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Histoire passionnée de la France

Référence : 76600
8 avis
Date de parution : 3 octobre 2013
Auteur : SEVILLIA (Jean)
Éditeur : PERRIN (EDITIONS)
EAN 13 : 9782262041076
Nb de pages : 562
25.00
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Description
Jean SéviIlia conjugue la profondeur de l'historien et l'esprit de synthèse du journaliste pour nous raconter la grande histoire de la France, des origines à aujourd'hui.
A l'heure où certains semblent avoir honte de notre passé, il fait le choix d'insister sur ce qui nous honore et ce qui nous unit, même dans les pages difficiles de notre histoire, afin de souligner le caractère exceptionnel de notre pays, si riche en événements et en figures de proue, de Clovis à Charles de Gaulle, en passant par Charlemagne, Saint Louis, Henri IV, Richelieu, Louis XIV et Napoléon.
Oscillant de crises en révolutions, la France a toujours su surmonter ses divisions pour se réinventer et inspirer le monde, que ce soit par ses idées et ses sources - les racines chrétiennes, l'humanisme de la Renaissance, les Lumières, les intellectuels du XXè siècle - ou ses modèles politiques successifs : la monarchie forte, l'Empire, les républiques parlementaire puis présidentielle.
La richesse et la beauté des illustrations forment l'écrin de ce grand récit, personnel, vivant et exhaustif, accessible à tous et qui comble une lacune.
Le plaisir d'apprendre en élevant l'esprit insuffle la conviction de la permanence d'un destin français, et partant, les raisons d'espérer. 
Jean Sévillia est rédacteur en chef adjoint au Figaro Magazine et membre du conseil scientifique du Figaro Histoire. Il est l'auteur de biographies (Zita, impératrice courage ; Le Dernier Empereur, Charles d'Autriche) et d'essais historiques (Le Terrorisme intellectuel, Historiquement correct, Historiquement incorrect) qui ont été des succès de librairie.
TitreHistoire passionnée de la France
Auteur SEVILLIA (Jean)
ÉditeurPERRIN (EDITIONS)
Date de parution3 octobre 2013
Nb de pages562
EAN 139782262041076
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)46
Largeur (en mm)176
Hauteur (en mm)249
Poids (en Kg)1.38
Critique du libraire
Avec de très nombreuses illustrations dans le texte. Un livre indispensable ! En quelques pages, Sévillia donne l'essentiel de chaque période qui a constitué l'histoire de notre pays des origines à nos jours ! Un livre qui nous réapprend à être fier de notre passé !
Les avis clients
Un magnifique livre à lire et à offrir !
5/5 Présent N 7970 Mercredi 30 oct 2013.
LA SAISON d'automne est bien commencée et les livres arrivent sur une table de travail comme les feuilles des arbres sur l'herbe des jardins. L'histoire y tient une place révélatrice du souci qu'ont les Français d'aujourd'hui de retrouver leurs racines. Comment, dans un temps où l'internet a déplacé la lecture, peut-il s'imprimer - et se réimprimer - tant de livres d'histoire ? J'imagine que si les éditeurs publient, c'est pour vendre, et s'ils vendent il y a, en cet instant de pénurie, des lecteurs pour acheter, et donc pour lire. Jeudi dernier, 24 octobre, nous recevions sur les ondes de Radio Courtoisie, mon ami Hilaire de Crémiers et moi, Jean Sévillia, pour son Histoire passionnée de la France. Ce qui fut aussi passionné que ce titre, c'était le nombre et le fleuve des questions des auditeurs. Rarement le flot des interventions atteint cette ampleur. L'ouvrage, pourtant, d'après l'auteur lui-même, est un ouvrage de commande. L'idée ne vient pas de son inspiration mais de son éditeur. C'est, généralement, l'occasion la meilleure pour rédiger une belle oeuvre. La commande, pour l'artiste, est la noble contrainte qui lui fait donner le meilleur de lui-même. Et dans cette Histoire de France, qui fait suite, à près d'un siècle de distance, à celle de Jacques Bainville, il y a, sous l'iconographie très soignée et la mise en page plus qu'agréable, autant de Jean Sévillia qu'il y avait de Jacques Bainville dans celle de 1924. ( Extrait de l'article ) <p align="right"> Jacques Trémolet de Villers <a href= http://www.present.fr/ target=_blank>www.present.fr</a>
Remarquable
5/5 Xavier
J'ai commencé à lire cette ouvrage, et il est remarquablement bien écrit. A lire et à offrir, pour 25 euros, c'est un beau cadeau.
