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N°265 Mars 1999 - Les Bibles à déconseiller et celles à recommander (D Raffard de Brienne)

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Référence interne : 64959
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Date de parution : 01 mars 1999
Auteur : LECTURE ET TRADITION
Éditeur : DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
EAN 13 : 00003737
Nb de pages : 28

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Description

SOMMAIRE
- Editorial : Contre l'euro, un combat d'actualité, par Fabrice Reveillon.
- La Sainte Bible selon la Vulgate.
- Que penser de la Bible de Jérusalem ? par Daniel Raffard de Brienne.
- La Sainte Bible, du chanoine Crampon, par Daniel Raffard de Brienne.
- La bible d'une grand'mère, de la comtesse de Ségur.
- Le politiquement correct, de Georges Dillinger, par Claude Mouton-Raimbault.
- Le célibat des clercs, du cardinal Stickler, par Claude Mouton-Raimbault.
- Legenda (Le monde du livre et de l'édition).
- Nous avons reçu.
Titre N°265 Mars 1999 - Les Bibles à déconseiller et celles à recommander (D Raffard de Brienne)
Auteur LECTURE ET TRADITION
Éditeur DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
Date de parution 01 mars 1999
Nb de pages 28
EAN 13 00003737
Épaisseur (en mm) 3
Largeur (en mm) 150
Hauteur (en mm) 210
Poids (en Kg) 0,050

Critique du libraire

Editorial : Contre l'euro, un combat d'actualité Au prix de douteuses (et coûteuses) contorsions budgétaires et d'une (non moins coûteuse) propagande éhontée, les princes qui nous gouvernent ont fait entrer dans l'inconscient collectif l'euro en créant une sorte de dépendance frénétique, phénomène comparable au lancement, en son temps, du téléphone portable ou d'Internet ; personne n'y comprend rien mais tout le monde en veut ; celui qui y est hostile ou simplement sceptique est immédiatement traité de franchouillard rétrograde, si ce n'est d'attardé mental. J'exagère ? A l'occasion de la sortie de leurs ouvrages respectifs, le Figaro Magazine ouvrait ses colonnes à deux représentants de la pensée unique "républicaine" de gauche : le néo-gaulliste socialiste et eurosceptique Max Gallo et le libéralo-mondialiste Alain Duhamel. Celui-ci déclarait entre autre qu'il "existe un critère culturel discriminant" face à l'Europe, que "le niveau d'éducation joue de façon incontestable sur le résultat du vote (...) Tout simplement parce que ce sont les moins diplômés donc les plus vulnérables, les plus exposés au chômage, les plus fragiles socialement, ceux qui ont le plus de raisons de craindre pour leur avenir qui sont aussi les plus réticents devant cette nouveauté, cette inconnue, qu'est l'Europe." La justification que donne Alain Duhamel est des plus pertinentes mais contient implicitement deux constatations cyniques : - Les gens les plus instruits sont les plus favorables à la construction européenne et à l'euro parce qu'ils ont été endoctrinés plus longtemps par un système éducatif inféodé aux tireurs de ficelles ; - Ceux qui ont le plus d'intérêt(s) à l'Europe sont les groupes les plus aisés, qui ont les moyens de voyager ou de boursicoter sur le dos des petits porteurs. Qu'importe l'incompréhension de la majorité ou le bien-fondé des objections, rien ne doit arrêter la "marche du Progrès dans le sens de l'Histoire". (...)

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