Le moment est venu de dire ce que j´ai vu
Date de parution :
30 sept. 2015
Auteur :
VILLIERS (Philippe de)
Éditeur :
ALBIN MICHEL (EDITIONS)
Collection :
ESSAIS DOC.
EAN 13 :
9782226319067
Nb de pages :
352
Référence interne:
102432
Description
Titre | Le moment est venu de dire ce que j´ai vu |
Auteur | VILLIERS (Philippe de) |
Éditeur | ALBIN MICHEL (EDITIONS) |
Collection | ESSAIS DOC. |
Date de parution | 30 sept. 2015 |
Nb de pages | 352 |
EAN 13 | 9782226319067 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 25 |
Largeur (en mm) | 154 |
Hauteur (en mm) | 240 |
Poids (en Kg) | 0,540 |
Critique du libraire
Philippe de Villiers change son fusil d'épaule et tire cette année sur les "grands" de ce monde et c'est tout simplement un pur régal ! Quand il vise un gros gibier, tel que Chirac, Hollande, Mitterrand ou une institution comme l'ENA, on croirait lire du Jacques Perret ou du Michel Audiard (!) ; quand il rend hommage (à la Maréchale de Lattre par exemple) il le fait en grand seigneur, avec toute l'émotion et la sincérité qu'on lui connaît. Pourquoi l'Europe est ce qu'elle est ? Pourquoi la France n'est plus ? Quelques réponses bien senties dans cet ouvrage qui transpire l'optimisme et qui vous laissera le sourire aux lèvres... - EXTRAIT : Historiquement, de par le monde, il (l'islam, NDLR) n'a jamais cherché à coexister dans la paix avec une autre philosophie ou d'autres religions. Quand il prend la place, il reste à sa place. Au nom d'Allah, il prend toute la place. On veut nous convaincre que la présence de millions de musulmans en Europe n'aura pas d'incidence sur notre avenir. Alors que, sous nos yeux, déjà la France change de visage (...) Dans l'armée française, aujourd'hui, il y a 25% de musulmans. Demain, 50% ? Y a-t-on réfléchi ? Nos hommes politiques, sourds à l'appel de l'Orient chrétien martyr et aux leçons de l'attentat du 7 janvier, sont devenus des dhimmis en puissance. Ils portent le silice et pratiquent la repentance. Interrogé par Libération, Alain Juppé, qui se vante de n'avoir jamais lu le coran, s'est indigné que des mères portant le voile islamique ne puissent pas accompagner les sorties scolaires. Il en appelle à sa propre mère : « Quand ma maman allait à la messe, elle portait un foulard. » Ainsi ose-t-il invoquer les racines chrétiennes de la France pour mieux justifier le port du voile islamique, qui n'a rien à voir avec un foulard. Subversion totale de l'histoire de France par des élites aveugles ou pétrifiées devant le risque d'une confrontation (...) Nous sommes dans une inversion logique absolue : à chaque fois que l' islamisme frappe, nos élites déclarent l'urgence pour prendre des mesures contre « l' islamophobie ». T. Ramadan peut rire sous cape. Le fruit est mûr.