N°215/216 Janv/Fév 1995 - L´Algérie et la France, Lorette : la maison de la Vierge.
Date de parution :
01 janv. 1995
Auteur :
LECTURE ET TRADITION
Éditeur :
DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
EAN 13 :
00003691
Nb de pages :
56
Référence interne:
64925
Description
L'Editorial : La Réplubique n'est plus aimée, par Michel Sarlon-Malassert.
- L'Algérie et la France malades l'une de l'autre, de Georges Dilinger
- La Lecture de Claude Mouton-Raimbault.
- La Lecture de Claude Robert Martel.
- La quatriéme révolution (autour du livre de Roberto Mattei : "De l'utopie du progrés au régne du chaos")
- Lorette : la maison de la Vierge tombée du Ciel, par Guy Le Rumeur.
- Jeunes saints, jeunes témoins : André Ripoche, par François Marie Algoud.
- Les 32 religieuses martyres d'Orange, du chanoine Reyne et l' abbé Brehier, par André Figueras.
- Le Sacré-Coeur et la Grande Guerre, d'Alain Denizot, par Claude Mouton-Raimbault.
- La noblesse dans la société moderne, par Daniel Raffard de Brienne.
- Les vérités yougos laves ne sont pas toutes bonnes à dire, de Jacques Merlino, par Jean-Pierre Hamblenne.
- Pierre Pascal et l'Orient, par Yves Chiron.
- Un poème inédit de Pierre Pascal.
- Nous avons reçu.
- La Contre-Encyclopédie (L. Audiat ; P-L. de Châtillon ; J .B. de Couëtus de la Vallée).
Titre | N°215/216 Janv/Fév 1995 - L´Algérie et la France, Lorette : la maison de la Vierge. |
Auteur | LECTURE ET TRADITION |
Éditeur | DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE |
Date de parution | 01 janv. 1995 |
Nb de pages | 56 |
EAN 13 | 00003691 |
Épaisseur (en mm) | 3 |
Largeur (en mm) | 150 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0,070 |
Critique du libraire
Extrait de l'Editorial : La République n'est plus aimée. "La république n'est plus aimée." Qui a osé proférer une telle infamie ? Quelque disciple attardé de Charles Maurras ? Quelque "collabo" qui aurait échappé aux exé cutions sommaires et aux procès expéditifs de la libération ? Quelque néo-nazi poussé, tel un champignon vénéneux, sur le terreau nauséabond du populisme ? Non ! Ce propos scandaleux a été tenu, horresco referens, par Charles Millon, président du gro upe U.D.F. à l' assemblée nationale. A l'époque où Maximilien Robespierre vouait notre pays au culte de l'être suprême et de la guillotine, la tête du citoyen Millon eut promptement roulé dans le panier de Sanson. Mais laissons à Fouquier-Tinville ses instincts sanguinaires ; n'exigeons pas la décapitation ! Suggérons seulement au sieur Millon de relire quelques pages d'Histoire de France... Certes, monsieur le député se demande pourquoi la République "risque d'être déconsidérée" et d' invoquer pêle-mêle les technocrates qui confisquent le pouvoir, les élus qui font de leur mandat une rente et de leur circonscription électorale une féo dalité (ce n'est pas nous qui le disons !), la dichotomie entre les profiteurs de la croissance économique et ceux qui connaissent l'angoisse du chômage, la nomenklatura, le non renouvellement des élites, l'exclusion, les intérêts particuliers ou catégoriels qui l' emportent sur l'intérêt général, la corruption, l'incontinence législative, etc.