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Bernard GANTOIS (1944 - )

Bernard GANTOIS (1944 - )
Bernard Gantois est né en 1944 dans le nord de la France, sous occupation allemande. Ses parents, instituteurs, et grands-parents, ouvriers, avaient beaucoup plus foi en Staline, dont ils espéraient beaucoup, qu'en Pie XII. Mais il fut cependant baptisé. Après de brillantes études, conclues par un diplôme d'ingénieur, et un second de spécialisation en infrastructures, il était, nous dit-il, totalement inconscient du formatage politique sournois qu'il avait reçu dans ces institutions, au delà de la formation à son futur travail. Il devint commercial en ingénierie d'infrastructures, après quelques réalisations techniques réussies ayant lancé sa carrière, puis directeur du développement mondial de la société. Deux cents cinquante jours par an de voyages et, évidemment, aucune préoccupation politique ou spirituelle.
Revenu en France à 39 ans, dans une très grande société nationale de transports urbains, proche par ses responsabilités des milieux politiques, il découvre la réalité française : le règne presque total du mensonge et de l'hypocrisie, conséquence de l'influence parfaitement monopolistique de puissants groupes de pression et de confréries discrètes dans la haute administration et les ministères. Après sept années dans cette ambiance délétère, il est reparti faire du commerce international dans des organisations en général privées aux objectifs clairs...
Il a commencé à lire des livres d'histoire, pour essayer de comprendre, puis des ouvrages de réflexions plus ou moins philosophiques sur l'essence du régime républicain - c'était l'époque du bi-centenaire de la révolution française - et son mode de fonctionnement. Il a fini par comprendre qu'en assassinant Louis XVI la révolution avait sorti Dieu de la société et que sans Lui, elle ne pouvait être qu'un infini désordre que les associations secrètes tentaient d'organiser à leur profit. Après sa cessation d'activité, par soucis de cohérence entre ses pensées et ses actes, il est allé voir un moine bénédictin d'une abbaye proche de chez lui, qui l'a guidé jusqu'à sa première communion en 2009 et sa confirmation en 2010 le jour de son 66ème anniversaire.