L'histoire de france dans toute sa grandeur et sa gloire
5/5 Politique Magazine N° 122 Oct 2013
Il fallait oser, Jean Sévillia l'a fait. Raconter l'histoire de France dans toute sa grandeur et sa gloire, de ses origines les plus lointaines jusqu'à l'époque contemporaine. L'auteur du Terrorisme intellectuel nous avait habitué à remettre à l'heure les pendules du passé avec une liberté de ton jubilatoire. Il revient avec une Histoire passionnée de la France, fresque de 560 pages richement illustrée, qui se lit comme un roman d'aventure. Époustouflant exercice de synthèse, vivant et accessible à tous, l'Histoire passionnée de la France est aussi un chant d'amour à notre pays loin des clichés de "l'historiquement correct", En 14 chapitres serrés - "La France avant la France", "La guerre de Cent Ans : naissance du sentiment national", "Le déclin et l'espoir " - tout y est de la France et de ses mille facettes. Oscillant entre crises et révolutions, inspirant le monde pour le meilleur et - parfois - pour le pire par ses idées, ses sources et ses modèles politiques successifs, la "grande nation" est toute en diversité. De cette diversité jaillit un génie propre, mais un génie à double tranchant, un génie schizophrène : c'est l'inclination naturelle des Français à céder à la révolte et aux révolutions sanglantes mais, dans le même temps, c'est la capacité du pays à renaitre quand tout semble perdu. La France est un miracle permanent mais fragile ! Ce constat prend une résonnance particulière à l'heure ou le pays traverse une grave crise financière et morale qui serait avant tout, selon Jean Sévillia, une crise politique. Or, explique l'auteur en disciple de Bainville, l'histoire nous enseigne que la restauration de l'État, colonne vertébrale de la France, a toujours été la condition préalable du redressement. Elle nous apprend également à aimer par-dessus tout l'unité. Aussi, quand l'idée même de communauté nationale faiblie sous les coups de boutoirs d'une mondialisation qui contraint l'État à partager ses prérogatives ou le réduit à l'impuissance, quand le pays est aujourd'hui soumis à des bouleversements eth noculturels majeurs, "tout ce qui rassemble et réunit doit être privilégié", La France contemporaine a des leçons à puiser dans son histoire. Encore Jean Sévillia faut-il qu'elle l'accepte. Ce n'est pas le moindre enseignement de ce livre magistral au patriotisme éclairé, à mettre entre toutes les mains. <p align="right"> <a href= http://www.politiquemagazine.fr/ target=_blank>www.politiquemagazine.fr</a>
Jean Sévillia : une raison française
5/5 Minute N°2635 Mercredi 2 Octobre 2013
Jean Sévillia, rédacteur en chef adjoint au "Figaro Magazine", a beaucoup écrit contre le terrorisme intellectuel de la gauche bien-pensante pour démasquer ce qu'il nomme lui-même l'historiquement correct. Son dernier livre sur l'histoire de France se présente comme une première synthèse de ses travaux. Jean Sévillia nous annonce une "histoire passionnée de la France". Quant à moi, ce qui me frappe, c'est que cette histoire est encore plus raisonnée que passionnée. Dans le superbe ouvrage publié par les éditions Perrin, nous sommes invités à une rétrospective argumentée sur chacune des grandes phases de l'aventure française. Sans nostalgie. II n'existe pas de passé idyllique et l'on est bien obligé de constater que chaque époque a ses difficultés. Mais avec Sévillia, on s'exerce à comprendre chaque obstacle, en rappelant avec précision les événements et les enjeux. L'histoire de la France est une succession de maelstrom, précédés et suivis de toutes sortes de psychodrames au cours desquels se déchainent les haines civiles. Il en est ainsi depuis la guerre de Cent Ans, qui est d'abord une longue guerre franco-française entre le roi et les grands féodaux. Certains épisodes de ce feuilleton semblent aujourd'hui particulièrement embrouillés. Sévillia excelle à tracer le chemin des événements, qui permet une interprétation objective. Exemple : les quatre ans durant lesquels a vécu la Deuxième République, entre 1848 et 1852. En quelques paragraphes, l'auteur nous explique le carambolage des circonstances et les raisons du succès aussi écrasant qu'inattendu du prince président, Louis Napoléon Bonaparte, et de son coup d'Etat, un certain 2 décembre 1851. Tout est dit ? Bien sûr que non. Au moins peut-on se repérer dans ce labyrinthe typiquement français, un fil d'Ariane à la main. Plus on approche de notre temps, plus cet effort de clarification, loin de toute idéologie, s'avère passionnant. Les pages consacrées à la Deuxième Guerre mondiale ou à la guerre