Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

A travers le Tyrol - De Zurich à Trente et à Bellune

Référence : 106202
Date de parution : 1 mars 2016
Auteur : MARCHAND (Abbé)
EAN 13 : 9782955624814
Nb de pages : 216
21.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié à partir du 22 avril
Voir la disponibilité en magasin

Description
C'est dans le Tyrol des années 1900 que l'Abbé Marchand nous invite à le suivre dans un récit passionnant.
Au rythme de ses escales et de ses descriptions, le lecteur s'imprègne des paysages et de l'histoire de cette région située sur les marches de l'Empire austro-hongrois, première cible des menées destructrices judéo-protestantes décrites ici.
Ainsi, nous est livrée une réflexion pertinente sur la situation de l'Église, menacée par l'influence de la franc-maçonnerie et une clique de politiciens corrompus.
L'Abbé Marchand commente aussi la vie de saint Simon de Trente et d'Andréas de Rinn, enfants sacrifiés - selon lui - par des juifs talmudistes, le jour de Pâques, en haine du Christ.
Ces pages ouvrent notre regard sur des analyses peu connues, rédigées à une époque où l'écriture n'était pas encore muselée par le "politiquement correct".
TitreA travers le Tyrol - De Zurich à Trente et à Bellune
Auteur MARCHAND (Abbé)
ÉditeurLA MAISON DU SALAT (EDITIONS)
Date de parution1 mars 2016
Nb de pages216
EAN 139782955624814
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)18
Largeur (en mm)148
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.29
Critique du libraire
Il s'agit d'une analyse liée aux difficultés de l'Eglise en Autriche face à la Franc-maçonnerie et à la communauté juive.
Préface de Laurent Glauzy :
Les pages que nous offre l'Abbé Marchand sont un chef d'oeuvre de beauté et de réflexion ne le cédant en rien à celles que nous ont livrées les plus célèbres Pères de l'Église, à l'instar de Mgr Gaume, de Mgr Delassus, ou encore du Cardinal Pie qui prônait la royauté sociale du Christ.
Avec un grand raffinement et beaucoup de précision, À travers le Tyrol conduit notre imagination dans un des plus beaux paysages de l'Europe catholique, au Tyrol. Par la magie de cette plume riche et poétique, nous nous transportons sur les hauts sommets des Dolomites, dans les plaines d'Innsbruck, sur les massifs escarpés du Brenner - dont le col est un point de passage pour se rendre en Italie - ou du Vorarlberg qui faillit devenir suisse dans les années 1920. Mais ce Land devait rester rattaché à l'Autriche : avec cet apport, la Suisse aurait été "trop germanophone".
Quel bonheur de se laisser entraîner par l'Abbé Marchand qui, par sa douceur d'écriture, montre aussi tout le raffinement de l'Église catholique sans laquelle l'Europe et le monde n'auraient jamais connu ce haut degré de civilisation !
L'ouvrage de l'Abbé Marchand fut publié en 1904. Il nous fait connaître la dureté de la vie des prêtres de ces campagnes autrichiennes, où le son des cloches répand sur chaque vallée la bénédiction de Notre Seigneur.
Mais ce monde, celui de la fin du XIXe siècle, porte le témoignage de problèmes qui n'épargnent pas notre société contemporaine. Ainsi, à travers son voyage, l'Abbé Marchand pose des questions toujours d'actualité et nous fait partager sa pertinente analyse d'une région, le Tyrol, et d'un empire, l'Autriche-Hongrie, comptant alors cinquante-et-un millions d'habitants, troisième plus importante population d'Europe répartie en onze groupes nationaux dont les Slovaques, les Hongrois, les Polonais et les Tchèques.
L'écrivain autrichien Guido Zernatto (1903-1943) définissait cette mosaïque de nationalités comme "un invraisemblable dessin d'îlots superposés, aux innombrables baies et criques dentelées à l'infini".
L'auteur aborde la situation des écoles catholiques qui s'affranchissent peu à peu des préceptes et de l'influence de l'Église. La doctrine chrétienne s'y trouve ainsi séparée de l'enseignement pédagogique, selon les plans de la secte satanique maçonne et des protestants, qui comptent seulement pour 9% de la population de l'empire.
L'Abbé Marchand évoque aussi "la loi du mariage civil, dont le but était de détruire la famille chrétienne et d'infuser l'athéisme à la nation. La haute finance juive, maîtresse des loges, favorise de son or et de son influence cette tentative odieuse."
