Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

Nos bureaux seront fermés le 29 mars en raison du Vendredi Saint.

L´homme qui peignait les âmes - Roman

Référence : 118958
3 avis
Date de parution : 2 juin 2021
Auteur : ARDITI (Metin)
Éditeur : GRASSET (EDITIONS)
Collection : LITTERATURE FRA
EAN 13 : 9782246823957
Nb de pages : 304
20.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié à partir du 02 avril
Voir la disponibilité en magasin

Description
Acre, quartier juif, 1078. Avner, qui a quatorze ans, pêche avec son père. A l'occasion d'une livraison à un monastère, son regard tombe sur une icône. C'est l'éblouissement. "Il ne s'agit pas d'un portrait mais d'un objet sacré, lui dit le supérieur du monastère. On ne peint pas une icône, on l'écrit, et on ne peut le faire qu'en ayant une foi profonde". Avner n'aura de cesse de pouvoir "écrire".
Et tant pis s'il n'a pas la foi, il fait comme si, acquiert les techniques, apprend les textes sacrés, se fait baptiser, quitte les siens. Mansour, un marchand ambulant musulman, le prend sous son aile. C'est l'occasion d'un merveilleux voyage initiatique d'Acre à Nazareth, de Césarée à Jérusalem, puis à Bethlehem, jusqu'au monastère de Mar Saba, en plein désert de Judée, où Avner reste dix années où il devient l'un des plus grands iconographes de Palestine.
Refusant de s'astreindre aux canons rigides de l'Eglise qui obligent à ne représenter que Dieu et les saints, il ose reproduire des visages de gens de la vie ordinaire, cherchant dans chaque être sa part de divin, sa beauté. C'est un triomphe, c'est un scandale. Se prend-il pour un prophète ? Il est chassé, son oeuvre est brûlée. Quel sera le destin final d'un homme qui a osé défier l'ordre établi ? Le roman de l'artiste qui, envers et contre tous les ordres établis, tente d'apporter de la grâce au monde.
TitreL´homme qui peignait les âmes - Roman
Auteur ARDITI (Metin)
ÉditeurGRASSET (EDITIONS)
Date de parution2 juin 2021
Nb de pages304
CollectionLITTERATURE FRA
EAN 139782246823957
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)21
Largeur (en mm)144
Hauteur (en mm)205
Poids (en Kg)0.32
Critique du libraire
Proposé par l'éditeur. Nous n'avons pas lu cet ouvrage.
Les avis clients
Le Christ guerrier de Mar Saba
3/5 https://www.francisrichard.net/
.----. Il se pouvait que le bois ait été coupé au XIe et que l'œuvre n'ait été réalisée que trois siècles plus tard. Mais la probabilité qu'il soit resté intact étant quasi nulle, cette hypothèse est écartée. Quel iconographe de génie a peint le Christ guerrier, cette icône qui se trouve aujourd'hui au monastère de Mar Saba, à une vingtaine de kilomètres au sud de Bethléem? Metin Arditi raconte son histoire dans L'homme qui peignait les âmes, dans le contexte reconstitué de la fin du XIe en Terre Sainte, avant et pendant les deux premières croisades. Reproduire l'image d'un être vivant n'était permis ni aux musulmans ni aux juifs. Pour ce qui concerne les chrétiens, ils le pouvaient mais à condition de respecter des canons. Quand frère Anastase du monastère de la Sainte Trinité, laisse percevoir par Avner, qui est juif, une icône, puis d'autres, dans l'église, celui-ci repart avec l'esprit en feu. Il ne le sait pas encore, mais il a trouvé sa vocation, celle d'écrivain d'icônes. Car Anastase lui a dit qu'on ne peint pas une icône qui est une représentation du divin, on l'écrit. Pour ce faire, il est prêt à tout, à commencer par l'apprentissage des techniques de bois: d'abord le choisir, ensuite le découper en planches, enfin rendre lisses celles-ci. Ces trois premières portes franchies, pour franchir les suivantes, il doit apprendre le grec, connaître les Textes, recevoir le baptême, buts qu'il ne peut atteindre sans tricher. Bien qu'il ne soit pas animé par la foi, malgré qu'il en ait, il se fait baptiser, devient Petit Anastase et franchit les dernières portes pour être un écrivain d'icônes digne de ce nom: Peu lui importait qu'il eût ou non la foi, il croyait en la beauté, en celle des icônes, en la consolation qu'elles offraient. Seulement cette foi en la beauté, qu'il exprime dans ses icônes, n'est pas ce qui lui est demandé. On considère qu'il peint plutôt qu'il n'écrit. En avance sur son temps, il est rejeté. Qu'importe qu'il honore le Seigneur à sa façon, en écrivant des icônes pour chanter l'Homme, la plus grande merveille de la Création. Ce n'est pas la foi qui convient... Quoi qu'il en soit, cette façon d'honorer le Seigneur, si elle exalte les uns, exaspère les autres, surtout ceux qui dictent aux autres ce qu'ils doivent penser et... les jaloux. Ce Juif est non conformiste, c'est-à-dire hérétique. Si la Terre Sainte est celle des trois religions du Livre, il ne peut que choquer en voulant les concilier et en disant sincèrement: Notre religion dit la Loi. J'ai beau l'avoir abandonnée, sa rigueur et sa majesté m'impressionne. La vie du Christ m'enseigne la charité, et l'Islam me rappelle l'importance de l'humilité et de la soumission. Pourquoi devrais-je refuser l'hospitalité de l'une de ces maisons en faveur d'une autre? Découvrir la beauté de chacun - sa part divine -, en faire une source de joie, lui faire confiance au lieu de le contraindre par la peur ou la violence, sont sa mission d'homme. [ Le blog de Francis Richard "Semper longius in officium et ardorem" le 2 juillet 2021 ]
J'avoue ma faute !
1/5 Jean Auguy.
Dans certaines circonstances on va trop vite, ce livre me semblait intéressant au sujet des Icônes, mais en lisant le texte de Francis Richard j'aurais du me méfier ! Errare humanum est !
Un mauvais livre
1/5 Françoise
Quelqu’un de chez vous l’a-t-il lu ? Moi oui, c’est un mauvais livre, la fin me paraît scandaleuse. Je voulais juste vous informer. Amitiés.