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L’enjeu – Les souverainistes face à la grande finance

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Référence interne : 135207
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Date de parution : 30 sept. 2025
Auteur : Jean-Loup IZAMBERT
Éditeur : LIBRES D'ECRIRE (EDITIONS)
EAN 13 : 9782376925637
Nb de pages : 348

18,96 € 18.96 EUR 18,96 €

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Référence interne: 135207

Description

Et si la crise n’était pas un accident mais un modèle d’affaires ?

En croisant chiffres publics, circuits de subventions et intérêts privés, cette enquête dévoile comment le haut patronat français capte plus de 250 milliards d’euros d’argent public par an pendant que l’hôpital, le logement et l’industrie du pays s’effondrent.

Le contraste est saisissant : tandis que la fortune de ces milliardaires augmente chaque jour de 2 millions de dollars US, l’Union européenne comptera 130 millions de pauvres à l’horizon 2030…

Qui sont ces destructeurs ? Comment sortir de leur Union européenne et de l’OTAN qui nous enfoncent toujours plus dans la crise et la guerre ?

« L’enjeu » expose leurs mécanismes, identifie les gagnants, et confronte des solutions concrètes : relance productive, protection des services essentiels, et sortie de dépendances financières et militaires.

Et, pour la première fois, les dirigeants des principaux partis souverainistes (François Asselineau, Fadi Kassem et Florian Philippot) s’expriment sur leurs propositions parfois communes.

Titre L’enjeu – Les souverainistes face à la grande finance
Auteur
Éditeur LIBRES D'ECRIRE (EDITIONS)
Date de parution
Nb de pages 348
EAN 13 9782376925637
Présentation Broché
Épaisseur (en mm) 22
Largeur (en mm) 148
Hauteur (en mm) 210
Poids (en Kg) 0,535

Critique du libraire

Fruit de trente ans d’enquête, L’enjeu est un ouvrage de combat qui met en lumière une opposition frontale : celle qui oppose une finance transnationale apatride aux mouvements souverainistes. Jean-Loup Izambert y décrypte avec une précision clinique les mécanismes par lesquels une oligarchie économique impose sa loi aux États, en utilisant l’Union européenne comme un outil supranational à son service.

Loin de se limiter à la dénonciation, l’auteur cartographie la richesse et la diversité des forces souverainistes (PRCF, UPR, Les Patriotes…), analysant leurs propositions concrètes pour sortir de l’UE, de l’euro et de l’OTAN. Il expose ainsi une alternative politique complète, systématiquement écartée du débat public.

En révélant à la fois la puissance du système et la pertinence des solutions proposées, L’enjeu se révèle être une boussole indispensable. C’est un livre dense et courageux, essentiel pour tous les citoyens qui cherchent à comprendre les véritables leviers du pouvoir et les voies possibles pour reconquérir leur destin. Une lecture salutaire qui appelle à l’action et à la réflexion, au-delà des clivages traditionnels.

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Lu dans Lectures Françaises

« Enquêtant depuis trente années sur le milieu très fermé de la grande finance et ses rapports avec le pouvoir politique, le journaliste d’enquête Jean-Loup Izambert livre avec L’Enjeu un nouvel ouvrage inédit. Il apporte des éléments de réflexion à des questions essentielles que se posent de plus en plus de français : comment sortir de la crise politique et économique ? Que proposent les souverainistes et vont-ils réussir à ouvrir une nouvelle perspective politique ? […]

« Lectures Françaises : Quels faits vous ont conduit à écrire L’Enjeu ?
Jean-Loup Izambert : Quatre faits principaux : la situation de notre pays qui ne cesse de s’aggraver depuis des décennies et atteint aujourd’hui un point de rupture, la volonté du pouvoir politique de renforcer son autoritarisme tout en cherchant la guerre avec la Fédération de Russie et, dans le même temps, l’apparition de mouvements de révolte très motivés dans pratiquement toutes les catégories socio-professionnelles de la population. […]

« L. F. : Quelle est cette caractéristique nouvelle par rapport aux mouvements qui se sont succédés dans cette période vicennale ?
J.-L.I. :En allant à la rencontre de paysans de la Coordination Rurale ou de militants de la CGT et lors des conférences que je donne dans les régions avec des sympathisants et militants du mouvement les Patriotes, je discute avec des travailleurs et des retraités issus d’horizons politiques très différents, voire opposés. Tous expriment une volonté d’agir avec détermination pour changer les choses. Comme a pu le dire un syndicaliste CGT dont je rapporte les propos, « ne comptons pas sur un tournant salutaire provenant du sommet de nos organisations syndicales : le renouveau doit partir d’en-bas ! » Nous sommes loin du discours de certains dirigeants des Gilets jaunes qui, il y a quelques années, se déclaraient « apolitiques ». […]

