Bon appétit messieurs ! La grande prédation économique en France
Date de parution :
01 août 2006
Auteur :
HAUTLECOEUR (Robert)
Éditeur :
PUBLIBOOK.COM (EDITIONS)
EAN 13 :
9782748308334
Nb de pages :
282
Référence interne:
47780
Description
Sans prendre parti pour les uns ou pour les autres, l'auteur, sous le pseudonyme de Robert Hautlecoeur, tire à boulets rouges et propose des solutions techniques, économiques et même culturelles pour tenter d'endiguer un fléau qui commence sérieusement à peser dans les consciences et les porte-monnaies. Cela veut donc dire qu'il garde encore l'espoir que la nation française continuera à pouvoir maîtriser son destin, en dépit des exemples, rencontrés dans la nature, qui montrent que bien souvent les prédateurs après avoir commencé à dévorer leur proie l'abandonnent pour une autre plus mirifique.
Et comme les Français sont un peu narcissiques, il leur propose paradoxalement, à la fin de l'ouvrage, un annuaire dont chacun aura à coeur, du moins l'espère-t-il, de ne pas y figurer...
L'auteur, EDHEC, Diplômé d'Etudes Supérieures en sciences économiques et de l'Institut de Hautes Finances, a effectué la première partie de sa carrière dans un grand groupe bancaire qu'il a quitté comme directeur de marketing. Puis, il fut conseiller dans des groupes privés, spécialisé dans les systèmes de rémunération. Par ailleurs, il a enseigné à la Faculté Catholique de Paris et a publié une dizaine de livres, dont la moitié sur la chasse à courre qu'il pratiqua pendant de nombreuses années.
Titre | Bon appétit messieurs ! La grande prédation économique en France |
Auteur | HAUTLECOEUR (Robert) |
Éditeur | PUBLIBOOK.COM (EDITIONS) |
Date de parution | 01 août 2006 |
Nb de pages | 282 |
EAN 13 | 9782748308334 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 22 |
Largeur (en mm) | 140 |
Hauteur (en mm) | 225 |
Poids (en Kg) | 0,360 |
Critique du libraire
L´auteur a recensé un nombre considérable de scandales financiers mettant en cause des politiciens, des financiers, des associations caritatives... dont on parle une fois ou deux dans les média et qui tombent ensuite dans les oubliettes républicaines.