Par ces exemples, nous pressentons donc la chute de cet empire catholique, indésirable pour la "Synagogue de Satan". La Première Guerre mondiale, dont l'historien d'origine hongroise, François Fejtö, indique en 1988 dans Requiem pour un empire défunt, qu'elle avait pour but la destruction de cet empire lié à l'Église, marquera la fin de l'empire kaiserlich und königlich (impérial et royal) et la naissance d'une république remise entre les mains des banquiers.
Cette chute se poursuivra trente ans plus tard, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, par l'assujettissement de ces minorités au bloc de l'Est et à l'enfer du communisme. Nous le voyons, l'histoire n'est pas le fait du hasard, et les loges travaillent contre la liberté des nations à travers des plans qui prennent forme après plusieurs décennies voire plusieurs siècles de complots, d'intrigues politiques et de conflits faisant couler le sang des peuples. D'ailleurs, le curé d'Alba en fait part à l'Abbé Marchand dans son analyse prophétique : "La mort de François-Joseph sera la fin de l'Autriche. La Hongrie est mûre pour une séparation ; l'Italie souffle constamment sur le feu du côté de Trieste et l'Allemagne, qui favorise de tout son pouvoir cette double tendance, se dispose à annexer nos dix millions de compatriotes de race germanique." 
À cette même époque, un autre homme, malheureusement peu connu en France, souscrivait à cette réflexion. Il s'agit du Dr Karl Lueger que l'Abbé Marchand présente comme un "vaillant lutteur" et un authentique défenseur de la foi catholique. Le lecteur intéressé de connaître ce politicien issu des classes populaires, qui fut le bourgmestre de la Vienne impériale, de 1895 à 1910, après quatre refus de l'empereur François-Joseph - devant affronter les mensonges et les manigances de la presse anticatholique et apatride, l'opposition du père du sionisme Theodor Herzl et des Rothschild jouant avec les valeurs boursières contre l'empire et menaçant de s'installer à Budapest - pourra lire Karl Lueger, le maire rebelle de la Vienne impériale (2012), première biographie en français de cet homme qui est resté, plus d'un siècle après sa mort, le plus populaire des Viennois et le plus haï d'une classe politique corrompue. C'est cette même classe politique qui a débaptisé en juillet 2012, la seule artère de la capitale autrichienne, le Karl Lueger Ring, qui portait son nom. Cette action "sacrilège" s'est opérée sous Werner Faymann, chancelier fédéral, en fonction depuis 2008, qui participa entre autres aux travaux du groupe supra-maçonnique du Bilderberg, à Athènes, en mai 2009.
Le Dr Karl Lueger, qui voulait inscrire la doctrine catholique de l'Église au sein de son programme politique, soutenu par le pape Léon XIII, fut un maire anti-corruption qui rénova Vienne, créa des espaces verts et fit de nouvelles adductions d'eau ravitaillant les quartiers populaires. Sous son mandat, il fit voter des bourses pour les étudiants les plus modestes et installa les premières plages sur le Danube. Bien entendu, tous ces projets d'envergure, dont les Viennois peuvent encore profiter, ne se firent pas sans mal, en affrontant les calomnies d'une classe politique divisée entre la clique des libéraux et les courants anarchistes, tous manipulés par une bourgeoisie sans race et sans noblesse.
Lueger, qui désignait la capitale hongroise par le terme de Judapest, fut donc la dernière chance de l'Autriche. Il dénonçait ainsi une immigration massive venue de l'Est, comme le développe l'Abbé Marchand : "Les Juifs qui étaient peu nombreux à Vienne avant les guerres de l'Empire, ont petit à petit envahi la capitale, venant de la Galicie, de la Hongrie et de la Pologne russe." Quelques chiffres nous aident à y voir plus clair. Dans les années 1870, la population étudiante de Vienne est composée à 30 % de Juifs. La population israélite résidant dans la capitale constitue 10 % de la population, contre 2,2 %, dix ans auparavant, en 1860. En 1880, 27,8 % des Juifs viennois sont originaires de Hongrie. Quant au peuple catholique, ce dernier connaît une toute autre réalité bien éloignée des faux clichés de l'Autriche. Après le Krach de la bourse de Vienne de 1873, 30 % des familles ouvrières sont frappées par des mesures d'expulsion. Le nombre annuel des suicides augmente en Autriche de 1 677 à 2 648 entre 1872 et 1877. Vienne alors connaît aussi le rachitisme et la tuberculose.
