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L´urgence climatique est un leurre

Référence : 99553
1 avis
Date de parution : 31 octobre 2018
Collection : TOUC.ESSAIS
EAN 13 : 9782810008513
Nb de pages : 304
20.00
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Description
La terre se réchauffe dangereusement et si nous ne faisons rien, demain verra la fin du monde. En matière de climat, le marché de la peur est florissant. Une peur bien utile, véritable instrument de pouvoir fondé sur la manipulation des émotions au détriment de la raison. Faut-il en effet rappeler quelques-unes des prophéties émises en 1970 par les premières assises écologistes du "jour de la Terre", pour l'horizon de l'an 2000 : plus une goutte de pétrole, généralisation des famines sur tout le globe et réduction de l'espérance de vie à 49 ans aux Etats-Unis...
Sans oublier le cri d'alarme lancé en 2008 par Al Gore, prix Nobel de la Paix 2007 et ancien vice-président américain, qui annonçait la disparition totale de la calotte glacière estivale au pôle nord en 2013... Pour François Gervais, s'il y a une urgence, c'est celle de retrouver nos esprits... scientifiques. Car, contrairement à ce que disent les responsables du GIEC, il est absolument faux d'affirmer qu'il existe un "consensus" des chercheurs autour des questions climatiques.
Ce livre le prouve en détails. Le catastrophisme des modèles virtuels actuels, source de politiques énergétiques dispendieuses dont certaines n'ont de durable que l'affichage, est en revanche une vraie catastrophe annoncée.  
François Gervais est professeur émérite à la Faculté des Sciences et Techniques de l'Université de Tours. Il a été Expert reviewer du rapport AR5 du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Il est vice-président de Centre. Sciences, Centre de diffusion de la culture scientifique, technique, industrielle en Région Centre-Val de Loire. De 1996 à 2012, il était directeur d'un Laboratoire labellisé UMR 6157 CNRS qui a développé des recherches axées entre autres sur la spectrométrie infrarouge et les matériaux pour l'efficacité énergétique.
De 2005 à 2011, il était conseiller scientifique du Pôle de Compétitivité S2E2, Sciences et Systèmes de l'énergie électrique. De 1982 à 1996, il était maître puis directeur de Recherche au CNRS et sous-directeur du Centre de Recherches sur la Physique des Hautes Températures LP 4212 CNRS. Il est auteur ou coauteur de 236 publications dans des revues internationales à comité de lecture. Il a publié 6 livres,
l'Innocence du carbone chez Albin Michel, d'autres sur les matériaux pour l'énergie, le climat et la programmation chez Lavoisier, Sybex ou Scholar's Press.
Il est médaillé du CNRS en thermodynamique, lauréat du Prix Yvan Peyches de l'Académie des Sciences et officier dans l'Ordre des Palmes Académiques
.
TitreL´urgence climatique est un leurre
Auteur GERVAIS (François)
ÉditeurARTILLEUR (EDITIONS)
Date de parution31 octobre 2018
Nb de pages304
CollectionTOUC.ESSAIS
EAN 139782810008513
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)25
Largeur (en mm)142
Hauteur (en mm)220
Poids (en Kg)0.39
Critique du libraire
" Un livre à lire absolument pour y voir plus clair sur un sujet dont seuls les porte-parole du GIEC sont autorisés à parler dans les médias. " 
Les avis clients
Pour la bonne nouvelle !
5/5 Anne Brassié .
.----. Le physicien français François Gervais vient de publier un livre intitulé " L'urgence climatique est un leurre " (Éditions Le Toucan) dans lequel il confirme ce qu'il avait écrit dans son précédent ouvrage (L'Innocence du carbone ), à savoir que le gaz carbonique n'est ni un poison, ni le principal responsable du réchauffement de 0,6 °C qui a eu lieu entre 1975 et 1998. 1998 ? Oui, car depuis lors, le réchauffement ferait une « pause », selon le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) ! Vingt ans de « pause », donc, et aucun fait observable qui permettrait d'affirmer une reprise du réchauffement ; toutes les annonces du GIEC ne reposent que sur des modélisations informatiques qui sont régulièrement démenties par les observations. Le réchauffement est devenu changement puis dérèglement climatique ; face à l'évidence empirique, le GIEC est contraint d'adapter sa prophétie. Le réchauffement prévu par le GIEC d'ici 2100 était de 6 degrés vers 2005 ; il n'est plus que de 3 degrés, et ce chiffre est contesté par plus de 2.800 articles publiés ces dernières années dans des revues scientifiques à comité de lecture, soit plus de la moitié des 5.000 articles scientifiques publiés sur ce sujet. Les scientifiques « climato-sceptiques » ne sont pas une petite minorité, comme le répètent sans cesse les propagandistes subventionnés des médias, les politiciens, les altermondialistes et l'ONU, mais aussi le monde de la finance. Pour ce dernier, la lutte contre le réchauffement climatique est une aubaine extraordinaire ; la Banque mondiale a calculé le montant global des investissements destinés à la « lutte contre le réchauffement » : 89.000 milliards de dollars d'ici 2030, qui seront payés par les contribuables. Le « green business » est déjà une très juteuse affaire pour tous ceux qui ont investi dans des « fermes » éoliennes et solaires dont le surcoût des prix de production est facturé aux consommateurs d'électricité. François Gervais rappelle que le CO2 n'est pas un poison mais un composant essentiel du cycle de la vie. L'augmentation de sa concentration (de l'ordre de 2 ppm* par an) dans l'atmosphère a provoqué le verdissement de 18 millions de km2 de terres et l'amélioration des rendements agricoles ; en effet, le CO2 est le principal nutriment des végétaux. L'augmentation du taux de CO2 est donc une chance pour tous les affamés de la planète, laquelle a connu des taux de CO2 très supérieurs dans le passé. En 1975, des climatologues, parfois ceux qui ont annoncé un réchauffement de 6 °C, et même de 10 °C par la suite, prophétisaient un nouvel âge glaciaire ! Depuis 1998, la température ne monte plus, comme l'a reconnu le GIEC, bien que les humains n'aient jamais rejeté autant de gaz carbonique. L'augmentation de température qui a eu lieu entre 1975 et 1998 était-elle liée aux émissions de CO2, comme l'a affirmé un peu vite la secte onusienne ? Pour une très petite part seulement, répond François Gervais, qui considère, comme de très nombreux autres physiciens, dont des titulaires du prix Nobel, que ce sont essentiellement des variations naturelles liées aux fluctuations du flux solaire qui sont en cause. Selon François Gervais, il n'y a donc aucune urgence qui serait imposée par le changement climatique ; l'augmentation de la température moyenne mondiale liée au CO2 sera inférieure à 0,5 °C d'ici 2100. Nous avons donc le temps de mettre au point des alternatives aux énergies fossiles qui ne soient pas intermittentes (éolien et solaire sont de très mauvaises solutions). Un livre à lire absolument pour y voir plus clair sur un sujet dont seuls les porte-parole du GIEC sont autorisés à parler dans les médias. [ Publié le 17 décembre 2018 par Anne Brassié sur son blog ] .