d'Algérie sont des chefs d'oeuvre d'objectivité et de compréhension. Alors que certains semblent prendre un malin plaisir à aviver ces blessures nationales, c'est une oeuvre de justice que tente l'auteur de ce livre, aidé par le recul du temps. En lisant Sévillia, on se prend à penser à un monde où la diabolisation n'existerait pas et où la raison historique aurait eu le loisir de faire son travail d'objectivité et de paix, un monde où les Français (puisque c'est d'eux qu'il s'agit) pourraient à nouveau s'aimer eux-mêmes et s'aimer entre eux. Toute l'oeuvre historique de Jean Sévillia repose sur cette idée qu'il existe une raison historique et qu'il est nécessaire d'en faire valoir les conclusions. Quant à l'histoire immédiate, l'analyste souligne la nécessité d'un Etat qui puisse à nouveau jouer son rôle d'acteur politique et ne se cantonne pas à celui de caution administrative : "Il convient de rappeler que la restauration de l'Etat, colonne vertébrale de la France depuis Richelieu a jusqu'alors été, sous le Consulat, à la Libération et en 1958, la condition préalable du redressement" français. D'où peut bien provenir aujourd'hui une telle restauration ? L'historien, n'étant pas prophète, est incapable de le dire. Reste à éviter la rupture de tradition qui induirait facilement une rupture du pacte social. Pour conjurer l'implosion, plus que jamais peut-être, les Français doivent reprendre contact avec leur histoire. Ce bel ouvrage, facile de lecture, somptueusement illustré (qui fera un merveilleux cadeau de Noël), entend mettre en valeur délibérément "ce qui rassemble et ce qui réunit". <p align="right">Joël Prieur <a href= http://www.minute-hebdo.fr/ target=_blank>www.minute-hebdo.fr</a>
Darwinisme ?
2/5 bibliothequedecombat
.----. Quand l’historien « catholique » Jean Sévillia fait la promotion du darwinisme le plus éculé ; historien "catholique tradi" Jean Sévillia (tendance Fraternité Saint-Pierre), qui nous explique très sérieusement que l'homme a mis très précisément 1,9 millions d'années à comprendre qu'il fallait enterrer ses morts (mdr !), n'a semble-t-il jamais entendu parler d'Adam et Ève ni du Déluge... Peur de passer pour un intégriste illuminé et donc de vendre moins de livres ? Catho mais pas trop ! Il est vrai qu'à force de donner des conférences au B'nai B'rith et d'écrire pour le Figaro... [ Publié le 30 décembre 2015 ]
Il faut contrer la propagande !
2/5 Contre-info.com
Au sujet d'un nouveau livre de J. Ch. Petitfils : « L’ouvrage scandaleux d’un « historien » fameux dans les milieux conservateurs — l’Histoire passionnée de la France de Jean Sévillia —, avait été sévèrement critiqué, à juste titre, dans un précédent numéro de cette revue. Voici que son alter ego, Jean-Christian Petitfils, vient le concurrencer, dans la même catégorie, avec une Histoire de la France hélas déformée par son idéologie et l’historiquement correct. Au-delà de la tristesse de voir que ces deux personnalités de référence pour le peuple « de droite » ne devraient en réalité pas l’être, il faut tirer la sonnette d’alarme et contrer la propagande qu’ils font sur des points graves, appuyés par le crédit qu’ils ont acquis avec d’autres livres plus ciblés et neutres, et qui ne manquent pas de mérite (sur les XVIIe et XVIIIe siècle en France, pour Petitfils).
Lamentable
1/5 Paul Thore. www.contreinfo.com
"...on notera que Monsieur Sévillia dans son premier chapitre nous afflige en parlant de l’homme de Cro-Magnon, de l’homme de Néandertal, de l’Homo Erectus vieux de 450 000 ans et autres billevesées évolutionnistes. Jean Sévillia n’a vraiment pas une approche catholique de l’histoire de France. Pour lui, à l’instar des « historiens » gauchistes, la France n’est pas née avec le baptême de Clovis : « Au VIe siècle, la France n’existe pas ! » Mais Monsieur Sévillia est de droite, il ne peut faire débuter la France en 1789 comme ses petits camarades de gauche. Non, pour lui la France naît quelque part entre les Capétiens et la Guerre de Cent ans… Tout le bouquin est du même tonneau. La bataille de Poitiers est torchée en trois lignes pour nous dire qu’elle n’a pas eu l’ampleur que lui a donnée la légende. La figure de Du Guesclin est évoquée sur une seule page, l’épopée de Jehanne d’Arc sur deux, mais, en revanche, Jean Sévillia nous gratifie de sept pages sur le pitoyable Valéry Giscard d’Estaing (pour, en plus, nous en dire du bien). Sévillia évoque la St Barthélémy et la responsabilité des catholiques sans parler un instant de la multitude des massacres, destructions et profanations dont les Huguenots se sont rendus coupables à travers