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N°324 Fév 2004 - De la gnose au complot Réponse à une campagne de propagande

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Référence interne : 65012
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Date de parution : 01 févr. 2004
Auteur : LECTURE ET TRADITION
Éditeur : DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
EAN 13 : 0010029700003
Nb de pages : 64

6,86 € 6.86 EUR 6,86 €

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Description

SOMMAIRE 
  • Editorial 
  • Note de l'éditeur de ce numéro, par Jean Auguy 
  • L'imposture de la "gnose" serninienne. Un entretien avec Etienne Couvert 
  • La thèse du complot face à la critique, par Christian Lagrave
  • Une présentation tendancieuse - Un a priori d'hostilité - Une dénonciation abusive - Le pouvoir du démon d'après M. Vaquié - Le sens du combat d'après M. Raynal et M. Vaquié - "Des nuances nécessaires" - "Il ne vient jamais à l'idée de ces maîtres qu'un auteur puisse se tromper de bonne foi" - Des révolutionnaires uns et indivisibles ? - Le rnystère d'iniquité - Un étrange compagnon de route. 
  • Du Non serviam au Déluge et à la Tour de Babel. Qu'est-ce que la Société Barruel a vraiment dit ? par Michel Canet 
  • Le Manuel de confesse urs de Mgr Gaume, par Raoul Keralio 
  • L'Abbé Barruel et le complot 
  • Bibliographie 
  • La foi catholique, de Karen Darantière, par Claude Mouton-Raimbault 
  • Autopsie du mythe gaulliste de Florent Gintz. par Claude Mouton-Raimbault 
  • Nous avons reçu
  • Titre N°324 Fév 2004 - De la gnose au complot Réponse à une campagne de propagande
    Auteur LECTURE ET TRADITION
    Éditeur DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
    Date de parution 01 févr. 2004
    Nb de pages 64
    EAN 13 0010029700003
    Épaisseur (en mm) 2
    Largeur (en mm) 150
    Hauteur (en mm) 210
    Poids (en Kg) 0,090

    Critique du libraire

    Article qui réfute les principales attaques (manichéens, attentistes ou accordant trop de puissance au mal...) des détracteurs des membres de la Société Augustin Barruel. Lagrave, pour démentir toutes ces absurdités, pioche directement dans les écrits des victimes. Nous y trouverons aussi l´entretien avec E.Couvert où il apparaît sans conteste que Paul Sernine est un véritable faussaire. EDITORIAL Ceux de nos lecteurs qui ont pris connaissance, en son temps. du n° 293-294, juillet-août 2001, de Lecture et Tradition, titré "La Gnose et le mystère d'iniquité. Réponse à un défi", savent que nous répliquions effectivement ainsi à un défi lancé dans un texte intitulé "Sur la notion de "gnose" diffusée par les Cahiers Barruel" et publié sous le pseudonyme de Paul Sernine dans le n° 4 de La nouvelle revue Certitudes (daté d'octobre à décembre 2000), numéro consacré à "La Gnose, étemelle hérésie et nouvelle religion". Pour ceux de nos abonnés actuels qui n'auraient pas lu notre n° 293-294, nous conseillons de se le procurer, car il est toujours disponible et sa lecture facilitera la compréhension du dossier qui va suivre. Plus récemment, M. Paul Sernine a publié aux éditions Servir un livre intitulé La paille et le sycomore dans lequel il prétend, d'une part réfuter définitivement les travaux sur la Gnose de notre ami Étienne Couvert ainsi que ceux de Jean Vaquié et d'une manière générale tout ce qu'il appelle "l'école des Cahiers Barruel", d'autre part répliquer aux justifications qui avaient été foumies à ce sujet dans le n° 37, été 2001, du Sel de la Terre (Petit catéchisme de la Contre-Église, de la gnose et du "complot") ainsi que dans notre n° 293-294 de juillet-août 2001. Nous avons prévu de répondre comme il se doit au livre de M. Sernine et de montrer quelle est la valeur réelle de ses arguments. Mais un pareil travail ne peut pas se faire dans la précipitation, il demande des recherches minutieuses, plus longues que celles entreprises pour notre n° 293-294, qui ne traitait qu'un aspect partiel du débat. Ce travail devrait être achevé dans quelques mois. Mais, depuis la parution de La paille el le sycomore, une véritable campagne d'opinion a été entreprise par nos contradicteurs, non seulement contre M. Couvert et la Société Barruel (qui, rappelons-le, a cessé d'exister il y a une dizaine d'années), mais encore contre ce que M. l'abbé de Tanoüam et ses collaborateurs désignent avec mépris sous le nom de "complotisme" ou "conspirationnisme", et qui n'est rien d'autre que la meilleure tradition catholique souvent encouragée par les papes (par exemple Benoît XV et Pie XI pour l'oeuvre de Mgr Jouin). (...)

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