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N°151 Sept 1989 - Rivarol, J Meunier - La vérité sur 1789

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Référence interne : 64874
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Date de parution : 01 sept. 1989
Auteur : LECTURE ET TRADITION
Éditeur : DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
EAN 13 : 00003627
Nb de pages : 32

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Description

Sommaire : 
  • Editorial : La corde pour nous pendre, par J .B. Geffroy 
  • Souvenons-nous à Poitiers : Texte du discours prononcé par Jacques Meunier le 17 juin 1789, pour le Comité Vérité-89 poitevin  
  • Rivarol, par J. -B. Geffroy  
  • Souvenirs du Bachaga, par André Figueras  
  • L'enfant de l'Oued Ksoub, de Norbert Poupeney, par Emmanuel Bruno 
  • Nous avons reçu, par Jean Auguy  
  • Les travaux de frère Bruno Bonnet-Eymard : Le Saint Suaire authentique, le Coran (traduction et commentaire systématique), par Henri Servien  
  • Evolution : Mythe ou Réalité ? de D. Raffard de Brienne par F. Delerm 
  • Renaissance Catholique 
  • La Contre-Encyclopédie
  • Titre N°151 Sept 1989 - Rivarol, J Meunier - La vérité sur 1789
    Auteur LECTURE ET TRADITION
    Éditeur DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
    Date de parution 01 sept. 1989
    Nb de pages 32
    EAN 13 00003627
    Épaisseur (en mm) 3
    Largeur (en mm) 150
    Hauteur (en mm) 210
    Poids (en Kg) 0,050

    Critique du libraire

    Editorial (extrait) par Jean-Baptiste Geffroy La corde pour nous pendre. La "Gorbymania" fait des ravages. Le phénomène a touché bon nombre de pays occidentaux ; l'Allemagne fédérale est à coup sûr la plus atteinte. Si la France se montre un peu plus réservée, elle évolue non moins sûrement. Il y a toujours eu, depuis la révolution russe, quelques journalistes ou financiers pour accréditer, à intervalles réguliers et chaque fois qu'un gospodin succédait à un autre, l'image rassurante du novateur modéré succédant au faucon. Staline en a bénéficié, tout comme Krouchtchev ou Brejnevet même Andropov. Mikhaïl Gorbatchev n'échappe pas à la règle. Ce qui est aujourd'hui plus inquiétant, c'est que cette opération de séduction a manifestement modifié la perception du problème communiste. Les mentalités les plus réticentes semblent céder devant l'offensive de charme du numéro Un soviétique. Cette fois, ça y est ! Le communisme change; le système se transforme; l'U.R.S.S. s'engage dans un processus démocratique. En quelque sorte, et selon le mot de l'Américain Kennas, un des pères du front anti-communiste, la révolution russe est terminée. L'unanimité est cependant loin d'être totale. De nombreux observateurs soulignent que la mise en scène de la "perestroïka" n'est en réalité qu'un instrument, peut-être un peu plus sophistiqué, de la stratégie révolutionnaire. Dans une brochure récemment parue "Un autre Gorbatchev", une douzaine d'auteurs, journalistes, politologues, soviétologues, scrutateurs du phénomène, contestent, avec de solides arguments, la sincérité du discours gorbatchevien.

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