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La valse de l´adieu

Référence : 124339
4 avis
Date de parution : 6 octobre 2022
Éditeur : PLON (EDITIONS)
EAN 13 : 9782259311175
Nb de pages : 594
22.90
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Description
Comme toujours, Philippe de Villiers aime réveiller la grande Histoire pour mieux taquiner notre modernité.
Une Valse de l'adieu empreinte de pensées, de références, d'actualités.
Tout commence le 8 août 1808, dans une France meurtrie par les guerres révolutionnaires. Jean Rogronille, un Vendéen, cache son passé pour faire oublier son engagement dans la chouannerie.
Contraint de s'engager dans la Grande Armée, il participe à la retraite de Russie, pendant laquelle il est fait prisonnier. Sur le chemin de son retour en France, il fait une incroyable rencontre, celle de Frédéric Chopin.
Désormais leur destin est lié.
Humilié par Napoléon, notre héros n'aura de cesse de vouloir laver son honneur. Convoqué par le roi, Jean Rogronille pense sa dernière heure arrivée, quand, à sa grande surprise, Chopin va le sauver... par la magie d'une valse. 
Philippe de Villiers est une figure incontournable de la vie politique française. Passionné d'histoire, il fonde le Puy du Fou en 1977, aujourd'hui l'un des plus célèbres parcs d'attractions au monde.
Connu pour son franc-parler et ses répliques qui font mouche, il est également un auteur de romans à succès (
Le Roman de Saint-Louis, Albin Michel, 2013, 42 800 ex. ; Le Roman de Jeanne d'Arc, Albin Michel, 2014, 34 700 ex. ; Le Mystère Clovis, Albin Michel, 2018, 32 200 ex.).
TitreLa valse de l´adieu
Auteur VILLIERS (Philippe de)
ÉditeurPLON (EDITIONS)
Date de parution6 octobre 2022
Nb de pages594
EAN 139782259311175
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)38
Largeur (en mm)152
Hauteur (en mm)221
Poids (en Kg)0.65
Biographie
Philippe de VILLIERS (1949 - )
Philippe de VILLIERS (1949 - )

Né le 25 mars 1949 à Boulogne (Vendée), Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon s'est marié en 1973 à Mlle Dominique de Buor de Villeneuve et eut sept enfants.

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Critique du libraire
Le nouveau roman historique de Philippe de Villiers
Des guerres de Vendée à Napoléon, la période clé de l'histoire de France
La rencontre improbable, mais véridique d'un luthier vendéen avec Chopin
Un roman à clé particulièrement d'actualité
Une saga historique, originale, tumultueuse et riche 

Derrière l'aventure artistique du Puy du Fou qui a valu à Philippe de Villiers de recevoir le Hall of Fame à Los Angeles en 2017, il y a un essayiste et romancier historique dont l'écriture est reconnue. Sa » circonscription lectorale » n'a cessé de s'élargir. Il a publié une trentaine d'ouvrages. Ses romans et essais sont tous des bestsellers.
Les avis clients
Faire taire le parti de la guerre...
