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Madame Adélaide - Soeur et égérie de Louis-Philippe

Référence : 105766
2 avis
Date de parution : 19 mai 2016
Éditeur : PERRIN (EDITIONS)
EAN 13 : 9782262032692
Nb de pages : 400
23.00
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Description
Fille de Philippe Egalité et de Louise-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre, la princesse Adélaïde d'Orléans apparaît aujourd'hui comme l'un des grands esprits politiques de son temps.
Née en 1777 dans les ors du Palais-Royal, élevée dans les idées nouvelles par Mme de Genlis, elle voit à douze ans sa destinée bouleversée par la Révolution. Jetée sur les routes de l'exil pendant un quart de siècle, elle doit affronter l'opprobre des émigrés, qui ne lui pardonnent pas d'être la fille du régicide, et fuir constamment, de couvent en couvent, devant l'avancée des armées françaises. Confrontée à une mère "éternelle pleureuse", qui voulait régenter sa vie, elle sut s'en dégager et trouver l'âme soeur en son frère Louis-Philippe. Réunis en 1808, le duc d'Orléans et sa soeur ne se quitteront plus et formeront avec Marie-Amélie de Bourbon-Siciles, duchesse d'Orléans, un trio inséparable. Le rôle de la princesse dans l'acceptation du trône en 1830 par Louis-Philippe sera primordial. Son journal intime et son étroite correspondance avec son frère révèlent une tête politique et une conseillère privilégiée, mais aussi une femme que sa piété et sa force de caractère ont aidée à dominer sa grande sensibilité.
Fondé sur des archives inédites, ce livre met en scène l'existence à certains égards tragique de celle que Talleyrand qualifiait d'"être supérieur".
TitreMadame Adélaide - Soeur et égérie de Louis-Philippe
Auteur PAOLI (Dominique)
ÉditeurPERRIN (EDITIONS)
Date de parution19 mai 2016
Nb de pages400
EAN 139782262032692
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)28
Largeur (en mm)139
Hauteur (en mm)209
Poids (en Kg)0.42
Biographie
Critique du libraire
Vie d'Adélaïde d'Orléans, fille de Philippe Egalité et de Louise-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre, d'après son journal intime et sa correspondance.
Les avis clients
Madame Adélaïde
5/5 Présent, samedi 6 août 2016, n°8666, p.2.
On peut saluer en Dominique Paoli la spécialiste des monarchies européennes en général, mais surtout comme le meilleur connaisseur de la Maison d'Orléans. On lui doit notamment un remarquable — et très nervalien — L'Impératrice Charlotte. Le soleil noir de la mélancolie (Perrin, 2008). Et, maintenant, ce Madame Adélaïde consacré à une princesse, sinon méconnue, au moins souvent tenue pour la cinquième roue du carrosse... Fille de Philippe-Egalité (il y a des filiations moins lourdes...), la princesse Adélaïde d'Orléans, tenue en haute estime par un connaisseur de la chose, Talleyrand, avait la tête éminemment politique. A la lecture de Dominique Paoli, on a envie d'ajouter : beaucoup plus que le reste de ses proches, à commencer par Louis-Philippe, ce frère pour lequel elle aura sacrifié sa vie de femme. Restée célibataire, en effet, elle va vivre en totale osmose, à partir de 1808, avec son frère et sa belle-soeur, Marie-Amélie. Elle sera un conseiller très écouté par le « roi bourgeois » et une « tata gâteaux » pour ses nièces et neveux (et ils étaient nombreux !). S'appuyant sur des archives restées inédites à ce jour, Dominique Paoli revisite totalement l'histoire de cette femme de caractère, nous apprend à la mieux connaître et même à l'aimer. <p align="right">Alain Sanders <a href= http://www.present.fr/ target=_blank>www.present.fr</a>
Madame Adelaïde, par Dominique Paoli.
5/5 LA NOUVELLE REVUE D'HISTOIRE n°85 juillet août
Spécialiste de la maison d'Orléans, Dominique Paoli nous propose une biographie tout à fait novatrice de la sœur de Louis Philippe. Fille de Philippe-Égalité et de Marie Adelaïde de Bourbon-Penthièvre née en 1777, la jeune Adelaïde, élevée au Palais-Royal par sa préceptrice Madame de Genlis, subit les affres de la période révolutionnaire. Jetée sur les routes de l'émigration pendant un quart de siècle, elle est rejetée par les autres émigrés, qui voient en elle la fille du régicide. Réunie à son frère à partir de 1808, elle va en partager désormais la destinée. Elle l'encourage en 1830 à accepter le trône de « roi des Français » et demeure ensuite auprès de lui une conseillère avisée, jusqu'à ce 31 décembre 1847 qui voit sa disparition, deux mois à peine avant que la monarchie de Juillet ne soit emportée par une nouvelle révolution parisienne. Philippe Conrad