N°225/226 Nov/Déc 1995 - Enjeux et horizons du procès Touvier
Date de parution :
01 nov. 1995
Auteur :
LECTURE ET TRADITION
Éditeur :
DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
EAN 13 :
00003694
Nb de pages :
52
Référence interne:
64930
Description
- Editorial : 1975-1995 , Léon de Poncins toujours actuel, par P.E.
- Les enjeux du procès Touvier, par Jacques Trémolet de Villers.
- Les horizons du procès Touvier, par Jean-Baptiste Geffroy.
- A propos du livre de Jean-Pierre Henne : "Un étrange combat. Méditations sur l'affaire Touvier".
- Pie IX, de Yves Chiron, par Daniel Raffard de Brienne
- Pétain et les Américains, de Jacques le Groignec, par Claude Mouton-Raimbault.
- Jeunes Saints, Jeunes Témoins, par François-Marie Algoud : La lépreuse, Joséphine Cafrine.
- Nous avons reçu.
- La Contre-Encyclopédie (Le mouvement liturgique, par Ursula Ackermann)
Titre | N°225/226 Nov/Déc 1995 - Enjeux et horizons du procès Touvier |
Auteur | LECTURE ET TRADITION |
Éditeur | DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE |
Date de parution | 01 nov. 1995 |
Nb de pages | 52 |
EAN 13 | 00003694 |
Épaisseur (en mm) | 3 |
Largeur (en mm) | 150 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0,070 |
Critique du libraire
Editorial : 1975-1995 Léon de Poncins toujours actuel. Cette revue a été créée par le courage et l'abnégation d'un groupe de jeunes "Français libres" : vingt ans après la fin de la guerre "visible" de 1939-1945, alors que renaissait à l'intérieur celle de la Subversion contre la France de toujours. Une France peu-à-peu amenée à ne devenir qu'une simple case sur le vaste échiquier du mondialisme anonyme que l'on veut nous présenter comme le monde nouveau. Une France de plus en plus désinformée - même parmi ses élites - dont les familles sont empêchées de remplir leur rôle traditionnel vital et dont la population ne se maintient numériquement que par l'apport croissant d'ethnies étrangères non-chrétiennes difficilement assimilées et demeurant souvent sensibles à des influences extérieures. Une telle transformation de notre destin impose à chacun de nous un réalisme vital qui doit supplanter nos points de vue et intérêts personnels car il s'agit de plus en plus de notre avenir commun et de l'existence même de nos descendants. Qui ne songerait à cette évidence en voyant à quelle pénible cadence disparaissent peu-à-peu les grands Francais qui ont tout subordonné à la défense du pays, les intelligences dévouées à sa survie, tous ceux qui ont compris les mécanismes de la Subversion sur tous les plans ? Cet indispensable réalisme doit nous amener en premier lieu à continuer la lutte et donc à former systématiquement, avec nos expériences, ceux qui prendront, notre suite : la jeunesse française, encore insuffisamment préparée aux exigences d'une lutte véritablement technique face aux progrès constants de celle de nos adversaires dans un monde bouleversé dans ses structures naturelles. (...)