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Encyclopédie des changements de noms - T 3

Référence : 69804
1 avis
Date de parution : 1 décembre 2014
Éditeur : FAITS ET DOCUMENTS
EAN 13 : 9782909769134
Nb de pages : 424
24.00
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Description
Plus de 20 000 changements de noms de 1998 à décembre 2012
Fruit de plusieurs milliers d'heures de recherches, de classement, de saisie en ordinateur et de multiples vérifications, voici la suite, mille fois réclamée, des deux tomes du Dictionnaire des changements de noms (1803-1962) de l'archiviste Jérôme et du premier tome de l'Encyclopédie des changements de noms (1963-1982). Ils furent moins de 20 000 à changer légalement de nom au Journal officiel en cent soixante ans. De 1963 à 1997, ils furent plus de 35 000 à transformer leur nom, et ils sont à nouveau plus de 20000 en quinze ans ! C'est dire si le phénomène s'accélère.
Voici quelques hommes politiques : Patrick Balkany qui s'appelait Balkanyi ; Claude Estier appelé précédemment Ezratty, ou l'avocat Jean-Louis Tixier qui, au soir de sa vie, opta pour Tixier-Vignancour. Il en est de même de l'homme d'affaires Maurice Bidermann, né Zylberberg (par ailleurs, frère de la tenancière de cabarets Régine), de l'industriel Serge Tchurukdichian devenu Tchuruk, du producteur de cinéma et député Yves Rousset-Rouard, à l'origine Rousset. On y ajoutera Guy Azaïs de La Garde de Chambonas, l'un des principaux responsables des services secrets français, qui s'appelait plus modestement Azaïs, de l' avocate féministe Gisèle Halimi, à l'origine Zeïza Taïeb, ou du chanteur Alain Souchon, beaucoup moins connu sous son véritable patronyme Kienast. Il en est de même du producteur de Navarro ou de L'Instit Pierre Grimblat, né Grinblatt, ou du vice-président du Congrès juif mondial Michel Dreyfus-Schmidt, né Dreyfus.
Il y a aussi tous les autres, qu'ils aient voulu franciser leur nom, se doter d'une fausse particule nobiliaire ou éviter le ridicule. Vous saurez donc enfin si on vous a, le plus légalement du monde, "emprunté" votre patronyme.
Un ouvrage indispensable au généalogiste, au chercheur, au curieux, ou, plus simplement, à l'honnête homme.   

Journaliste d'investigation, Emmanuel Ratier a déjà publié l'Encyclopédie politique française (1981-1992), l'Encyclopédie des pseudonymes (deux tomes, avec 18500 noms), l'Encyclopédie des changements de noms (tome 1) et dirigé plusieurs ouvrages comme Mystères et secrets du B'naï B'rith ou Au cœur du pouvoir. Il a fondé en 1996 la lettre d'informations politiques confidentielles bimensuelle Faits & Documents.
TitreEncyclopédie des changements de noms - T 3
Auteur RATIER (Emmanuel)
ÉditeurFAITS ET DOCUMENTS
Date de parution1 décembre 2014
Nb de pages424
EAN 139782909769134
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)25
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)218
Poids (en Kg)0.67
Critique du libraire
De 1998 à décembre 2012.  

« Sous le pseudonyme de L'archiviste Jérôme, notre fondateur Henry Coston avait publié deux volumes d'un Dictionnaire des changements de noms, le premier répertoriant ceux de la période de 1803 à 1956 et le second pour les années 1957 à 1962. Après une trentaine d'années de "silence", Emmanuel Ratier, pour compléter les informations réunies par Coston, fit paraître, en 1995, une Encyclopédie des changements de noms, dans un tome I qui couvrait la période 1963 à juin 1982, qu'il fit suivre, en 1998, par un deuxième tome (juillet 1982-1997). L'ensemble de ces quatre ouvrages répertorie des dizaines de milliers de noms.  

« La pratique de modification des patronymes ayant pris de telles proportions depuis quelques années, E. Ratier vient d'ajouter un troisième tome à son Encyclopédie (période de janvier 1998 à décembre 2012), qui compte 20 000 références présentées sur 420 pages. C'est le fruit d'un travail considérable qui représente "plusieurs milliers d'heures de recherches, de classement, de saisie en base de données et de multiples vérifications", précise son auteur, dans un avertissement, qui poursuit : "Le nom n'est pas neutre. Pendant des siècles, le nom de famille était important. Il signifiait la lignée, l'ancienneté, l'origine. Aujourd'hui, en France, les noms de "souche" sont moins bien protégés que n'importe quelle marque. Pour une proportion de plus en plus importante, il faut y voir la volonté du législateur à la fois de dissimuler la réalité de l'immigration extra-européenne et de complaire dans la sacro-sainte intégration républicaine, dont on sait qu'elle a fait, pourtant, faillite".  


« A titre de comparaison, les nombres de changements opérés sont les suivants : 20 000 en 160 ans (1803-1962), 35 000 en un peu plus de trente ans (1963-1997) et 20 000 en 15 ans (1998-2012) ! C'est dire et mesurer l'ampleur et la complexité de la tâche pour établir un tel répertoire. E. Ratier précise bien que ne figurent ici que les noms mentionnés très légalement au Journal officiel, ce qui lui fait dire : "A noter qu'à l'ère de l'informatisation, les changements de noms ne sont pas disponibles sur internet et ne sont publiés que dans l'édition papier, ce qui implique des recherches toujours fastidieuses. Il faut, bien évidemment, y voir une volonté expresse du législateur d'empêcher le public d'en avoir connaissance. En revanche, toutes les "facilités" sont données pour le changement de nom et de prénom" (Editions Faits & Documents, 2014). » 

Jérôme Seguin, dans Lectures Françaises n° 697 (mai 2015)
Les avis clients
Inflation !
5/5 Livr'arbitres .
.----. Pour la première et unique fois, voici répertoriée l'intégralité des changements de nom de 1998 à 2012 parus au " Journal officiel " ( on se reportera aux deux autres volumes déjà parus pour les années précédentes ). Ils furent moins de 20 000 à changer légalement de nom au " Journal officiel " en cent soixante ans ( 1803-1962 ). Mais, depuis lors, rien que de 1963 à 1997, ils furent plus de 35 000. Et à nouveau 20 000 en quinze ans ( 1998-2012 ). [ numéro 16 - hiver 2015 - nouvelle série de " Livr'arbitres " ( Patrick Wagner - 36 bis rue Balard - 75015 - Paris ) le numéro : 7 euros ; l'abonnement pour 4 numéros: 22 euros ]