Se rendre au contenu

La franc-maçonnerie - Instruction pastorale du 8 février 1885

https://www.chire.fr/web/image/product.template/508504/image_1920?unique=ea0f29c
Référence interne : 132281
(0 avis)

Date de parution : 07 avr. 2025
Auteur : FREPPEL (Mgr Charles-Émile)
Éditeur : CHIRE (EDITIONS DE)
Collection : LES MAITRES DE LA CONTREREVOLUTION
EAN 13 : 9782851903563
Nb de pages : 44

7,11 € 7.11 EUR 7,11 €

7,50 €

Pas disponible à la vente

Cette combinaison n'existe pas.

Conditions générales
Garantie satisfait ou remboursé de 30 jours
Expédition : 2-3 jours ouvrables


Référence interne: 132281

Description

En 1885, Mgr Freppel consacre son mandement de Carême au péril mortel pour l’Église et pour la France que représente la franc-maçonnerie. C’est le texte que vous avez entre les mains. L’évêque d’Angers s’inscrit dans les pas de Léon XIII qui, un an plus tôt, le 24 avril 1884, a publié l’encyclique Humanum genus contre cette puissante société secrète. Il établit que la Maçonnerie est l’héritière de la Gnose et de tous ses succédanés au cours des siècles, et que son erreur fondamentale, qu’elle s’emploie à communiquer à toute la société et à insinuer jusque dans les rangs de l’Église, est le rejet du surnaturel, c’est-à-dire le naturalisme.

En quelques pages décisives, Mgr Freppel (1827-1891) donne à tous ses diocésains, et à nous autres aujourd’hui, les clefs et les armes pour comprendre et combattre notre acharnée ennemie : la franc-maçonnerie.

Titre La franc-maçonnerie - Instruction pastorale du 8 février 1885
Auteur FREPPEL (Mgr Charles-Émile)
Éditeur CHIRE (EDITIONS DE)
Collection LES MAITRES DE LA CONTREREVOLUTION
Date de parution 07 avr. 2025
Nb de pages 44
EAN 13 9782851903563
Présentation Brochure
Épaisseur (en mm) 3
Largeur (en mm) 148
Hauteur (en mm) 210
Poids (en Kg) 0,250


55ᵉˢ Journées Chouannes : 

Réservez votre weekend du 6-7 septembre

Le livre au service de la France et de la Chrétienté

+ de 100 auteurs et 15 conférenciers !

Tout savoir sur les Journées Chouannes


Lu dans Lectures Françaises

Mgr Charles-Émile Freppel (1827-1891) est un évêque de combat comme on n’en trouve plus depuis longtemps, et qui, de son temps déjà, en France, tranchait avec beaucoup de ses frères dans l’épiscopat. Depuis la mort de Pie IX et l’élection de Léon XIII (1878), l’heure était aux accommodements avec les détenteurs du pouvoir, c’est-à-dire avec le parti républicain. Le nouveau pape voulait en effet tenter de sauver le Concordat et avait besoin de provoquer un apaisement entre l’Église et la République. Mgr Freppel, évêque d’Angers, était respectueusement et résolument hostile à cette politique, qui devait douze ans plus tard prendre la forme et le nom de Ralliement.
Aussi, lorsque le pape Léon XIII publia son encyclique magistrale Humanum Genus, dans laquelle il renouvelait les condamnations portées par ses prédécesseurs contre la franc-maçonnerie, Mgr Freppel saisit un an plus tard la balle au bond et consacra rien moins que son mandement de Carême, aujourd’hui réédité, à cette même Maçonnerie.
Complétant avantageusement la pensée du Pape, l’évêque d’Angers s’employa à établir que la franc-maçonnerie n’avait pas vu le jour à l’aurore du XVIIIe siècle sous l’effet de la génération spontanée. Cette puissante société secrète est l’héritière de la Gnose et de tous ses succédanés au cours des siècles. Son erreur fondamentale, qu’elle s’emploie à communiquer à toute la société et à insinuer jusque dans les rangs de l’Église, est le rejet du surnaturel, c’est-à-dire le naturalisme.
Le parti républicain, au pouvoir en France depuis que les monarchistes avaient successivement perdu la majorité à la Chambre des députés (1876) et au Sénat (1879), appliqua méthodiquement le programme naturaliste des loges : lois contre les congrégations religieuses (1880), épuration de la fonction publique, laïcisation de l’enseignement public (1882) et contrôle exercé sur l’enseignement libre confessionnel, loi sur le divorce (1884)… Le Concordat lui-même ne devait pas y résister, et la sacro-sainte loi de 1905 devait compléter le tableau.
De fait, contrairement à ce que voulaient penser les catholiques libéraux, mais aussi Léon XIII, la République n’est pas en France une forme de gouvernement des hommes comme une autre. Pour le parti républicain, c’est-à-dire pour les obédiences maçonniques dont il était la courroie de transmission, la République est indissociable de leur programme de sécularisation, et pour tout dire d’apostasie publique : elle est, dans l’ordre politique, social, culturel et symbolique, l’antithèse de la cité catholique. Et elle n’a depuis lors jamais vraiment cessé de l’être.
En quelques pages décisives, Mgr Freppel remet les pendules à l’heure et nous délivre un précieux vade-mecum contre la franc-maçonnerie.

Vincent CHABROL
Vous aimerez aussi