5/5 https://www.lesalonbeige.fr/
.----. En présentation d'une émission de TVL. Philippe de Villiers : “Face aux inconscients, il faut faire taire le parti de la guerre” Le dernier roman de Philippe de Villiers “La valse de l’adieu” est un livre-événement qui nous transporte de la Vendée, à peine sortie de la Grande guerre, à la Russie où la neige fait un linceul à la grande armée de Napoléon. Philippe de Villiers qui est un passionné d’Histoire nous offre, à travers son héros Jean Rogronille dit le Jean-Foutre, un récit haletant, fascinant où le souffle lyrique traverse la grande et la petite histoire. Au-delà de la présentation de l’ouvrage, l’auteur évoque, pour TVL, l’actualité politique et internationale avec toujours la même acuité. Interrogé sur la Russie, il se prononce contre les sanctions et appelle à faire taire “le parti de la guerre” en refusant, notamment, d’être au service exclusif de l’Amérique. Philippe de Villiers, dont l’œuvre permet de retisser le roman national, s’adresse aussi aux nouvelles générations en leur disant avec vigueur : “Regardez la France parce qu’elle est belle ! Oui, la France est avant tout un acte d’amour”. ( Signé : Michel Janva le 25 octobre 2022 ) P.S. : Salon Beige, qui êtes-vous ? Nous sommes quelques laïcs catholiques, dans la tranche d'âges 30-50 ans. Ce qui nous unit, c'est notre Foi catholique et notre désir, au fil de l'actualité, de réfléchir à voix haute sur la façon de l'appliquer dans la société actuelle. Fidèles au Pape, au Magistère de l'Eglise, nous voulons travailler au Bien commun de la société en informant nos lecteurs sur l'actualité, vue au regard de la doctrine sociale de l'Eglise. Le directeur de la publication est Guillaume de Thieulloy. Adresse : Tour CIT, 3 rue de l'Arrivée, 75015 Paris ]
Un "roman national"
5/5 Valeurs Actuelles
.----. Pourquoi publier ce livre aujourd'hui ? C'est une histoire que je porte en moi depuis ma plus tendre enfance. À chaque fois que, roulant vers le mont des Alouettes, je passais, avec mon père ou ma mère, aux Quatre Chemins de l'Oie - lieu-dit très connu en Vendée, avec quatre routes qui se croisent -, nous avions une pensée pour celle que mes parents appelaient "la Hussarde". La Hussarde était une jeune héroïne de la guerre de Vendée. Après avoir tué un hussard, elle avait revêtu son uniforme - d'où son surnom - et elle reçut des mains de la duchesse de Berry en ce lieu mémorable un fusil d'honneur. Mais surtout, à chaque passage, mon père et ma mère nous donnaient à entendre un fait de la petite et de la grande histoire qui me fascinait et que j'ai voulu, à mon tour, raconter à tous les Français, à travers ce livre. L'histoire est la suivante - et elle est authentique. Le 8 août 1808, l'Empereur, qui a promis de venir un jour panser les plaies de la Vendée et en même temps visiter sa capitale qui porte son nom : Napoléon - aujourd'hui La Roche-sur-Yon -, s'arrête aux Quatre Chemins de l'Oie. Il a émis le voeu qu'on lui présente un échantillon de bleus et de blancs de la Grande Guerre de 1793. Il passe en revue les protagonistes choisis et, à chacun, il pose la question: « Que faisiez-vous pendant la Grande Guerre ?» La Hussarde le regarde avec ses yeux de feu et lui répond : « Monsieur l'Empereur, j'étais blanche. » Napoléon esquisse un léger mouvement de recul pour que personne ne capte l'expression souriante qu'il cherche à dissimuler et, passant au voisin, ceint de son écharpe de maire, il pose la même question : « Et vous ? Que faisiez-vous pendant la Grande Guerre ?» Et le voisin répond : « Sire, j'étais... » Il hésite... « J'étais... » Il hésite encore. « J'étais neutre ... » Et là, la réaction de l'Empereur est un jaillissement de colère. Il le foudroie : « Vous n'étiez qu'un jeanfoutre ! » Napoléon n'aime pas les neutres. Le maire en question, qui est un luthier réputé, s'appelle Jean Rogronille, il va garder son prénom mais il va perdre son nom. On va l'appeler "le jean-foutre". La tache d'infamie va lui rester. Et, à partir de cet instant, commence pour lui une vie d'errance incroyable. Il va fermer son atelier de ménestrie buissonnière, à Montaigu. Il va perdre sa mairie et il va errer. Mais c'est une errance splendide, que j'ai voulu raconter parce que j'ai découvert que la suite de l'histoire est plus extraordinaire encore. Cette histoire m'a fait traverser tous les régimes : la Révolution, le Consulat puis l'Empire, puis la Restauration, puis la monarchie de Juillet. Elle m'a fasciné et m'a façonné parce que j'ai vu et senti ce