute la hiérarchie légitime de l’Église est devenue par une mystérieuse alchimie "une secte", eh bien vous pouvez considérer que la vraie Église est morte car elle ne pourra pas se relever... « une société que Dieu referait ainsi sur les ruines de l’Église ne serait plus l’Église : l’Église indéfectible aurait péri. » (Dictionnaire de théologie catholique, tome 1b, Apostolicité.) Donc, il faudrait voir qui dit des hérésies dans l’affaire..... Parce que, par plusieurs aspects, je vous signale que vous vous opposez à la doctrine catholique. Enfin, Qu’est-ce qu’un Pasteur légitime ? S. Pie X répond dans son Catéchisme de 1905, Q. 208 : « L’Évêque [y compris celui de Rome] est appelé le Pasteur légitime parce que la juridiction, c’est-à-dire le pouvoir qu’il a de gouverner les fidèles de son propre diocèse lui a été conféré selon les règles et les lois de l’Église. » Pour le Pape : Canon 160 = Constitution sur l’élection du pontife romain (1945, Pie XII). La légitimité d’un Pasteur ne se discerne pas par notre analyse personnelle de sa doctrine ou de son intention (aucun anti-pape dans l’histoire n’a été déterminé de cette manière) car aucun membre de l’Église enseignée n’a pouvoir de juger la hiérarchie et pire encore, la déchoir ipso facto, de cette manière (cf. Canons 430 §1, 1557-1558, 2227). Du reste, aucun membre de la hiérarchie ne perd son office ipso facto : aucun siège épiscopal légitime, canoniquement érigé, n’est vacant de cette manière (canon 430 §1). Même contre un simple prédicateur qui « répandrait des hérésies [donc publiquement], il faut procéder contre lui, conformément au droit. » (Canon 1347 §3, qui renvoie donc au can. 2314) : « si hæreses, in eum præterea, ad normam iuris, agatur. »