La France n'est pas seulement en déclin : elle est aussi en pleine décomposition. Si sa puissance diminue, son essence s'altère à une vitesse plus grande encore. Plusieurs siècles d'anthropocentrisme ont greffé en son sein une autre nation, qui la phagocyte et tente de se substituer à elle : l'Antifrance, autrement nommée République des Lumières. Depuis deux cents ans, le camp de l'Antifrance s'attaque à l'anthropologie française dans l'espoir de pouvoir créer un nouvel Adam. La lutte entre les partisans de l'anthropologie républicaine et les partisans de l'anthropologie française est sans merci. Suite à la révolution de 1944, la partie semblait définitivement terminée. Mais les désastres engendrés par le mondialisme et la formation, grâce à internet, d'une nouvelle opinion publique, viennent bouleverser la donne.

Titre	La France divisée contre elle-même
Auteur	ABAUZIT (Adrien)
Éditeur	ALTITUDE (EDITIONS)
Date de parution	1 août 2017
Nb de pages	312
EAN 13	9791097438005
Présentation	Broché
Épaisseur (en mm)	25
Largeur (en mm)	145
Hauteur (en mm)	210
Poids (en Kg)	0.40

Critique du libraire

Voici une bien belle surprise ! Cet ouvrage développe bien le combat que nous menons depuis 50 ans à Chiré contre cette anti-France née de la république des Lumières. Il en donne non seulement la genèse mais aussi l'effrayante actualité, tout en terminant sur une belle note d'espérance en constatant que nos arguments sont maintenant plus facilement accessibles grâce à internet.

« Voici un livre sympathique qui nous surprend agréablement. En effet l'auteur est un jeune homme qui a découvert tout seul, grâce à des lectures qui sont tombées entre ses mains et lui ont ouvert les yeux qu'on lui avait menti, qu'on lui mentait depuis qu'il respire. Par quelle voie a-t-il pris ce chemin ? Il raconte lui-même comment un jour de l'année 2008 il trouve un livre : Montoire, Verdun diplomatique de Louis-Dominique Girard ; il lit, est très remué mais refuse de croire... Pour finir et pour savoir, il étudie, en bon juriste qu'il est, les procès de 1944, notamment le procès du Maréchal : ses yeux s'ouvrent, les écailles tombent et il continue ses recherches, va de découverte en découverte et décide de ne pas garder pour lui seul son expérience, cela donne l'ouvrage dont nous parlons qui s'adresse essentiellement aux jeunes gens, à ceux qu'on a trompés, qu'on a trompés à l'école, à l'église, partout.

« Citons l'introduction :
Les Français nés à partir des années 80 n'ont jamais eu la chance de vivre dans une France heureuse et harmonieuse. Ils n'ont eu l'occasion de la voir qu'éclipsée, divisée contre elle-même, enfoncée dans la dépression, la tristesse et la haine de soi (...) Tandis que chaque règne des Capétiens apportait une pierre supplémentaire à la forteresse France, chaque présidence, au contraire, s'emploie à ébranler son édifice (...) La décomposition de la France s'explique avant tout par une cause interne, encore inabordée. Cette cause, c'est le phagocytage de la France par l'Antifrance. (pages 7-8)

« L'ouvrage est divisé en deux parties comportant chacune quatre chapitres.

« Les titres sont significatifs : " La France éclipsée ", " Naissance et ascension de l'Antifrance ", " Réquisitoire contre soixante-dix ans de mensonges ", " La V^e République ou le paroxysme de la défrancisation ".

« La deuxième partie qui s'intitule " La nouvelle opinion publique " est particulièrement intéressante car elle est constructive. Adrien Abauzit ne se contente pas de dénoncer, de se scandaliser, il invite ses lecteurs, et notamment ceux de sa génération, à réagir, à se convertir.

« Oui ce livre est celui d'un converti, il en a les menus défauts mais de grandes qualités : l'enthousiasme qui manque tant à la jeunesse d'aujourd'hui. Vous ne me croyez pas ? Lisez ses remerciements : " Remerciements : au Bon Dieu que tout Français doit servir ". »

Claude Jacque, dans Lecture et Tradition nouvelle série, n° 83 (mars 2018)

Les avis clients

Déclin et décomposition !

5/5 Faits et Documents.

.----. Une réflexion sur le déclin et la décomposition de la France au profit d'une anti-France incarnée par la République des Lumières. [ Numéro 439 - 15 au 30 septembre 2017 ]

Une France divisée contre elle-même

4/5 Max

Adrien Abauzit, nouvelle plume de la dissidence française, signe un ouvrage majeur, synthétique, authentique et qui ferra certainement date dans les temps futurs lors desquels le français encore conscient de lui-même cherchera à comprendre en un bref résumé l'historique du morcellement de son territoire, jadis prospère et unifié, en communautés séparées que si peu de choses ne rassemblent désormais. L'auteur pèche cependant lourdement en restant inconséquent et laconique concernant son positionnement religieux et la place qu'il lui accorde dans le modus operandi politique de survivance de la France qu'il propose. Car si A. Abauzit affiche avec zèle son attachement pour l'Eglise catholique traditionnelle, celui-ci n'hésite pas à emprunter le vocable de Henry de Lesquen en évoquant la réémigration comme d'une méthode pour se débarrasser du fléau migratoire, principal danger mortel auquel est confronté notre pays, tout ceci en faisant également un distinguo entre les français de souche (blancs - européens) et les autres (invitant les premiers à se créer en réseau d'entre-soi). Le souci majeur étant que l'auteur ne semble pas comprendre qu'entre son culte de la patrie charnelle et celui spirituel hérité du trône de Saint-Pierre se noue une confrontation à première vue indissoluble. Ce qui trouble d'autant plus le lecteur averti sur ces questions c'est l'incapacité que l'on peut avoir à comprendre le sens que l'auteur accorde à sa religion chrétienne par rapport à celui que lui renvoie son attachement viscéral pour sa patrie - objet de ce livre - car les deux réalités se différencie assez clairement, que ce soit dans l'espace et dans le temps : l'une est une religion à destination de tous les hommes qui doit durer jusqu'à la fin des temps tandis que l'autre est une civilisation ethno-culturelle multi-millénaire en voie de disparition du fait des migrations successives venues d'Afrique qu'elle subies depuis la fin du siècle dernier. La question demeure celle-ci : laquelle de ces deux réalités doit primer sur l'autre en dernier recours ? C'est un peu la trame du Camp des Saints qui ressurgit ici, car en rejetant dans les abîmes ceux qui viennent et viendront par millions des flots trouver chez nous un mieux être ou en acceptant de vivre dans des communautés séparées selon l'appartenance ethnique (raciale) et entre lesquelles ne règne que la ségrégation, ne nous met-on pas à dos l'idée de la primauté des principes bibliques qui sont en premier lieu la conversion des âmes par leur accueil et non leur relégation forcée dans une communauté ou dans l'au-delà selon leur identité géographique de manière à pouvoir sauver la continuité anthropologique d'un peuple, si magnifique fusse l'idée de le conserver ? Gageons que M. Abauzit ne restera pas longtemps discret si ce n'est muet sur ces questions épineuses pourtant essentielles pour comprendre de fond en comble les rouages de son raisonnement.

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