« L. F. : Pourquoi cette recomposition du paysage médiatique avec les mêmes groupements politiques mais en y incorporant cette fois le RN avec la droite traditionnelle en la présentant comme une opposition ?
J.-L.I. : L’union des droites est une farce électoraliste ! Ceux qui la composent, de LR au RN et ses affidés comme Reconquête, partagent avec l’union de la gauche la responsabilité de la situation dans laquelle se trouve aujourd’hui notre pays. Tous ces partis ont en commun de ne pas s’attaquer aux causes de la crise et de la guerre : l’Europe supranationale, la zone euro, l’Otan et le capitalisme. Un pouvoir aussi minoritaire et détesté que celui de LREM n’a plus d’autre carte politique que le verrouillage total de la vie politique et une marche précipitée vers une guerre continentale pour diviser les Français entre eux et leur faire accepter sa politique d’austérité et antinationale. […]

« L. F. : Comment avez-vous travaillé pour écrire cette enquête dans laquelle vous faites à la fois l’état des lieux de la grande finance et du mouvement souverainiste ?
J.-L.I. : Alors que les Français lisent de moins en moins et que la part de lecture quotidienne baisse pour atteindre son niveau le plus bas depuis dix ans il me fallait réaliser un ouvrage facilement accessible qui ne soit pas rebutant pour les lecteurs. Le livre est composé de trois parties : la première partie traite de la grande finance dans tous ses états, la seconde partie pose cinq questions sur l’Union européenne auxquelles je réponds et la troisième partie présente le mouvement souverainiste français. J’y fais une comparaison des propositions communes des trois principaux partis souverainistes et donne la parole à leurs dirigeants au travers de trois questions que je leur pose. […]

L. F. : Quelles sont les principales caractéristiques dominantes de l’oligarchie ?
J.-L.I. : L’oligarchie économique et financière mondiale se caractérise par trois dominantes. Elle est apatride et foncièrement opposée à l’État-nation, organisée au plan international avec ses clubs, ses fondations, cercles qui forment un réseau durable de relations utiles pour défendre ses privilèges et se partager les marchés et n’a qu’un objectif : s’enrichir en exploitant les peuples quels que soient les moyens à employer, de la corruption à la guerre sous toutes ses formes. […]

« L. F. : Quel constat faites-vous sur le mouvement souverainiste français ?
J.-L.I. : Le mouvement souverainiste français se caractérise par une multitude de partis et d’associations. Il est politiquement et culturellement très riche par le fait que ses organisations sont issues de courants de pensée très différents : gaullistes, communistes, nationalistes, sans partis engagés dans des associations menant des travaux de réflexion et actions d’information relatives aux questions de la souveraineté de la France. […]

« L. F. : Pour quelles raisons ne considérez-vous pas le RN, Debout la France et le PCF comme des partis souverainistes ?
J.-L.I. : La raison est simple : ces trois partis, tout comme « l’union des droites », sont partisans de l’Union européenne, de la zone euro et de l’Otan, sauf le PCF qui est pour la sortie de l’Otan. La lecture attentive de leurs programmes politiques permet de constater le décalage entre leurs propositions et les discours de leurs dirigeants. […]

« L. F. : Quelles considérations vous conduisent à ne traiter que des programmes des Patriotes, du PRCF et de l’UPR ?
J.-L.I. : Je me suis arrêté aux partis qui sont organisés nationalement, ont des programmes politiques relativement complets et qui sont présents aux côtés des travailleurs en lutte. […]

« L. F. : Concernant ces trois partis quelles sont leurs principales propositions communes ?
J.-L.I. : Je détaille dans l’Enjeu les propositions similaires de ces partis mais aussi leurs propositions communes par thèmes : Frexit, démocratisation de la vie politique, économique et sociale, paix, agriculture et pêche, etc. […]

« L. F. : Vous donnez libre parole en fin d’ouvrage aux dirigeants de ces partis avec lesquels vous vous êtes entretenu. Que vous inspirent leurs réponses ?
J.-L.I. : Alors que notre pays connaît une crise profonde que je décris dans mon enquête publiée sous le titre Bilan noir, ces partis sont porteurs de propositions qui permettraient de sortir de l’Union européenne, de la zone euro, de l’Otan et de mettre en œuvre une nouvelle politique souveraine abolissant la misère et la guerre. Une plateforme de réflexion et d’action où les dirigeants de ces partis débattraient de leurs propositions communes comme de leurs désaccords favoriserait le débat dans le pays autour de celles-ci. […] »

Extraits de l'entretien avec Jean-Louis Izambert, « Souverainistes : l’heure du choix »,  Lectures françaises n° 823, novembre 2025





 

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