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La société de propagande - Manuel de résistance au goulag mental

Référence : 125105
2 avis
Date de parution : 27 septembre 2022
Collection : CARTOUCHES
EAN 13 : 9782493898449
Nb de pages : 100
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Description
Si la propagande est un mot aujourd'hui difficilement assumable, cédant la place au terme poli de "communication", elle n'en demeure pas moins un des leviers de pouvoir les plus importants pour assurer l'unité et la cohésion des sociétés modernes. Ne disposant pas des mêmes moyens de coercition que les totalitarismes du XXe siècle, la société post-moderne doit assurer sa cohésion au moyen de dispositifs idéologiques de plus en plus efficaces, d'une propagande totale qui touche tous les aspects de la vie, du berceau au tombeau, à travers l'actualité, la publicité, les films, les séries, les jeux vidéo, les spectacles sportifs, les programmes scolaires, les fêtes officielles ou associatives, l'enseignement, etc.
La société occidentale contemporaine peut à bon droit être qualifiée de "société de propagande", une société où la propagande est massive et se trouve être le premier déterminant de contrôle du comportement social. Le présent ouvrage s'attache à examiner ce goulag mental imposé aux Européens afin d'y résister.
TitreLa société de propagande - Manuel de résistance au goulag mental
Auteur LE GALLOU (Jean-Yves)
ÉditeurLA NOUVELLE LIBRAIRIE (EDITIONS)
Date de parution27 septembre 2022
Nb de pages100
CollectionCARTOUCHES
EAN 139782493898449
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)7
Largeur (en mm)118
Hauteur (en mm)180
Poids (en Kg)0.10
Critique du libraire
" Le résumé des analyses et des combats, des arnaques contemporaines, des filons et des chevaux de Troie du mondialisme, jusqu'à l'esprit des batailles à mener pour l'avenir." 
Les avis clients
Presque testamentaire ?
5/5 https://www.bvoltaire.fr/
.----. C’est un petit livre, petit format, moins de cent pages au total, mais c’est un grand Jean-Yves Le Gallou, presque testamentaire. Cet énarque et essayiste, ancien député du FN au temps de Jean-Marie Le Pen, président de Polémia et cofondateur de l’Institut Iliade, livre dans La Société de propagande, qui vient de paraître aux Éditions La Nouvelle Librairie, le résumé des analyses et des combats, des arnaques contemporaines, des filons et des chevaux de Troie du mondialisme, jusqu’à l’esprit des batailles à mener pour l’avenir. Jean-Yves Le Gallou voit clair, et l’exprime parfois avec fulgurance : « Les sociétés traditionnelles étaient encadrées par la foi religieuse, les relations de proximité villageoise ou bourgeoise, la vie et les fêtes communautaires, l’existence d’idéal-types humains et des codes de valeurs. » Leur dissolution a laissé une place vide, aussitôt comblée. « L’appareil de répression policière et judiciaire s’est développé », constate Le Gallou, exemples à la clef. Cette société de propagande n'est pas neuve. Elle est née « à la fin du XIXe siècle dans les cabinets de relations publiques américains au service des barons voleurs, ancêtres des grands oligarques », raconte Le Gallou. Un américain, Edward Bernays (1891-1995), mort à 104 ans, publie en 1928 Propaganda, sous-titré « Comment manipuler l’opinion en démocratie ». Bernays se veut au service du bien commun mais s’attache à une « véritable description du gouvernement invisible », explique Le Gallou. Depuis, ses techniques ont été appliquées largement dans nos sociétés par les