Dans un autre style, mais avec autant de verve et de courage que ce maire, l'Autriche a connu, un siècle plus tard, en la personne de Jörg Haider, un homme charismatique, un autre vrai combattant, qui fut élu gouverneur de Carinthie, un des neuf Länder autrichiens. Ses nobles projets proposant de sortir l'Autriche de l'Europe - autre forme de "soviétisation" des nations et des peuples - par référendum, s'arrêta en octobre 2008. Il fut victime d'un "accident mortel" de la circulation, alors qu'il prétendait devenir chancelier de la petite république des Alpes. Il est évident que ce politicien de talent qui surclassait tous ses adversaires fut assassiné par la franc-maçonnerie comme l'ont démontré les écrivains Gerhard Wisnewski et Guido Grandt. Jörg Haider dénonçait le pouvoir des loges dans les hautes sphères de l'État et de la presse, accusant même Franz Vranitzky, chancelier fédéral (socialiste, comme Faymann) de 1986 à 1997 d'être un éminent membre maçon. L'intrépide gouverneur de Carinthie parlait de la "mafia des banques", responsable des crises et de l'endettement des nations. Ewald Johann Stadler, catholique traditionnel proche de la Fraternité saint Pie X, député européen et directeur pour la Basse-Autriche du parti du BZÖ, dont Haider était le fondateur, poursuit à présent ce combat avec la même obstination.
Mais, revenons à l'Abbé Marchand qui nous fait découvrir le Tyrol dans le contexte de l'empire, sous un angle particulièrement insolite. L'écriture n'est pas alors restreinte, comme elle l'est aujourd'hui, par les lois liberticides.
Ainsi, nous conte-t-il les crimes rituels dont furent victime au Tyrol les jeunes enfants Anderl de Rinn en 1462 et saint Simon de Trente en 1475. Il explique que les coupables sont des Juifs talmudistes désirant blasphémer le Christ le jour de Pâques. Dans le cas de saint Simon de Trente, l'Abbé Marchand indique aussi que "les juifs de l'Italie entière souscrivirent des sommes énormes pour enterrer l'affaire ; ils essayèrent de gagner l'empereur Frédéric III, offrirent plusieurs milliers de florins à l'archiduc Sigismond, cinq mille ducats au neveu du pape qui les refusa, de l'or à pleines mains au préteur de Trente ; ils accaparèrent, grâce à leurs largesses, les meilleurs avocats de la péninsule." Il ajouta en conclusion de son récit : "Un troisième procès s'ouvrit. Les charges étaient telles qu'il fallut se rendre à l'évidence : les criminels reçurent le juste châtiment de leur forfait."
Plusieurs années avant l'Abbé Marchand, le Grand rabbin Néofit, converti au christianisme, avait publié en 1803, en langue moldave, Le sang chrétien dans les rites israélites de la Synagogue moderne. Ce livre fut traduit en italien en 1833et en grec en 1843. Néofit y écrit : "Ce terrible secret n'est pas connu de tous les Juifs, mais seulement des Chakam (sages, en hébreu) et des rabbins, qui portent le titre de Conservateurs du mystère du Sang. Ceux-ci le communiquent verbalement aux pères de famille qui, à leur tour, confient le secret à leur fils qui leur semble le plus digne de confiance, tout en y ajoutant des menaces épouvantables contre celui qui le trahirait." Le moine Néofit relate ensuite : "Lorsque j'eus treize ans, mon père me prit à part dans une chambre obscure et, après avoir présenté la haine contre les chrétiens comme étant une chose agréable à Jéhovah, il me dit que notre Dieu nous avait ordonné de répandre le sang chrétien et de le préserver pour un usage rituel."
Il est bien évident que la "secte conciliaire" de "Vatican 2" refuse d'enseigner que les juifs sont responsables de crimes rituels. Malgré les bulles papales et l'édification de l'église construite en 1670 en l'honneur d'Anderl de Rinn par l'empereur Maximilien Ier, sa fête fut rayée du calendrier religieux tyrolien en 1953 par l'évêque d'Innsbruck. Et, en 1994, son culte fut interdit officiellement par l'évêque Reinhold Stecher, qui entreprit plusieurs voyages en Israël. Le chapelain Gottfried Melzer, auteur en 1989 de Das selige Kind von Rinn, ein wahrer Märtyrer der katholischen Kirche (Le bienheureux enfant de Rinn, un vrai martyr de l'Église catholique) fut condamné en Autriche en 1998 pour incitation à la haine raciale.
Mais, n'est-il pas vrai, comme le prophétise déjà Notre Dame à la Salette en 1846 (douze ans avant l'apparition de Lourdes), que la vraie "Église sera éclipsée" et que "Rome sera le siège de l'Antéchrist" ?
C'est cette Église éternelle, que représente pour notre plus grand bonheur l'Abbé Marchand, comme ses merveilleuses pages en portent le témoignage éloquent.
Laurent Glauzy, écrivain
Memmingen, le 4 mars 2016