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Fin de vie - Les manoeuvres maçonniques pour le "droit à mourir"

Référence : 99896
2 avis
Date de parution : 1 novembre 2018
EAN 13 : 9782740321034
Nb de pages : 192
13.90
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Description
Serge Abad-Gallardo, bien connu pour son témoignage sur la franc-maçonnerie, est aussi bénévole en aumônerie d'hôpital depuis six ans. Il s'alarme de la volonté des lobbies et des médias de promouvoir le suicide assisté et l'euthanasie active sous couvert d'humanité. Son expertise lui permet de constater que, depuis quarante ans, les loges militent pour un " droit à mourir " alors que cela est loin de répondre à une attente populaire : les malades demandent de l'attention plutôt qu'une piqûre létale.
Pourquoi cet acharnement à voler leur mort ? En rassemblant les cas d'Alphie, Anne Bert, frère Vincent, etc., cet ouvrage nous ouvre à l'environnement des soins palliatifs, à l'approche médicale de la souffrance, à la réalité des dérives eugénistes et au pouvoir du médecin traitant. Il nous donne les outils pour ne pas nous laisser illusionner par ce " droit à mourir " alors qu'à nos côtés, des personnes en fin de vie accueillent avec courage l'inconnu de leur mort, attendant de nous un accompagnement aimant. 
Serge Abad-Gallardo, ancien haut fonctionnaire territorial, a passé vingt-quatre ans au sein de l'obédience du Droit Humain, jusqu'à en devenir vénérable maître. Après sa conversion, il a écrit J'ai frappé à ta porte du Temple et Je servais Lucifer sans le savoir, chez Téqui. Maître Jérôme Triomphe est avocat au barreau de Paris. Il conseille et défend des familles dans plusieurs affaires d'euthanasie et il est notamment l'avocat des parents de Vincent Lambert.
TitreFin de vie - Les manoeuvres maçonniques pour le "droit à mourir"
Auteur ABAD-GALLARDO (Serge)
ÉditeurPIERRE TEQUI (EDITIONS)
Date de parution1 novembre 2018
Nb de pages192
EAN 139782740321034
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)12
Largeur (en mm)110
Hauteur (en mm)180
Poids (en Kg)0.17
Critique du libraire
"Tout homme aux prises avec la mort a un droit certain : pouvoir faire confiance aux médecins pour ne pas être euthanasié et être accompagné dans ce parcours à l'issue angoissante. Le secours religieux y est une aide puissante"
Les avis clients
Combattre l'euthanasie !
5/5 L'Action Familiale et Scolaire (AFS)
.----. Qui, plus qualifié que Maître Triomphe, avocat des parents de Vincent Lambert, aurait pu préfacer ce livre sur la fin de vie ? D'entrée de jeu, il accuse nos gouvernants d'avoir en 2005, dans le code dit "de la santé publique", fait revenir hypocritement la peine de mort supprimée du code pénal en 1981. Comme s'il ne s'agissait pas de provoquer la mort ! Tout a commencé avec l'avortement en 1975 et continué avec la loi Léonetti de 2005, Manuel Valls déclarant en effet que cette loi n'était sans doute qu'une étape. Finalement, ce sera "l'improductif" qu'il faudra supprimer. De son côté, Serge Abad-Gallardo revêt par dessus son costume de témoin de la franc-maçonnerie, son costume de bénévole en aumônerie d'hôpital depuis 6 ans. L'ensemble du propos porte sur L'ORIGINE MAçONNIQUE DE TOUTES LES MESURES mettant en œuvre les lois de mort avec la contraception, l'avortement, l'euthanasie, insistant sur les manœuvres pour toucher l'opinion : le meilleur exemple est l'insistance avec laquelle "l'obscurantisme" de l'Eglise est dénoncé chaque fois qu'Elle rappelle que la vie humaine est sacrée, jusqu'au souffle ultime. Une deuxième partie recense les raisons religieuses ou techniques, pour combattre l'euthanasie ; il y expose les dérives actuelles dans lesquelles le monde médical est fortement impliqué. Démontrant que cette lutte politique s'est infiltrée dans le milieu médical comme dans le judiciaire, il conclut que les discours "droits-de-l'hommistes" tendent à faire croire que l'homme est maître de son destin. Le rappel des vérités catholiques le conduit à évoquer trois fins de vie, dont celle de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus. Tout homme aux prises avec la mort a un droit certain : pouvoir faire confiance aux médecins pour ne pas être euthanasié et être accompagné dans ce parcours à l'issue angoissante. Le secours religieux y est une aide puissante. [ Numéro 263 - juin 2019 de l'AFS ]
Pourquoi « la promotion » de l’euthanasie
5/5 réinformation.tv