tenants de la mondialisation et de la destruction des sociétés traditionnelles. Le Gallou en déduit la thèse de son livre : « J’appelle la société occidentale contemporaine société de propagande. Une société où la propagande est massive et se trouve être le premier déterminant de contrôle du comportement social. Un goulag mental imposé aux Européens. » Pour lui, cette société s’installe à compter de la première guerre du Golfe (1991). On se souvient effectivement des tableaux brossés par les grands médias : l’immense armée de Saddam Hussein, la bombe atomique, les massacres d’enfants, etc. Les Français découvriront, quelques années plus tard, l’ampleur des mensonges, pour la plupart d’origine américaine. Le Gallou cite, une par une, ces grandes campagnes mondiales… très orientées. « En 2015, la photo du petit Aylan, retrouvé noyé sur une plage turque, fait le tour du monde pour culpabiliser les Européens et leur imposer une immigration de masse », rappelle-t-il. Parmi les grandes chapes de plomb, Le Gallou cite l’épidémie de Covid ou la guerre en Ukraine, « sur fond délirant de point Godwin : Poutine, le nouvel Hitler prétendant dénazifier l’Ukraine ». Et s’attarde sur la fenêtre d’Overton, un concept-clef. Overton, un juriste et politologue américain conservateur, explique et popularise ce mouvement du champ des positions politiques admises dans l’opinion publique. La bataille pour déplacer ce cadre explique les grandes manœuvres en cours avec, pour enjeu final, l’adhésion de l’opinion publique sur le mariage homosexuel, les frontières, la peine de mort, la PMA, la GPA… Cibles privilégiées de cette propagande inédite à l’échelle planétaire : les personnes âgées et les plus jeunes sommées de déconstruire leurs préjugés. Le Gallou détaille les méthodes, les formules, les canaux, les auteurs de référence, les fabriques de ce conditionnement, livres, médias, GAFA, publicité, cinéma, séries, droit, politique bien sûr, jusqu’aux entreprises qui ont quitté leur ancienne neutralité pour devenir militantes… La Société de propagande veut embrasser, sur ces quelques pages, toutes les manœuvres des démolisseurs de civilisation. Mais qui trop embrasse mal étreint : plongé dans ce vaste dessein, Le Gallou laisse passer quelques allégations mal étayées, quelques surinterprétations ou généralisations faciles. Il va trop vite, par exemple, sur la « démocratie tronquée et pipeautée », contraignant le lecteur à le croire sur parole, et assène bien trop vite que « la fake news d’aujourd’hui est la vérité de demain », ce qui ne résiste pas à l’analyse des erreurs médiatiques d’hier. Le Gallou n’a pas choisi entre la thèse démonstrative sans faille et l’ouvrage militant destiné aux convaincus, auxquels il adresse vingt et un précieux conseils pour déplacer la fameuse fenêtre d’Overton. L’ouvrage se mue alors en guide du combat culturel et politique ponctué de ce mot d’Homère : « Du combat, seuls les lâches s’écartent. » [ Signé : Marc Baudriller - Journaliste - publié le 10 Novembre 2022 ] P.S. : BOULEVARD VOLTAIRE c'est : Œuvrer, petit à petit, à restaurer le vrai débat d'idées qui manque tant dans notre pays ; Donner la parole aux experts ou aux personnalités militantes qui s'opposent à la pensée unique et sont bannis des plateaux télé ou des émissions de radio ; Maintenir un espace de liberté d'expression et d'opinion, sur Internet, qui échappe à la censure du « médiatiquement correct » ; Continuer à diffuser sans relâche l'information alternative qu'on ne trouve pas dans les grands médias.
