Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde
Date de parution :
10 juin 2020
Auteur :
VILLIERS (Philippe de)
Éditeur :
FAYARD (EDITIONS)
Collection :
DOCUMENTS
EAN 13 :
9782213717487
Nb de pages :
162
Référence interne:
113863
Description
Il porte la rage des "Gaulois réfractaires" et la met en récit pour la rendre intelligible à ceux qui la ressentent.
C'est la chronique glaçante d'une histoire terrifiante : on y découvre le chemin des aveuglements qui a conduit à cette débâcle, l'engrenage des mensonges, la révélation hallucinante des alertes des militaires, les ignorances savantes du biopouvoir liberticide ; sans oublier un morceau d'anthologie : la rencontre du Puy du Fou, quand Emmanuel Macron s'enivrait encore de l'Ancien Monde.
La plume de Philippe de Villiers est inspirée. On se laisse emporter par l'expression aboutie, dense, littéraire et cinglante de la colère qui gronde partout aujourd'hui contre le Nouveau Monde, mort du coronavirus.
Titre | Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde |
Auteur | VILLIERS (Philippe de) |
Éditeur | FAYARD (EDITIONS) |
Collection | DOCUMENTS |
Date de parution | 10 juin 2020 |
Nb de pages | 162 |
EAN 13 | 9782213717487 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 11 |
Largeur (en mm) | 135 |
Hauteur (en mm) | 215 |
Poids (en Kg) | 0,240 |
Critique du libraire
Philippe de Villiers examine les causes profondes de la crise du Covid-19 et se fait le porte-parole d'une France oubliée en colère. C'est le livre d'un mousquetaire souverainiste écrit comme le roman d'un désastre annoncé et d'une renaissance espérée. Il nous l'avait bien dit ! C'était deux ans après Maastricht, lors de la campagne des élections européennes de 1994. À l'époque, la formule faisait rire les salles : "Quand toutes les barrières sanitaires seront tombées et qu'il y aura une grippe à New Delhi, elle arrivera dans le Berry", aimait-il répéter devant un public incrédule. Bien avant Arnaud Montebourg, Philippe de Villiers fut, avec Jean-Pierre Chevènement, Philippe Séguin et Charles Pasqua, l'un des premiers à évoquer la "démondialisation" et à fustiger le "libre-échangisme mondial qui déracine tout et appauvrit les faibles". Pendant trente ans, on établit autour d'eux un périmètre sanitaire. Les "conscrits de Maastricht" sont confinés aux marges de la politique. Au mieux, ils sont présentés comme des cassandres ou des ringards, au pire comme des crypto-lepénistes, des populistes.