Se rendre au contenu

N°253 Mars 1998 - Deux prélats condamnent très sévèrement la révolution de 1789

https://www.chire.fr/web/image/product.template/472823/image_1920?unique=db47e35
Référence interne : 64948
(0 review)

Date de parution : 01 mars 1998
Auteur : LECTURE ET TRADITION
Éditeur : DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
EAN 13 : 00003725
Nb de pages : 28

3,43 € 3.43 EUR 3,43 €

3,50 €

Pas disponible à la vente

Cette combinaison n'existe pas.

Conditions générales
Garantie satisfait ou remboursé de 30 jours
Expédition : 2-3 jours ouvrables


Référence interne: 64948

Description

SOMMAIRE
- Editorial : Lettre ouverte à Michel Benoist, président du Secours Catholique, par François Marie Algoud.
- La Révolution fustigée par deux grands prélats français du XIXè siècle, par Jérôme Seguin.
La Révolution expliquée aux jeunes gens (par Mgr de Ségur).
La Révolution française... A propos du centenaire de 1789 (par Mgr Freppel).
- Valeur de l'assemblée qui prononça la peine de mort contre Notre Seigneur Jésus-Christ, d'Augustin et Joseph Lémann, par D. Raffard de Brienne.
- Opération James Bond, de Christopher Creighton par le Lt.-Cl. Chabeuil (c.r.).
- Un cistercien admirable : dom Godefroid Bélorgey (l880-1964), par Jean Bastier.
- Veilleur avant l'aube : le père Eugène de Villeurbanne, d'Yves Chiron, par D. Raffard de Brienne.
- Jeunes Saints, Jeunes Témoins : sainte Solange, par François Marie Algoud.
- Nous avons reçu.
- La Contre-Encyclopédie (P. Lucas de la Championnière ; L. de Barral ; L. Lhuillier), par H. Servien
Titre N°253 Mars 1998 - Deux prélats condamnent très sévèrement la révolution de 1789
Auteur LECTURE ET TRADITION
Éditeur DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
Date de parution 01 mars 1998
Nb de pages 28
EAN 13 00003725
Épaisseur (en mm) 3
Largeur (en mm) 150
Hauteur (en mm) 210
Poids (en Kg) 0,050

Critique du libraire

Editorial Lettre ouverte à Michel Benoist, président du Secours Catholique Monsieur le Président, J'ai eu la triste occasion le 23 novembre 1995, de vous faire part de ma stupéfaction de vous voir être cosignataire d'un appel en faveur de la Bosnie, aux côtés du MRAP (qui se bat pour l'avortement, la contraception, le "collage" des homosexuels et contre tout ce qui est chrétien), de l'Alliance des Femmes pour la Démocratie, de la Fédération internationale des Droits de l'homme (création de la Franc-maçonnerie...), etc... Puis le 15 mai 1996, je me suis fort étonné que feu Jean Monnet ait été présenté comme une "figure de charité" dans la rubrique portant ce titre. Votre "justification" par votre lettre du 28 mai a été assez étonnante : "Il aura permis, écrivez-vous, que les années qui ont immédiatement suivi la guerre, soient moins lourdes de "restrictions"". Dans "Messages du Secours Catholique", n° 504 de juin 1997, votre publication présente cette fois - toujours dans la même rubrique - le père Lebret. Mais enfin, souvenons-nous : le mouvement "Economie et Humanisme", dont vous faites état, fut fondé conjointement par le père Lebret et le père Deroches, un autre dominicain qui avait quitté l'habit religieux pour se faire résolument marxiste. Rappelons encore que le père Lage, à Ferros, au Brésil, avait fondé une cellule d'"Economie et Humanisme", et ce père était en train d'enseigner le marxisme aux garçons qui lui avaient été envoyés pour qu'ils persévèrent ou renaissent dans le christianisme ! Il y a eu ainsi une évolution de prêtres qui troquaient la Communion des Saints contre le Parti communiste. C'est ainsi que le père Lage accorda un entretien à la revue "Manchete" : il y parlait du christianisme social et osait dire que "cette histoire d'administrer les sacrements" lui paraissait sans avenir ! (...)

Vous aimerez aussi