Torture et eucharistie. La théologie politique et le Corps du Christ
Date de parution :
04 mars 2009
Auteur :
CAVANAUGH (William)
Éditeur :
AD SOLEM (EDITIONS)
Collection :
THEOLOGIE
EAN 13 :
9782940402397
Nb de pages :
448
Référence interne:
19669
Description
Résidant au Chili dans les années 1980, William Cavanaugh a été témoin de ce régime de terreur, du caractère "rituel" de la pratique de la torture par l'État, en une simiesque liturgie de mort, et de l'inefficacité de la hiérarchie de l'Église chilienne, formée à l'école de la "chrétienté profane", face à cette persécution menée par des catholiques contre des catholiques au nom de l'État. Revenu aux États-Unis, où il enseigne la théologie, William Cavanaugh a voulu montrer comment, progressivement, l'Église a su faire échec à la politique de mort de la Junte militaire. À la fois témoignage vécu et réflexion théologique, ce livre exceptionnel jette une lumière radicalement nouvelle sur les événements du Chili, sur les impasses d'une certaine ecclésiologie, et sur les défis que va bientôt devoir relever l'Église d'Occident si elle veut retrouver sa place légitime dans la cité des hommes.
Titre | Torture et eucharistie. La théologie politique et le Corps du Christ |
Auteur | CAVANAUGH (William) |
Éditeur | AD SOLEM (EDITIONS) |
Collection | THEOLOGIE |
Date de parution | 04 mars 2009 |
Nb de pages | 448 |
EAN 13 | 9782940402397 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 18 |
Largeur (en mm) | 135 |
Hauteur (en mm) | 215 |
Poids (en Kg) | 0,460 |
Critique du libraire
William Cavanaugh enseigne actuellement la théologie aux Etats-Unis. Il a résidé au Chili dans les années 80. Il s´appuit sur les exactions de ce régime pour établir sa thèse. "Ce livre a pour tâche de décrire une politique alternative centrée sur l´eucharistie et capable d´accomplir l´espérance du Christ pour un monde ébranlé. Pour ce faire, j´ai fréquemment recours à deux grandes figures catholiques françaises du XXème siècle, Henri de Lubac et Jacques Maritain". Traduit de l´anglais par Cécile et Jacqueline Rastoin. Postface de Michel Fourcade.