Se rendre au contenu

Procidamus ! À genoux, courbons-nous, prosternons-nous devant le Seigneur qui nous a faits !

https://www.chire.fr/web/image/product.template/484010/image_1920?unique=db47e35
Référence interne : 110812
(0 review)

Date de parution : 18 oct. 2019
Auteur : COCARD (Père Paul)
Éditeur : DMM (DOMINIQUE MARTIN MORIN EDITIONS)
EAN 13 : 9782856524206
Nb de pages : 172

12,80 € 12.8 EUR 12,80 €

13,50 €

Pas disponible à la vente

Cette combinaison n'existe pas.

Conditions générales
Garantie satisfait ou remboursé de 30 jours
Expédition : 2-3 jours ouvrables


Référence interne: 110812

Description

"Je fléchis les genoux en présence du Père de qui toute paternité, au ciel et sur la terre, tire son nom" dit saint Paul dans la lettre aux Éphésiens (3, 14-15). Ce geste physique d'adoration, est le sujet de ce très dense ouvrage du Père Paul Cocard, qui n'hésite jamais à se placer sur le registre d'une prédication radicale, préconisant même, en l'espèce, la prosternation face contre terre.
Le P. Cocard souligne que cette adoration de l'âme et du corps est pour l'homme la "reconnaissance de sa dépendance métaphysique, ontologique, radicale à l'égard de Dieu comme Créateur". Du point de vue de la prière, elle est l'essence de ce que les spirituels français du XVIIe siècle qualifiaient de religion - le propre de la vertu de religion est de rendre à Dieu le culte d'honneur et de révérence qui lui est dû -, laquelle atteint sa perfection dans la religion de Jésus-Christ, parfait adorateur du Père : "L'adoration et ses gestes sont la porte d'entrée dans la prière et à la base de la relation à Dieu, écrit le P. Cocard. Ils sont plus fondamentaux que la louange, l'action de grâces et la contemplation. Ils sont l'humus de toute prière".
Ainsi, si le P. Cocard prend la peine d'enseigner l'adoration de manière très pratique, ses dispositions et ses gestes, c'est à la manière d'un maître d'oraison. Il affirme qu'il ne peut y avoir de renouveau de l'Église catholique sans un retour, avant tout personnel et privé à l'adoration de Dieu à travers le Christ, et aux gestes adéquats à son égard !
(extraits de la Préface de l'abbé Claude Barthe) 

Voir le mot d'encouragement du cardinal Robert Sarah dans l'onglet suivant.
Titre Procidamus ! À genoux, courbons-nous, prosternons-nous devant le Seigneur qui nous a faits !
Auteur COCARD (Père Paul)
Éditeur DMM (DOMINIQUE MARTIN MORIN EDITIONS)
Date de parution 18 oct. 2019
Nb de pages 172
EAN 13 9782856524206
Présentation Broché
Épaisseur (en mm) 10
Largeur (en mm) 130
Hauteur (en mm) 185
Poids (en Kg) 0,180

Critique du libraire

Mot d'encouragement L'ouvrage du Père Paul Cocard Procidamus ! aborde un sujet essentiel : l'adoration, porte d'entrée dans la prière, avec ses gestes, dont l'agenouillement. Il suffit d'évoquer l'apparition de l'Ange à Fatima pour constater l'importance d'une pédagogie dans ce domaine. Envoyé par Dieu, l'Ange a enseigné aux petits pastoureaux l'adoration en n'hésitant pas à leur montrer les gestes qui l'expriment. Avant les apparitions de la Vierge, au printemps de l'année 1916, l'Ange de la Paix était apparu à Lucie, Jacinthe et François et leur avait dit : "N'ayez pas peur, je suis l'Ange de la Paix. Priez avec moi." L'Ange s'était agenouillé, et il avait touché le sol de son front. Alors, saisis d'une force surnaturelle, les enfants l'avaient imité et avaient répété, après l'Ange, cette prière : "Mon Dieu, je crois, j'adore, j'espère et je vous aime, je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, n'adorent pas, n'espèrent pas et ne Vous aiment pas." Puis l'Ange les avait quittés. Au printemps de 1916, à la troisième apparition de l'Ange, les enfants virent que l'Ange, toujours le même, tenait dans la main gauche un calice, au-dessus duquel était suspendue une hostie. Quelques gouttes de sang tombaient de cette hostie dans le calice. Laissant le calice et l'hostie suspendus en l'air, l'Ange s'approcha des enfants et se prosterna à terre, en répétant trois fois cette prière : "Très Sainte Trinité, Père, Fils, et Esprit-Saint, je vous adore profondément et je vous offre le très précieux Sang, Corps, Âme et Divinité de Jésus-Christ, présent dans tous les tabernacles du monde, en réparation des outrages, des sacrilèges, et de l'indifférence par lesquels II est Lui-même offensé ; Et par les mérites infinis de Son Sacré Coeur et par l'intercession du Cœur Immaculé de Marie, je Vous demande la conversion des pauvres pécheurs." Puis, se relevant, l'Ange prit de nouveau dans ses mains le calice et l'hostie, donna la sainte Hostie à Lucie, et le Sang du calice à Jacinthe et François, qui restèrent agenouillés pendant qu'il disait : "Prenez et buvez le Sang de Jésus-Christ, horriblement outragé par les hommes ingrats. Réparez leurs crimes, et consolez votre Dieu." L'Ange se prosterna de nouveau à terre, en répétant encore trois fois la même prière avec Lucie, Jacinthe et François. L'Ange de la Paix nous indique donc comment nous devons adorer en fléchissant les genoux en présence du Père de qui toute paternité, au ciel et sur la terre, tire son nom (cf. Ep 3, 14-15). L'Eucharistie est sacrée, parce qu'elle contient le Sacré par excellence, le Trois fois Saint, ce Dieu qui est Charité, le plus sacré et le plus saints des amours ; ce n'est pas pour rien que l'Eucharistie est appelé le "Sacramentum caritatis". Ainsi, avoir le sens du sacré signifie percevoir cette présence toute spéciale, d'où l'adoration qui lui est due. Je souhaite donc que ce livre de grande qualité ait la diffusion qu'il mérite auprès des prêtres et des fidèles. Robert Card. Sarah Préfet de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements

Vous aimerez aussi