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Démasqués - Infiltré au coeur du programme antifa de destruction de la démocratie

Référence : 119434
1 avis
Date de parution : 28 octobre 2021
Auteur : NGO (Andy)
Éditeur : RING (EDITIONS)
EAN 13 : 9782902324163
Nb de pages : 318
20.00
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Description
Au péril de sa vie, le journaliste Andy Ngo a infiltré l'organisation secrète antifa. Il y dévoile pour la première fois des documents explosifs, les dessous de l'organisation, et la chasse à l'homme dont il a été la victime. Plongez dans l'enquête choc qui enflamme les Américains.
En 2020, dans le sillage de la mort de Georges Floyd, de violentes émeutes éclatent dans les grandes villes américaines. Aux manettes : le mouvement antifa. Visages masqués, entièrement vêtus de noir, les émeutiers mettent les villes à sac, laissant derrière eux un champ de ruines. Par-delà les dégâts matériels, leur violence fera aussi des morts. 
À Seattle, les militants antifas annexent le quartier de Capitole Hill, aussitôt proclamé "zone autonome libertaire" et soumis à une organisation raciale, Noirs et Blancs séparés. La zone est interdite à la police, cernée de barrages et de checkpoints. N'y sont admis que les sympathisants du mouvement. La population, prise en otage, subira des jours durant les effets concrets de leur idéologie. Là encore, les destructions sont massives. Là encore, il y a des morts.Andy Ngo, journaliste américain spécialiste de cette mouvance d'extrême gauche, a infiltré la zone autonome de Capitole Hill. Ses conclusions sont sans appel : la violence des "antifascistes", loin d'être spontanée, est au service d'un agenda politique.
Comment ce mouvement, créé en 1932 par le Parti Communiste allemand, s'est-il implanté aux États-Unis, où il bénéficie de la sympathie des médias et de figures politiques issues des rangs démocrates ? Est-il si spontané qu'il le prétend ? Le journaliste, lui-même agressé physiquement et harcelé au point d'avoir dû quitter les USA, décrit au contraire une organisation méthodique et totalitaire : profilage et surveillance des recrues, endoctrinement, formation à la violence physique et à la technique des "black blocks", lynchage et intimidation de ceux qui n'adhèrent pas à leur idéologie. Leur objectif : mettre à bas l'État-nation, la police et la propriété. En un mot, instaurer le droit du plus fort.  
Fils de réfugiés boat-people, Andy Cuong Ngô est un journaliste américain et célèbre personnalité des médias sociaux connue pour couvrir et enregistrer des manifestations de grande ampleur ces dernières années aux USA. Journaliste et éditorialiste au Wall Street Journal, New York Post, National Review, Fox News et autres, sa série pour le New York Post sur l'industrie des "faux crimes haineux" de Portland est devenue virale et traversa tous les Etats-Unis.
Il a également attiré l'attention nationale américaine lorsqu'il a été attaqué par des Antifas dans les rues de Portland à l'été 2019. Ancien rédacteur en chef de Quillette. co, il dirige aujourd'hui The Post Millennial, un site internet d'actualité nord-américain
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TitreDémasqués - Infiltré au coeur du programme antifa de destruction de la démocratie
Auteur NGO (Andy)
ÉditeurRING (EDITIONS)
Date de parution28 octobre 2021
Nb de pages318
EAN 139782902324163
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)28
Largeur (en mm)141
Hauteur (en mm)221
Poids (en Kg)0.41
Les avis clients
Au cœur de la folie destructrice des antifas américains
5/5 https://www.bvoltaire.fr/
