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Ungern - Le dieu de la guerre

Référence : 115323
1 avis
Date de parution : 1 novembre 2020
EAN 13 : 9782970129233
Nb de pages : 424
25.00
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Description
L'incendie allumé en 1917 par le Bolchevisme emporte dans un tourbillon de feu et de sang le cœur même de l'Asie. Contre les hordes qui déferlent sur le pays ravagé, se dresse, solitaire, un simple chef d'escadron de cavalerie qui se proclame de lui-même général. Il se nomme Roman Feodorovitch von Ungern-Sternberg. D'origine balte, fruste, sauvage, impitoyable, il se veut loup parmi les loups de la steppe. Il va franchir en 1920 la frontière mongole, conquérir Ourga la capitale et tenter de réaliser le grand rêve de Gengis-Khan : la conquête de l'Asie puis de l'Europe. Dernier chef des armées blanches, il sera bien près de réaliser sa folle ambition. Trahi et capturé par les Rouges en 1921, après avoir été célébré par les Mongols comme leur dieu réincarné de la guerre.
TitreUngern - Le dieu de la guerre
Auteur MABIRE (Jean) , TERPANT (Jacques)
Auteur illustrateurTERPANT (Jacques)
ÉditeurLOHENGRIN (EDITIONS)
Date de parution1 novembre 2020
Nb de pages424
EAN 139782970129233
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)35
Largeur (en mm)160
Hauteur (en mm)230
Poids (en Kg)0.66
Les avis clients
Superbement illustré
4/5 Breizh-info
Ungern, le Dieu de la guerre, par Jean Mabire. Tel est le nom du livre que viennent de publier les éditions Lohengrin. Un livre superbement illustré par Jacques Terpant. Voici le synopsis de l'ouvrage : L'incendie allumé en 1917 par le Bolchevisme emporte dans un tourbillon de feu et de sang le coeur même de l'Asie. Contre les hordes qui déferlent sur le pays ravagé, se dresse, solitaire, un simple chef d'escadron de cavalerie qui se proclame de lui-même général. Il se nomme Roman Feodorovitch von Ungern-Sternberg. D'origine balte, fruste, sauvage, impitoyable, il se veut loup parmi les loups de la steppe. Il va franchir en 1920 la frontière mongole, conquérir Ourga la capitale et tenter de réaliser le grand rêve de Gengis-Khan : la conquête de l'Asie puis de l'Europe. Dernier chef des armées blanches, il sera bien près de réaliser sa folle ambition. Trahi et capturé par les Rouges en 1921, après avoir été célébré par les Mongols comme leur dieu réincarné de la guerre. Les éditions Lohengrin sont nées il y a maintenant deux ans, avec pour objectif de rééditer des livres aujourd'hui difficile à trouver. « Nous avons débuté notre carrière éditoriale par une réédition complète du « Petit Livre noir » de Julius Evola, avec nouvelle préface du président de l'association Julius Evola, Gianfranco de Turris. Celui-ci n'avait alors jamais été traduit de façon intégrale. Nous avons ensuite publié « Traits-Portrait », une série de portraits d'auteurs chers à Jacques Terpant. Avec «Ungern, le Dieu de la Guerre », nous ajoutons un troisième ouvrage à notre catalogue » nous indique Eva, la responsable. « Ungern, le Dieu de la Guerre » est un de nos livres favoris. L'épopée de ce personnage cherchant à créer une jonction entre Extrême Orient et Extrême Occident, vénèrant à la fois le souvenir de Genghis Khan et celui des chevaliers teutoniques a toujours suscité notre intérêt. Avec cette réédition, nous voulions associer le récit de Jean Mabire aux dessins de Jacques Terpant. Nous trouvions que le trait de ce dernier correspondait à l'univers des steppes et de la cavalerie que l'on retrouve tout au long de l'aventure du Baron » poursuit-elle pour répondre à nos questions. Mais qui était vraiment le baron Ungern ? Explications avec l'éditrice. « Le baron Roman Feodorovitch von Ungern-Sternberg était un officier de cavalerie russe, d'origine Balte. Engagé dans un régiment de cosaque et combattant de la première guerre mondiale, il était fasciné par la tradition, le shamanisme ou l'occultisme orientale et rejetait en bloc tout ce qui avait trait à la modernité. Fin connaisseur de la Mongolie, il y conduit d'abord une guerre contre les chinois, puis les bolcheviques à la tête d'une division de cavalerie asiatique composé à la fois de cosaques, de cavaliers mongols, de bouriates et de combattants japonais ainsi que de divers peuples d'Asie. Son rêve ne se limitait pas à une simple victoire sur le communisme en Russie, mais à une victoire sur l'Occident qu'il entendait débarasser de la modernité. Personnage haut en couleur, il inspira une bande dessiné à Hugo Pratt, et le roman de Jean Mabire que nous rééditons aujourd'hui » Eva nous explique par ailleurs que « Lors de sa première sortie en 1973, le livre s'est vendu à 1700 exemplaires. Jean Mabire considera néanmoins qu'il s'agissait d'un de ces ouvrages les moins bien vendus, certains autres comme « la Brigade Frankreich » ou « la Division Charlemagne » ayant atteint les 20-50'000 ventes. Aujourd'hui, ce chiffre serait un franc succès, autre temps, autre mœurs.» Le livre contient une douzaine d'illustrations, en couleurs ou en noir et blanc faites par Jacques Terpant. Ungern Khan est évidement le personnage à l'honneur, mais l'éditeur voulait également mettre en lumière d'autres personnages du roman de Jean Mabire comme l'ataman Semenov ou le colonel Suzuki. Les charges de cavalerie ont inspirés l'illustrateur. Les éditions Lohengrin ne comptent pas s'arrêter en si bon chemin et vont éditer prochainement d'autres livres illustrés, actuellement à l'étude. <p align="right">Breizh-Info le 01/12/2020 <a href= https://www.breizh-info.com/ target=_blank>www.breizh-info.com/</a>