La "Terreur nazie" - Un juif témoigne
Date de parution :
01 janv. 2015
Auteur :
WEICHARDT (Heinz)
Éditeur :
LA SFINGE (EDITIONS)
EAN 13 :
0000001021301
Nb de pages :
110
Référence interne:
102130
Description
Il y a des êtres que le destin gratifie d'une existence toute particulière : ainsi de l'auteur de ce petit livre qui se présente comme une longue lettre adressée à Louis Bearn, théoricien de la "résistance autonome" (leaderless resistance) au Système et l'un des principaux activistes du mouvement nationaliste blanc.
Né en 1914, Heinz Weichardt a eu pour parents une mère d'origine juive et un père qui fut un journaliste influent entre 1911 et 1944. Il comptait dans sa famille paternelle plusieurs proches qui étaient des nationalistes allemands convaincus. Lui-même très favorable au régime national-socialiste, il évoque une communauté juive allemande très fortement assimilée, progressivement victime des campagnes orchestrées contre la nouvelle Allemagne par le judaïsme international. Pour avoir vécu à Berlin de 1929 à 1938, il est en mesure de nous offrir de nombreuses tranches de vie sous le Troisième Reich, de décrire fidèlement la montée de l'antisémitisme et d'en analyser les vraies causes.
Contraint à l'exil par une législation de plus en plus restrictive, Heinz Weichardt embarqua pour les États-Unis le 5 septembre 1938. Ce brillant ingénieur, qui allait devenir enfin de carrière l'un des dirigeants du secteur de la recherche chez IBM, nous livre également un précieux témoignage sur la vie aux États-Unis juste avant et pendant la Seconde Guerre mondiale.
Ce livre souvent teinté d'ironie est une pierre de plus jetée dans le terrain vague des bonimenteurs officiels.
Né en 1914, Heinz Weichardt a eu pour parents une mère d'origine juive et un père qui fut un journaliste influent entre 1911 et 1944. Il comptait dans sa famille paternelle plusieurs proches qui étaient des nationalistes allemands convaincus. Lui-même très favorable au régime national-socialiste, il évoque une communauté juive allemande très fortement assimilée, progressivement victime des campagnes orchestrées contre la nouvelle Allemagne par le judaïsme international. Pour avoir vécu à Berlin de 1929 à 1938, il est en mesure de nous offrir de nombreuses tranches de vie sous le Troisième Reich, de décrire fidèlement la montée de l'antisémitisme et d'en analyser les vraies causes.
Contraint à l'exil par une législation de plus en plus restrictive, Heinz Weichardt embarqua pour les États-Unis le 5 septembre 1938. Ce brillant ingénieur, qui allait devenir enfin de carrière l'un des dirigeants du secteur de la recherche chez IBM, nous livre également un précieux témoignage sur la vie aux États-Unis juste avant et pendant la Seconde Guerre mondiale.
Ce livre souvent teinté d'ironie est une pierre de plus jetée dans le terrain vague des bonimenteurs officiels.
| Titre | La "Terreur nazie" - Un juif témoigne |
| Auteur | WEICHARDT (Heinz) |
| Éditeur | LA SFINGE (EDITIONS) |
| Date de parution | 01 janv. 2015 |
| Nb de pages | 110 |
| EAN 13 | 0000001021301 |
| Présentation | Broché |
| Épaisseur (en mm) | 8 |
| Largeur (en mm) | 130 |
| Hauteur (en mm) | 200 |
| Poids (en Kg) | 0,140 |
Critique du libraire
La "terreur nazie" - Un juif témoigne
de Heinz Weichardt
éditions La Sfinge, France, pp.112, 2015
Le titre est entre guillemets pour une très bonne raison. Même si les éditeurs notent "Rome" sur la page 5 comme lieu d'édition de cet ouvrage, nous savons très bien que derrière l'appellation "Sfinge" se cache le grand intellectuel révisionniste Jean Plantin (Akribeia). Il s'agit d'un roman-essai très fort qui est paru la première fois en anglais dans les pages du magazine américain "Liberty Bell" en 1995. Ce roman serait une lettre envoyé à Louis Beam dont nous avons déjà présenté son "Mémoires d'un homme du clan".
Heinz Weichardt (1914-1995) est né en 1914 en Allemagne mais sa famille a vite déménagé à Vienne où il est resté jusqu'à l'âge de quinez ans. En 1929 donc sa famille déménage à Berlin puisque son père journaliste est appelé pour couvrir les évènements pro-hitlériens. Etant juif du coté de sa mère, Weichardt choisit de quitter l'Allemagne en 1938 et de s'installer près de Manhattan. Il est devenu ingénieur pour la société IBM juste au moment où la guerre éclate. Il a été naturalisé américain très vite puisqu'il était juif.
