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N°341/342 Juil/Août 2005 - Maxime Weygand

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Référence interne : 65028
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Date de parution : 01 août 2005
Auteur : LECTURE ET TRADITION
Éditeur : DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
EAN 13 : 00102867
Nb de pages : 32

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Référence interne: 65028

Description

SOMMAIRE 
  • Maxime Weygand, le mystère de sa naissance, ses relations avec De Gaulle, par Jean Saint-Paul 
  • Le général Weygand et l'Année française, par Jean Bastier 
  • La Contre-Encyclopédie : Maxime Weygand, par Henri Servien 
  • Legenda : (Le monde du livre et de l'édition)
  • (Nos lectures : Pensées de Saint-Louis ; Chants de France ; Maurras. Un scandale à l'Education Nationale) 
  • Nous avons reçu
  • Titre N°341/342 Juil/Août 2005 - Maxime Weygand
    Auteur LECTURE ET TRADITION
    Éditeur DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
    Date de parution 01 août 2005
    Nb de pages 32
    EAN 13 00102867
    Épaisseur (en mm) 3
    Largeur (en mm) 148
    Hauteur (en mm) 210
    Poids (en Kg) 0,050

    Critique du libraire

    Maxime Weygand, le mystère de sa naissance, ses relations avec De Gaulle Le général Weygand n'a jamais su qui étaient ses parents, il lui est arrivé de dire tristement à des confidents qu'il pensait être le fruit d'un double adultère et qu'il n'était certainement pas Français par filiation. Il a aussi confié à ses intimes que ce mystère de sa naissance avait constitué pour lui une infinie souffrance, puisque ses parents avaient préféré l'abandonner, faire déclarer sa naissance à Bruxelles par un médecin, réfugié français, de mère et de père inconnus, et sous le seul prénom de "Maxime", sans nom de famille ! D'ailleurs, était-il vraiment né à Bruxelles ? C'était douteux. Jusqu'à l'âge de six ans, il fut élevé avec rudesse par une dame Saget, à Marseille. Il crut qu'il se nommait Maxime Saget et était son fils, puisque c'était ce que tout le monde paraissait penser. Il fut ensuite pris en charge par David Cohen, commerçant aisé de Marseille (en export-import avec le Maroc au début de la IIIè république) et sa compagne Thérèse Denimal, qui s'occupa de lui avec tendresse, il lui garda beaucoup d'affection et lui présenta sa fiancée en 1900. Il reçut une éducation chrétienne mais ne fut baptisé qu'à l'âge de dix ans. Il s'appela "Maxime de Nimal" et c'est sous ce nom qu'il fut reçu à Saint-Cyr, à titre étranger (apatride en vérité). Certains de ses camarades ironisaient et le nommaient "monsieur de nie mal" (nie mal, en Allemand veut dire jamais plus). Un homme politique français de premier plan, Maurice Rouvier, qui fut Président du Conseil (et franc-maçon notoire), veilla sans cesse sur lui, écrivant de nombreuses lettres aux successifs ministres de la Justice ou de la Guerre, pour que le jeune Maxime soit nommé officier à titre français (et non à la Légion étrangère, qui avait peu de réputation avant la guerre de 1914). L'administration répondit à Rouvier qu'il était urgent de naturaliser le jeune Maxime, mais comment faire sans filiation ? Le comptable de David Cohen (Weygand, célibataire d'origine alsacienne) accepta, moyennant finance, de reconnaître Maxime comme son fils naturel et de lui donner son nom. Maxime lui écrivit pour le remercier. Maxime ne manquait pas d'argent, bien au contraire. Il avait plusieurs chevaux et beaucoup d'élégance, il était svelte et beau. En 1900, une jolie jeune fille de 23 ans, la fille du colonel de Forsanz, déclara à ses parents qu'elle ne se marierait jamais si le commandant Weygand, 33 ans, ne la demandait pas en mariage. (...)

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