qu'étaient les sentiments humains dans les périodes de trouble de l'esprit public face à toutes les tribulations des sociétés. L'histoire est le miroir du présent tendu par le passé d'un peuple. Pourquoi avez-vous truffé votre écriture d'expressions de patois ? Vous connaissez donc ce langage ? Il m'a constitué. J'ai parlé patois jusqu'à l'âge de 13 ans. Ce fut ma langue maternelle. On m'a fait redoubler ma sixième parce que je n'avais pas la maîtrise de la langue de Molière. Pour moi, le patois, c'était la romance des veillées et des moissons éternelles, celles du sillon de la vie. La fin du patois fut pour moi un choc traumatique. J'ai vécu la fin d'un monde. Et si je vous en parle ainsi, trahi par l'émotion, c'est parce que j'ai l'impression aujourd'hui de vivre en plus grand ce que j'ai vécu en petit. Submergé par le sentiment qu'on s'attaque à la langue française avec l'écriture inclusive et la cancel culture, comme on s'est attaqué à ma langue maternelle. Bientôt, les gens comme moi auront tout perdu de leurs ancrages. J'imagine ce que peut penser un Corse ou un Breton. On a éradiqué, au nom d'un universalisme mortifère, ce qui faisait le sel de la vie. Il s'agit de votre quatrième récit historique. Écrivez-vous votre propre "roman national" ? J'ai d'abord écrit le Roman de Charette parce que je voulais que les Français connaissent l'histoire de ce grand marin, devenu un grand combattant de la résistance et qui laisse cette phrase inoubliable : « Rien ne se perd jamais. » Et puis j'ai écrit le Roman de Saint Louis, le roi croisé, puis le Roman de Jeanne d’Arc, le génie allégorique de notre littérature. Et toujours à la première personne afin de donner du relief et de l'humanité à mes héros. Ces succès éditoriaux m'ont encouragé. J'ai voulu écrire sur les murs porteurs allégoriques de la petite demeure invisible qui est en nous. Parmi les murs porteurs, il y a le baptistère. J'ai donc décidé de raconter la vie de Clovis. Après avoir publié le Mystère Clovis, je me suis dit que j'allais continuer mon "roman national" à moi, comme on dessine son musée imaginaire. Aujourd'hui, l'histoire est suspectée. Le passé est traqué. On fouille les poches du patrimoine. Ils ont tué tous les héros. L'ancien roman national est mort en Mai 68, atteint par un cocktail Molotov à la Sorbonne. "Cours camarade, le vieux monde est derrière toi." Le vieux monde, c'est l'histoire. "Cours camarade, c'est avec toi que tout recommence", "cours camarade, tu vas tout régénérer", "cours camarade... sous les pavés, la plage". En réalité, au nom de la tectonique des plaques, on est entré dans un monde consumériste, hédoniste. On a oublié, ce faisant, pourquoi le roman national a été conçu et pourquoi il a duré. Il a été inventé après la guerre de 1870 par des historiens républicains qui voulaient sauver la République, autour de celui qu'on a appelé "l'instituteur national", Ernest Lavisse, qui a constaté : « L'ancienne unité est morte, il faut en inventer une nouvelle », c'est-à-dire inventer une nouvelle mise en images allégorique qui soit un fédérateur pour célébrer et faire aimer la France. Ces historiens étaient républicains, mais surtout patriotes... Oui, ils étaient républicains et patriotes. Leur constat était lucide : sous l'Ancien Régime, il y avait un fédérateur, c'était le saint chrême, c'est-à-dire la sacralité. Il n'y a plus de saint chrême. Il faut donc inventer un saint chrême de substitution. Tous ces historiens et écrivains - Michelet, Jules Quicherat qui exhume Jeanne d'Arc - vont rechercher des personnages qui ont approché le saint chrême et donc, tout naturellement, ils vont convoquer la bergère de Domrémy. Le roman national reposait sur une idée simple : si vous trouvez que la légende est plus belle que l'histoire, alors imprimez la légende. En d'autres termes, aux historiens qui viennent me dire : « Ce que vous racontez, c'est de l'histoire légendée... » Je réponds avec Cocteau : « L'histoire, c'est du faux qui s'incarne, la légende, c'est du vrai qui se diforme. » Pourquoi est-il urgent de réinventer un roman national ? Parce que la "Déséducation nationale" fait grandir des plantes d'hébétude qui promènent leurs étourdissements dans l'air du temps. Ce faisant, on accroît la tentation des jeunes Français de papier, qui pourraient être des Français de désir, de se tourner vers d'autres gloires, d'autres bravoures, d'autres modèles, d'autres vies sacrificielles. Propos recueillis par Geoffroy Lejeune, dans Valeurs Actuelle n°4480 du 6 au 12 octobre 2022.