.----. Entretien exclusif avec Armel Joubert des Ouches sur réinformation.tv Après avoir passé plus de vingt ans au sein des loges maçonniques du Droit humain, une émanation du Grand Orient, Serge Abad-Gallardo, ancien haut fonctionnaire, converti au catholicisme, avait livré son parcours au lecteur dans un premier livre « J’ai frappé à la porte du temple ». Il revient aujourd’hui avec la sortie d’un nouvel ouvrage intitulé « Les manœuvres de la franc-maçonnerie pour le “droit à mourir” ». Serge Abad-Gallardo sait de quoi il parle L’euthanasie. On en parle beaucoup en France depuis ces 10 dernières années. Il y a eu l’affaire Vincent Humbert. Il y a eu ensuite le douloureux dossier Vincent Lambert, dossier toujours en cours actuellement. Deux événements sur lesquels les médias et le monde politique se sont appuyés pour faire « la promotion » de l’euthanasie, une mort selon eux « lente mais digne et sans souffrance ». Depuis sa conversion au catholicisme, Serge Abad-Gallardo est directement concerné par le sujet. Depuis 2012, de façon bénévole, il visite les malades. Dans le cadre d’une pastorale de la santé, il a intégré une aumônerie catholique. Affecté dans le service de soins palliatifs d’un hôpital public, Serge Abad-Gallardo accompagne des mourants avant leur décès. A ce jour, il s’est rendu au chevet de plusieurs centaines de personnes. « J’ai vécu de véritables d’amour avec des hommes et des femmes, sur le plan spirituel, explique-t-il. Ce sont des gens qui sont devenus mes amis et je pense avoir été leur ami. Quelqu’un que vous ne connaissez pas, vous entrez dans une chambre, vous le suivez pendant 2 semaines, 2 mois. Et lorsque vous terminez, vous prenez sa main et il part en vous regardant. Il n’est pas indigne et vous non plus. Vous n’êtes pas son bourreau. Vous l’accompagnez sur un chemin que lui seul peut prendre qui le chemin du mystère. Ce mystère que la franc-maçonnerie refuse de voir. Pour la franc-maçonnerie, il n’y a pas de mystère, il n’y a que des secrets ! Voilà encore une différence énorme entre le catholicisme et la franc-maçonnerie ». Une fixation sur la franc-maçonnerie ? Selon Serge Abad-Gallardo, pour se convaincre de l’implication de la franc-maçonnerie dans les débats qui ont lieu depuis de nombreuses années visant à imposer l’euthanasie dans la société française, il suffit juste de juger des faits. « Et les faits parlent d’eux-mêmes. Lorsqu’on lira mon livre, explique-t-il, on s’apercevra que la franc-maçonnerie est à la manœuvre derrière l’idéologie mortifère qui tend à vouloir imposer l’euthanasie dans la loi française ». L’auteur dit confirmer ses propos par des écrits maçonniques. Les idéaux de la FM sont inscrits dans la société française « Le tout premier projet de loi enregistré aux assemblées date de 1976. C’est le sénateur Henri Caillavet qui en est le rapporteur ou même l’auteur. Monsieur Romero, président de l’association pour le droit à mourir dans la dignité expliquait, dans une interview accordée à un journaliste, que Monsieur Caillavet était l’un des derniers grands franc-maçon et homme politique… » Des faits irréfutables Dans cet entretien réalisé par Armel Joubert des Ouches, Serge Abad-Gallardo révèle qu’il possède une planche maçonnique sur laquelle l’auteur fait l’apologie de l’euthanasie. Selon ce dernier, cette planche date de 2004. « Cet auteur fait l’éloge de l‘euthanasie alors même qu’il décrit une situation où la personne ne souffre pas ! On voit donc bien qu’il y a, derrière l’idéologie maçonnique, la volonté de maitriser le moment où l’homme décidera de mourir. » « Mais où est donc l’amour dans cette société ? » « Vous savez, les gens, lorsqu’ils parlent d’euthanasie, ils vous disent “J’ai besoin de votre amour”. Notre monde manque d’amour ! Lorsqu’on est atteint d’une grande maladie, un médecin vient vous dire « L’issue est fatale, votre maladie a gagné, maintenant nous allons soulager la douleur ». Ces gens passent par un certain nombre de phases… On ne gère pas une société comme on gère une entreprise. Les personnes ne sont pas des machines. Je suis déjà rentré dans des chambres où des personnes avaient des cancers, explique-t-il. Des personnes qui se trouvaient en chimiothérapies. La chimio fait vomir, donc cela sentait le vomi. A ces gens-là, je leur prenais la main et ils n’étaient plus indignes. Si nous considérons qu’une personne âgée à une bouche de grenouille et qu’elle sent le vieux, alors nous sommes des barbares ! Il faut faire comprendre à ces personnes-là ce qu’est l’amour de Dieu que nous portons en elles ».