toute la France. Bravo pour un catho ! Si Jean Sévillia critique la Révolution française, c’est toujours avec modération et sur les trente pages qu’il accorde à cette période, il commet l’exploit de ne jamais citer la franc-maçonnerie et son action… Les guerres de Vendée tiennent sur un peu plus d’une page et les autres soulèvements contre-révolutionnaires ne sont même pas mentionnés. À la manière des francs-maçons de droite, Jean Sévillia semble être un fan de Napoléon à qui il accorde pas moins de 42 pages. Il tempère toutefois son propos pour avouer que Napoléon était un petit peu dans la « démesure ». Il traite de la Commune sur trois pages (plus que pour Jehanne d’Arc) sans dire un mot sur la forte implication maçonnique de cet épisode. En revanche, un peu plus loin, page 355, il raille l’existence d’un « mythe du complot maçonnique », ce qui est très révélateur de la pensée de ce monsieur. D’ailleurs, sur les cinq pages qu’il octroie au funeste Jules Ferry, il omet bien évidemment de dire qu’il était franc-maçon, information pourtant capitale afin de comprendre pourquoi ce monsieur s’est acharné à combattre l’Eglise et à déchristianiser la France ! C’est donc sans réelle surprise que Jean Sévillia attaque violemment Edouard Drumont sans expliquer le contexte de l’époque alors qu’il le fait pour dédouaner Jules Ferry concernant ses propos sur les « races inférieures ». Le socialiste Jean Jaurès obtient deux pages très complaisantes. Les dix-huit pages concernant la 1ère Guerre Mondiale ne sortent pas des sentiers battus. Pas un mot sur la volonté de détruire le dernier empire catholique des Habsbourg, il accrédite la thèse farfelue de l’attentat de Sarajevo. Concernant la 2e Guerre Mondiale, la narration reste bien entendu très convenue. La réoccupation de la Ruhr et l’affaire des Sudètes sont bien évidemment des « provocations » nazies. Pas un mot sur la responsabilité du Traité de Versailles. « L’Angleterre et la France n’ont pas d’autre solution que de déclarer la guerre à Berlin » (sic!). Le gouvernement de Vichy ne fut qu’une « dictature personnelle » au bénéfice du Maréchal Pétain… S’ensuit une série de pleurnicheries sur le statut des Juifs et sur la déportation. Le Général De Gaulle est porté au pinacle. Seul point positif, Jean Sévillia nous épargne les habituels récits sur les camps de la mort même s’il souscrit totalement à la version officielle. Sa vision de la guerre d’Algérie est également scandaleuse. Il a une vision très gaulliste du drame. La trahison de De Gaulle vis-à-vis des Français d’Algérie est qualifiée de « malentendu » ! Le récit de Mai 68 tient sur quatre pages. Il ne contient ni analyse politique, ni mise en perspective. Il n’a aucun intérêt. Monsieur Sévillia se livre à une apologie de Georges Pompidou, le larbin de la Banque Rotschild, sur sept pages. Il ne parle pas de la prise en main par les banques privées de la création monétaire avec la loi Pompidou-Rotschild, ni de l’immigration de masse qui se met en place à cette époque à la demande du gros capital. Sur les sept pages qu’il accorde à la présidence de Giscard, il n’y a pas un mot sur le regroupement familial, la délivrance de la pilule, la légalisation de l’avortement, la facilitation du divorce, etc. ! Qu’on se le dise, Jean Sévillia est un super catho ! Sur les autres présidents de la Ve république : Mitterrand, Chirac et Sarkozy, Jean Sévillia nous livre une logorrhée droitarde, politiquement correcte et sans aucun intérêt. La conclusion de l’auteur est pitoyable : aimer son pays c’est l’accepter comme il est avec sa diversité, ses croyances, ses nombreuses ethnies, etc. Bref, la France de Jean Sévillia n’est ni blanche, ni catholique. Ce n’est pas la nôtre !" Paul Thore. www.contreinfo.com
Sans intérêt
1/5 Jean
L'Histoire est d'abord une science : celle du passé dans laquelle se lisent les leçons d'avenir. Ceci est connu. Le titre choisi pour ce livre est de ce point de vue assez révélateur d'une remarque de fond partagée par beaucoup de professeurs d'histoire : Jean Sévillia est un journaliste, ce n'est pas un historien. L'histoire ne peut pas être passionnée : elle cesse alors d'être passionnante. C'est le tour de force réalisé par Sévillia ici. On y lit du Sévillia à chaque page mais on n'y rencontre pas l'histoire. Et c'est dommage. Il suffit d'ailleurs de savoir que l'auteur, dans une interview complaisante d'un organe de presse dont il est l'un des rédacteurs, a prétendu faire mieux que Jacques Bainville. Il faut être gonflé pour asséner une telle incongruité. Reconnaissons à Sévillia ce mérite : c'est un homme gonflé.