.----. Le livre : Démasqués. Infiltré au cœur du programme antifa de destruction de la démocratie, de Andy Ngo, Éditions Ring. Un jour de mai 2019, Andy Ngo remonte une manifestation d’antifas dans sa ville de Portland, sa caméra GoPro sur le front, lorsqu’un militant le reconnaît. Le jeune journaliste s’est spécialisé sur le sujet : il a publié des articles sur les antifas dans la presse de sa ville de Portland mais aussi dans le Wall Street Journal et il a eu accès aux antennes de Fox News. Soudain, le slogan crié par les antifas change. Ils scandent « Pas de haine, pas de peur » lorsque Andy Ngo sent un choc à l’arrière du crâne. Les coups pleuvent soudain, à la tête, sur son dos, ses épaules, entre les jambes. On lui arrache sa caméra. « L’agression m’a laissé en sang, complètement désorienté, poursuit Ngo. Mon oreille saignait, j’avais des plaies sur tout le visage. Je sentais mes yeux s’injecter de sang. » Une grêle d’objets divers pleut alors sur le jeune journaliste, sous les rires et les insultes des antifas. « Putain de vendu, salope ! », lui lance l’un d’eux. Aux urgences de l’hôpital, les médecins diagnostiquent une hémorragie cérébrale. Rose City Antifa, le groupe des antifas de Portland, revendique l’agression qu’un reporter du journal The Oregonian a en partie filmée. Lynché, Andy Ngo devient célèbre aux États-Unis qui découvrent que les « gentils » antifas ont leur face noire. Andy Ngo enquêtait depuis plusieurs mois sur cette mouvance qui, en France, s’en prend actuellement à Éric Zemmour et ses partisans après avoir longtemps harcelé le Front national. « Les Antifa, en réalité, idolâtrent la violence, écrit-il dans son livre traduit de l’américain et édité chez Ring sous le titre Démasqués. Infiltré au cœur du programme antifa de destruction de la démocratie. « Depuis 2015, ils ont harcelé, agressé, volé, voire tué un nombre incalculable de gens, y compris des journalistes. ». Les médias et la justice, sauf exception, ne se sont pas beaucoup penchés sur la question, alors que l’auteur a témoigné devant le Sénat américain, le 4 août 2020, à l’invitation du sénateur conservateur Ted Cruz. « Les Antifa avaient décidé que j’allais faire partie de leur histoire : après mon lynchage en 2019, je suis devenu leur ennemi public numéro un. J’ai reçu des menaces de mort, ils m’ont traqué. Ils sont allés plusieurs fois chez mes parents, ils m’ont menacé de me tirer dessus, de m’immoler. Sur les réseaux sociaux, ils ont exposé en temps réel le moindre de mes mouvements. Ils ont menacé mes amis. » De charmants garçons. Sur près de 350 pages, Andy Ngo décrit par le menu les actions, les meurtres à Saint-Louis ou à Davenport, les « stars » et la philosophie des antifas qui couvrent une partie du monde occidental et sont particulièrement actifs en France. Il décrit leurs modes d’action et ce curieux reversement du vocabulaire. « Le terme de solidarité peut sembler anodin, écrit l’auteur. En réalité, il constitue dans les milieux d’extrême gauche un stimulus qui déclenche toujours le même genre de passage à l’acte. En l’occurrence, solidarité est synonyme de violence. » Ngo parle de leur objectif : « La disparition de l’Amérique, le but ultime à leurs yeux. » De l’Amérique et des nations. Pour cela, tout est bon : le pillage, la bagarre, la destruction, l’incendie. « Pour eux, seule la violence peut arrêter le fascisme », dit Ngo. L’auteur détaille leur philosophie, une utopie nihiliste, et rapporte les programmes de leurs formations Ainsi, dans un module 3 des antifas de Portland, les militants sont invités à argumenter pour démontrer l’importance de l’antifascisme militant et le distinguer de l’antiracisme classique. Une réflexion courte avant des actions dures. L’histoire de ce mouvement qui remonte à l’entre-deux-guerre. « Sous la République de Weimar, l’action Antifa annexait des bâtiments, des rues, voire des quartiers entiers : les Antifa d’aujourd’hui ne procèdent pas autrement. » Le mouvement s’est installé en Angleterre, dans le sillage des groupes punk rock des années 1970. En 2020, Donald Trump avait respecté une promesse de campagne en inscrivant ces mouvances parmi les organisations terroristes nationales, provoquant une vague d’articles en défense dans la presse américaine. Il en faudra davantage pour endiguer les dégâts sur les esprits. « Les Antifa, leurs copains d’extrême gauche et leurs idiots utiles ont convaincu l’opinion que le patriotisme était synonyme de fascisme et de racisme », conclut Ngo, rejeton méritant d’une famille vietnamienne pauvre émigrée aux États-Unis. « Je réfute cette thèse et j’invite tous les honnêtes gens à en faire autant. » Mais puisqu’on vous dit que les méchants, c’est les partisans de Zemmour, Le Pen ou Ciotti… [ Signé : Marc Baudriller , Journaliste le 11 décembre 2021 ]