Du combat, seuls les lâches s'écartent
5/5 https://www.polemia.com/
.----. Dans le monde orwellien qui est désormais le nôtre, il est une réalité que les nowhere aiment à nier en ce qui les concerne, mais qu'ils n'hésitent pas à lancer pour qualifier l'attitude des hommes enracinés : la propagande. Dans La Société de propagande, Jean-Yves Le Gallou revient sur ce terme et nous livre un manuel de survie pour lutter contre ce qu'il nomme un « goulag mental ». Jean-Yves Le Gallou nous rappelle habilement que la propagande a toujours été un levier puissant dans le but d'assurer la cohésion des sociétés humaines. Il nous montre cependant au fil des pages, comment la société occidentale a imposé une propagande massive et mondiale qui vise avant tout à fragmenter les identités traditionnelles pour faire muter chacun d'entre nous en citoyen du monde. Ainsi Jean-Yves Le Gallou évoque cette propagande mondiale qui touche tout le monde à travers les médias. Ces derniers, devenus mondialistes et réduisant les événements locaux à leur portion congrue, appliquent une propagande professionnelle et méthodique à coup de simplification, défiguration, contagion ou encore d'émotion. Allant bien au-delà des seules dépenses de publicité, Jean-Yves Le Gallou estime que les dépenses de propagande se montent à 5% du PIB des pays du monde occidental. Elles permettent à l'idéologie arc-en-ciel de se mettre en place : les minorités - ethniques, religieuses, sexuelles - et les lobbys imposent ainsi leurs lubies. Le progressisme et le wokisme gagnent du terrain et l'on obtient une société liquide, faite de MHI : une matière humaine indifférenciée. Cette propagande totalitaire d'un cercle restreint de dominants sur une masse de dominés passe par tous les canaux possibles : sciences, statistiques, sondages, édition, art. L'auteur épingle en particulier le 7e art et le temple hollywoodien de cette propagande massive. Peu à peu la toile se révèle à nos yeux : nous sommes bel et bien enfermés dans un goulag où l'on nous dicte ce que l'on doit manger, faire. et penser. Cette prison pourra sembler dorée à certains de nos concitoyens tant ils y sont habitués : la propagande, comme le rappelle Jean-Yves Le Gallou, agit dès l'école et l'ensemble de nos institutions est dorénavant sous l'emprise de cette machine de guerre. Par l'effet d'une logique totalitaire, nombreuses sont les entreprises qui, loin de s'opposer à ce rouleau compresseur, renforcent même sa lourdeur. Nous nageons dès lors dans les eaux troubles et tiédasses du progressisme, à travers les miasmes du conformisme, nous heurtant aux rochers de la censure et nous enfonçant dans les sables mouvants du soft-totalitarisme. Une fois le constat dressé, que faire ? C'est dans la dernière partie de son ouvrage que Jean-Yves Le Gallou nous propose son plan de bataille pour résister au « moulag » : le goulag mental dans lequel nous devons évoluer. Entrer en résistance signifie tout d'abord pour lui avoir le cœur rebelle. À l'image de Dominique Venner, qu'il cite : « Être rebelle [.], c'est être à soi-même sa propre norme. [.] Préférer se mettre tout le monde à dos que se mettre à plat ventre. [.] Dans les revers, ne jamais se poser la question de l'inutilité d'un combat perdu. » La dissidence qui s'en suivra passera par le retour aux humanités, essentielles aux yeux de Jean-Yves Le Gallou, ainsi que par une rigueur de tenue et un retour au réel et à la nature. Mais l'auteur n'arrête pas là son combat : la dissidence devra entraîner mécaniquement une sécession médiatique, territoriale, éducative et politique afin d'arriver à la reconquête de ce qui nous appartient en mettant en avant les valeurs européennes : liberté et identité, incarnation et tradition. Jean-Yves Le Gallou achève son programme de reconquête en 21 points par ce dernier : courage ! courage ! courage ! rappelant un vers d'Homère : « Du combat, seuls les lâches s'écartent. » À l'issue de cette lecture, et désormais conscients des barreaux qui nous enferment, nous sommes mieux armés pour résister au progressisme et à son projet d'annihilation de la civilisation européenne. [ Publié le mercredi, 12 octobre 2022 par Polemia ] PS : Pourquoi Polémia ? Parce que dans un monde en proie au chaos et de plus en plus dominé par le choc des civilisations, il faut avoir le courage de déceler les nouvelles lignes de fracture et de discerner les conflits à venir pour mieux les prévenir.