Animateurs de théâtre : Baty, Copeau, Dullin, Jouvet, Les Pitoëff
Date de parution :
16 oct. 2003
Auteur :
BRASILLACH (Robert)
Éditeur :
COMPLEXE (EDITIONS)
EAN 13 :
9782870279830
Nb de pages :
166
Référence interne:
36086
Description
Si, après avoir publié dans la collection "Le Théâtre en question" Emile Zola et Romain Rolland, nous avons décidé d'exhumer Animateurs de théâtre, livre depuis longtemps introuvable d'un critique "oublié" des historiens du théâtre, c'est qu'il reste encore aujourd'hui le témoignage le plus riche sur Copeau, Dullin, Jouvet, Baty et Pitoëff.
Retracer en préface l'itinéraire de ce critique dramatique, curieux de toutes les tentatives d'avant-garde, ne partageant ni les frilosités ni les goûts conventionnels de son camp, s'avère d'autant plus intéressant qu'il révèle aussi, en creux, le parcours politique de Brasillach.
Cette édition d'un Brasillach, présenté ni comme "traître" ni comme "martyr", veut contribuer à rendre au théâtre sa mémoire politique et, comme tous les volumes de cette collection, à lui restituer sa place dans le débat d'idées. Elle est complétée par un appareil critique et une bibliographie des articles de Brasillach sur le théâtre.
Enseignante à Paris III, Chantal Meyer-Plantureux dirige un séminaire sur le théâtre dans la vie intellectuelle et politique, de l'affaire Dreyfus à la guerre d'Algérie. Elle a notamment écrit la biographie Bernard Dort, un intellectuel singulier parue en 2000.
Titre | Animateurs de théâtre : Baty, Copeau, Dullin, Jouvet, Les Pitoëff |
Auteur | BRASILLACH (Robert) |
Éditeur | COMPLEXE (EDITIONS) |
Date de parution | 16 oct. 2003 |
Nb de pages | 166 |
EAN 13 | 9782870279830 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 14 |
Largeur (en mm) | 124 |
Hauteur (en mm) | 215 |
Poids (en Kg) | 0,190 |
Critique du libraire
Edition préfacée et annotée par Chantal Meyer-Plantureux. Réimpression d´un livre peu connu de Brasillach consacré aux hommes de théâtre des années d´avant-guerre. Elle est précédée par une longue préface (55 pages) très sévère contre les engagements politique de Brasillach tout en reconnaissant son grand talent de critique dramatique.