La Franc-Maçonnerie contre la France
Auteur :
PONCINS (Léon de)
Éditeur :
SAINT REMI (EDITIONS) ESR
EAN 13 :
9782845194960
Nb de pages :
94
Référence interne:
44920
Description
"Une des premières mesures prises par le Maréchal Pétain a été l'interdiction de la F:. M:. et cette interdiction repose sur des motifs légitimes. Notons en effet que presque tous les gouvernements d'Europe ont pris successivement depuis 1919 des mesures analogues, chaque fois à la suite de troubles révolutionnaires graves (p. 1, sq.)." "Il faut détruire la civilisation, la nôtre, et la remplacer par une société à base maçonnique (p. 41)."
Leibnitz (Théodicée), avant les francs-maçons et après beaucoup d'autres (Platon n'est pas le moindre)", avait examiné la question : elle est stupéfiante de sottise et d'orgueil : que devrait être un homme ? une institution ? une organisation ? qui serait capable de dire à quoi doit ressembler l'homme nouveau ? une société nouvelle ? une civilisation autre que celle que le Verbe a voulu ? La réponse est dans la question: nul ne s'est prévalu d'égaler Dieu, sinon Lucifer. C'est donc à lui que, consciemment ou non, les sectateurs de la Franc-Maçonnerie sont asservis; à savoir trahir leurs semblables, que d'ailleurs ils méprisent :
-"Les communistes trahissent selon des principes officiellement proclamés.
- Les juifs trahissent par fatalité historique, par intérêt et par goût de la subversion.
- Les francs-maçons trahissent, consciemment chez les uns, inconsciemment chez les autres, en application logique des subtiles doctrines maçonniques.
C'est pourquoi elle prend nettement position contre la religion catholique au nom du Rationalisme et du Sceintisme (p. 57)."
Titre | La Franc-Maçonnerie contre la France |
Auteur | PONCINS (Léon de) |
Éditeur | SAINT REMI (EDITIONS) ESR |
Nb de pages | 94 |
EAN 13 | 9782845194960 |
Présentation | Inconnu |
Épaisseur (en mm) | 5 |
Largeur (en mm) | 145 |
Hauteur (en mm) | 205 |
Poids (en Kg) | 0,140 |
Critique du libraire
Réimpression de l'édition de 1941.Née du désastre de 1870, la IIIe République maçonnique s'est effondrée dans le désastre de 1940, minée par un régime corrupteur.