Nous sommes en voie de colonisation !
5/5 https://www.lesalonbeige.fr/
.----. Philippe de Villiers revient avec un nouveau roman historique. Il est interrogé dans Valeurs actuelles. Extraits : […] J’ai parlé patois jusqu’à l’âge de 13 ans. Ce fut ma langue maternelle. On m’a fait redoubler ma sixième parce que je n’avais pas la maîtrise de la langue de Molière. Pour moi, le patois, c’était la romance des veillées et des moissons éternelles, celles du sillon de la vie. La fin du patois fut pour moi un choc traumatique. J’ai vécu la fin d’un monde. Et si je vous en parle ainsi, trahi par l’émotion, c’est parce que j’ai l’impression aujourd’hui de vivre en plus grand ce que j’ai vécu en petit. Submergé par le sentiment qu’on s’attaque à la langue française avec l’écriture inclusive et la cancel culture , comme on s’est attaqué à ma langue maternelle. Bientôt, les gens comme moi auront tout perdu de leurs ancrages. J’imagine ce que peut penser un Corse ou un Breton. On a éradiqué, au nom d’un universalisme mortifère, ce qui faisait le sel de la vie. […] Aujourd’hui, l’histoire est suspectée. Le passé est traqué. On fouille les poches du patrimoine. Ils ont tué tous les héros. L’ancien roman national est mort en Mai 68, atteint par un cocktail Molotov à la Sorbonne. “Cours camarade, le vieux monde est derrière toi. ” Le vieux monde, c’est l’histoire. “Cours camarade, c’est avec toi que tout recommence”, “cours camarade, tu vas tout régénérer”, “cours camarade… sous les pavés, la plage”. En réalité, au nom de la tectonique des plaques, on est entré dans un monde consumériste, hédoniste. On a oublié, ce faisant, pourquoi le roman national a été conçu et pourquoi il a duré. Il a été inventé après la guerre de 1870 par des historiens républicains qui voulaient sauver la République, autour de celui qu’on a appelé “l’instituteur national”, Ernest Lavisse, qui a constaté : « L’ancienne unité est morte, il faut en inventer une nouvelle », c’est-à-dire inventer une nouvelle mise en images allégorique qui soit un fédérateur pour célébrer et faire aimer la France. […] Le roman national reposait sur une idée simple : si vous trouvez que la légende est plus belle que l’histoire, alors imprimez la légende. En d’autres termes, aux historiens qui viennent me dire : « Ce que vous racontez, c’est de l’histoire légendée… » Je réponds avec Cocteau : « L’histoire, c’est du faux qui s’incarne, la légende, c’est du vrai qui se déforme. » Pourquoi est-il urgent de réinventer un roman national ? Parce que la “Déséducation nationale” fait grandir des plantes d’hébétude qui promènent leurs étourdissements dans l’air du temps. Ce faisant, on accroît la tentation des jeunes Français de papier, qui pourraient être des Français de désir, de se tourner vers d’autres gloires, d’autres bravoures, d’autres modèles, d’autres vies sacrificielles. […] [N]ous vivons aujourd’hui, simultanément, un génocide et un mémoricide. Un génocide depuis l’extérieur et un mémoricide depuis l’intérieur. Un génocide depuis l’extérieur avec un changement de population. Bientôt, il va nous arriver ce que Chateaubriand avait prédit : « Certaines peuplades de l’Orénoque n’existent plus aujourd’hui ; il n’est resté de leur dialecte qu’une douzaine de mots prononcés dans la cime des arbres par des perroquets redevenus libres. » Un changement de population qui va s’amplifier dans les années qui viennent, avec des djellabas qui vont nous dire : “C’est quoi la France ?” Puis qui vont enchaîner : “La France, c’est nous !” Et, deuxièmement, un mémoricide, avec une désaffiliation