N°351 Mai 2006 - La vérité sur Galilée
Date de parution :
01 mai 2006
Auteur :
LECTURE ET TRADITION
Éditeur :
DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
EAN 13 :
0010406200003
Nb de pages :
32
Référence interne:
65037
Description
- L'Académie des Lincéi
- Un pape "novateur", Urbain VIII
- Le vrai procès
- La fronde des cardinaux
- Le faux procès
- L'échec d'un pontificat
- Conclusion
- Bibliographie
- Conclusion spirituelle, par Monsieur l'abbé Lecareux
- Renouvellement de la Consécration au Sacré-Coeur, par le père Jean-Marie
Titre | N°351 Mai 2006 - La vérité sur Galilée |
Auteur | LECTURE ET TRADITION |
Éditeur | DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE |
Date de parution | 01 mai 2006 |
Nb de pages | 32 |
EAN 13 | 0010406200003 |
Épaisseur (en mm) | 3 |
Largeur (en mm) | 148 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0,050 |
Critique du libraire
La vérité sur Galilée L'affaire Galilée appartient à l'arsenal des mensonges et impostures que les historiens modernes ont montés de toutes pièces par haine de Jésus-Christ et de son Eglise, avec l'intention avouée et proclamée de tuer la foi dans les âmes encore croyantes. Depuis le début de nos recherches sur la gnose, nous n'avons cessé de nous heurter à ces mensonges tellement installés dans les esprits que nos études et nos démonstrations provoquent encore des réactions de méfiance et de scepticisme même de la part de chrétiens sincères qui ont beaucoup de mal à se libérer des modes intellectuelles du "politiquement correct, du scientifiquement correct, du religieusement correct". Cette étude sur Galilée s'inscrit dans le prolongement de ce que nous disons sur les Humanistes de la Renaissance, au chapitre II de notre second volume : La gnose contre la foi, intitulé "Gnose et humanisme". Il est donc bien nécessaire de le relire avant d'aborder notre travail et de bien avoir à l'esprit ce que nous avons développé sur le caractère fondamentalement anti-chrétien de cet humanisme. La condamnation de l'héliocentrisme Nous reprenons notre texte : "Nous savons que le culte de Mithra a été opposé, dans les premiers siècles chrétiens, à celui de Jésus-Christ. Mithra, c'est le soleil invaincu (Sol invictus). Il a failli devenir le culte officiel de l'Empire romain sous Aurélien. Voici que les Humanistes de la Renaissance ont repris ce culte, mais en secret, dans leurs conventicules intimes. Le système héliocentriste, enseigné par Copernic et repris par Galilée, est bien une manifestation de l'adoration du soleil. Copernic écrit dans De revolutionibus orbium coelestium : "In mundo vere omnium residet Sol. Quis enim in hoc pulcherrimo templo lampadem hanc in alio vel meliori loco poneret, quam unde totum simul possit illuminare. Si quidem non inepte quidam lucernam mundi, alii mentern, alii rectorem vocant, Trismegistum visibilem deum". (...)