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N°268 Juin 1999 - C´était l´Algérie - Entretiens avec Robert Laffitte

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Référence interne : 64961
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Date de parution : 01 juin 1999
Auteur : LECTURE ET TRADITION
Éditeur : DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
EAN 13 : 00003828
Nb de pages : 32

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Description

SOMMAIRE
- C'était l'Algérie. Entretien avec Robert Laffitte.
- Deux témoignages sur l'Algérie française, par Claude Mouton-Raimbault.
Mémoires de Pierre-Ferdinand Vellard.
Le Ravin rouge (roman historique), d'Anne Cazal.
- Thomas Merton.
- Quelques mots d'explication sur les raisons d'une controverse, par le Frère Bruno Bonnet-Eymard.
- Réponse d'Etienne Couvert.
- Legenda (le monde du livre et de l'édition).
- Nous avons reçu.
Titre N°268 Juin 1999 - C´était l´Algérie - Entretiens avec Robert Laffitte
Auteur LECTURE ET TRADITION
Éditeur DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
Date de parution 01 juin 1999
Nb de pages 32
EAN 13 00003828
Épaisseur (en mm) 3
Largeur (en mm) 150
Hauteur (en mm) 210
Poids (en Kg) 0,050

Critique du libraire

C'était l'Algérie... Entretien avec Robert Laffitte - Lecture et Tradition : Vous avez été le dernier Doyen de la Faculté des Sciences d'Alger en 1962. Vous n'avez pas voulu rester au service de l'Algérie indépendante et vous avez été nommé professeur au Muséum national d'Histoire naturelle, à Paris. Mais vous n'êtes pas un Français d'Algérie. Comment avez-vous découvert l'Algérie ? - R. Laffitte : C'est très simple. Je suis venu en Algérie parce que, après le baccalauréat, j'avais décidé que je ne ferai pas carrière dans des bureaux ou dans une usine, où je serais "encadré". Je m'orientais vers la géologie, dont j'espérais qu'elle m'amènerait à parcourir des pays étrangers en étudiant leur sous-sol. Aussi, après une licence passée à Paris, où j'étais né, j'acceptai sans hésitation une nomination au Service géologique de l'Algérie. J'ignorais à peu près tout de ce pays, que je connaissais seulement par mes leçons d'histoire et de géographie du lycée ! C'est-à-dire quelques banalités et rien sur les habitants et les genres de vie que l'on pouvait y mener. Et c'est ainsi, sans plus ample information, qu'un jour de 1932, j'ai débarqué à Alger. Là, j'ai reçu, en un quart d'heure, les consignes de l'ingénieur en chef des Mines, chef du Service géologique, et, quatre jours plus tard, je me trouvais à Batna, commençant à lever la carte géologique détaillée de la partie sud du département de Constantine. (...)

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