à l’intérieur. Si on ne donne plus aux petits Français l’envie d’accéder aux mousquetaires, d’admirer la colombe du baptistère ou de regarder briller le soleil d’Austerlitz qui monte derrière le tableau numérique, les Français de papier resteront étrangers dans leur nouveau pays. La porte des tendresses françaises leur sera fermée. Romain Gary en mourra de chagrin. Si on continue à “halaliser” le livre d’heures, la France obéira au Prophète. C’est l’affaire des trente prochaines années. Population nouvelle, civilisation nouvelle. Voilà les deux enjeux : l’urgence face au génocide, c’est de rétablir le rempart et, face au mémoricide, de retrouver la maison. Aujourd’hui, les Français ne savent plus d’où ils viennent. La France ne sait plus où elle habite. Quand on n’a plus le rempart et qu’on n’a plus la maison, on n’a plus que le balluchon du marchand de quenouilles qui, jeté sur les chemins du monde et du hasard, ne rencontre plus que la petite fille voilée par la Commission de Bruxelles. Et je ne parle pas du wokisme, qui va nous désigner à la vindicte. […] Nous sommes en voie de colonisation. Nous avons, devant nous, des conquérants et des collabos. Sur notre territoire, il s’agit d’une conquête et d’une soumission qui tourne à la contrition. La conquête, c’est celle de l’immigration et de l’islam. Les choses s’accélèrent. L’esprit conquérant est de plus en plus visible. Je suis très frappé à cet égard par le contraste entre ce qui se passe en Iran et ce qui se passe dans nos écoles. Chez nous, on exhibe désormais, à travers les réseaux sociaux, l’abaya et le qamis, qui sont des marqueurs de l’islam ; l’Europe prône le voile “en signe de diversité souhaitable”. En Iran, le voile est un asservissement. En Europe, c’est un signe d’émancipation. Le prix européen de l’Enseignement innovant prend la figure d’une fillette voilée, avant même l’âge nubile. [ Réinventer un roman national par Michel Janva le 7 octobre 2022 ] P.S. : Salon Beige, qui êtes-vous ? - Nous sommes quelques laïcs catholiques, dans la tranche d'âges 30-50 ans. Ce qui nous unit, c'est notre Foi catholique et notre désir, au fil de l'actualité, de réfléchir à voix haute sur la façon de l'appliquer dans la société actuelle. Fidèles au Pape, au Magistère de l'Eglise, nous voulons travailler au Bien commun de la société en informant nos lecteurs sur l'actualité, vue au regard de la doctrine sociale de l'Eglise. Le directeur de la publication est Guillaume de Thieulloy. Adresse : Tour CIT, 3 rue de l'Arrivée, 75015 Paris ]
Un essayiste et romancier historique.
5/5 https://www.les4verites.com/
.----. Tout commence le 8 août 1808. L’Empereur s’arrête aux Quatre-Chemins de L’Oie. Il passe en revue les Vendéens. À chacun, il pose la question : –; Que faisiez-vous pendant la Grand’Guerre ? –; Sire, j’étais neutre, lui répond le maire Jean Rogronille, qui est aussi un luthier réputé. L’Empereur le foudroie : –; Vous n’étiez qu’un jean-foutre ! Alors le destin de celui qu’on n’appelle plus désormais que » le Jean-Foutre » bascule dans l’errance. Contraint de s’engager dans la Grande Armée, il participe à la retraite de Russie. Sur le chemin de son retour en France, il fait une incroyable rencontre, celle du jeune Frédéric Chopin. Leur destin sera lié, pour le meilleur et pour le pire. [ Les 4 Vérités Hebdo. Vous pouvez demander un spécimen de cet hebdomadaire anti bourrage de crâne à l'adresse : 1 rue de l'Arrivée - 75015 - Paris - Il serait préférable de le faire en signalant de la part de Chiré ]
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