Nous aimerions souligner quelques points révisionnistes importants de ce récit :
1. son oncle (également juif) Louis Weichardt (1894-1985) a émigré en Afrique du Sud pour y créer le parti politique South African Gentile National-Socialist Movement, un parti qui a milité pour l'instauration de l'apartheid en 1948,
2. l'inventeur du fameux Zyklon B était le juif Fritz Haber "directeur de l'institut de chimie Kaiser Wilhelm" (op.cit.page 14),
3. T.E.Lawrence (alias Laurence d'Arabie) a été tué (ce n'était pas un accident) parce qu'il voulait créer un foyer arabe en Palestine, la fameuse Légion d'Arabie. cela était en contradiction avec la déclaration de Balfour "qui favorisait les banquiers juifs de Londres et de New York" (op.cit. page 19),
4. très peu de juifs ont été envoyés aux camps de concentration. "Qui en étaient les détenus? Pour la plupart des vagabonds, des clochards et, c'est vrai, quelques politiciens nuisibles de gauche" (op.cit. page 41),
5. Ernst Rohm n'a pas été assassiné pour son homosexualité. "Rohm voulait que les SA (sections d'assaut) soient incorporés dans la nouvelle armée et guignait aussi le poste de ministre de la défense, qu'il pensait lui être dû" (op.cit.page 46)... "Hitler savait que s'il prenait parti en faveur de Rohm et contre la Reichswehr il devrait faire face à une crise majeure et risquait de perdre ce qu'il avait eu tant de mal à obtenir" (ibid). Nous avons aussi écrit un article sur le roman de Jean Mabire sur Rohm.
Il vous suffit maintenant d'acheter ce roman afin de trouver les autres arguments révisionnistes de cette perle de valeur inestimable.
écrit par Dionysos ANDRONIS - le 16 mai 2025
de Heinz Weichardt
éditions La Sfinge, France, pp.112, 2015
Le titre est entre guillemets pour une très bonne raison. Même si les éditeurs notent "Rome" sur la page 5 comme lieu d'édition de cet ouvrage, nous savons très bien que derrière l'appellation "Sfinge" se cache le grand intellectuel révisionniste Jean Plantin (Akribeia). Il s'agit d'un roman-essai très fort qui est paru la première fois en anglais dans les pages du magazine américain "Liberty Bell" en 1995. Ce roman serait une lettre envoyé à Louis Beam dont nous avons déjà présenté son "Mémoires d'un homme du clan".
Heinz Weichardt (1914-1995) est né en 1914 en Allemagne mais sa famille a vite déménagé à Vienne où il est resté jusqu'à l'âge de quinez ans. En 1929 donc sa famille déménage à Berlin puisque son père journaliste est appelé pour couvrir les évènements pro-hitlériens. Etant juif du coté de sa mère, Weichardt choisit de quitter l'Allemagne en 1938 et de s'installer près de Manhattan. Il est devenu ingénieur pour la société IBM juste au moment où la guerre éclate. Il a été naturalisé américain très vite puisqu'il était juif.
Nous aimerions souligner quelques points révisionnistes importants de ce récit :
1. son oncle (également juif) Louis Weichardt (1894-1985) a émigré en Afrique du Sud pour y créer le parti politique South African Gentile National-Socialist Movement, un parti qui a milité pour l'instauration de l'apartheid en 1948,
2. l'inventeur du fameux Zyklon B était le juif Fritz Haber "directeur de l'institut de chimie Kaiser Wilhelm" (op.cit.page 14),
3. T.E.Lawrence (alias Laurence d'Arabie) a été tué (ce n'était pas un accident) parce qu'il voulait créer un foyer arabe en Palestine, la fameuse Légion d'Arabie. cela était en contradiction avec la déclaration de Balfour "qui favorisait les banquiers juifs de Londres et de New York" (op.cit. page 19),
4. très peu de juifs ont été envoyés aux camps de concentration. "Qui en étaient les détenus? Pour la plupart des vagabonds, des clochards et, c'est vrai, quelques politiciens nuisibles de gauche" (op.cit. page 41),
5. Ernst Rohm n'a pas été assassiné pour son homosexualité. "Rohm voulait que les SA (sections d'assaut) soient incorporés dans la nouvelle armée et guignait aussi le poste de ministre de la défense, qu'il pensait lui être dû" (op.cit.page 46)... "Hitler savait que s'il prenait parti en faveur de Rohm et contre la Reichswehr il devrait faire face à une crise majeure et risquait de perdre ce qu'il avait eu tant de mal à obtenir" (ibid). Nous avons aussi écrit un article sur le roman de Jean Mabire sur Rohm.
Il vous suffit maintenant d'acheter ce roman afin de trouver les autres arguments révisionnistes de cette perle de valeur inestimable.
écrit par Dionysos ANDRONIS - le 16 mai 2025
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