Bérénice - La Reine de Césarée
Référence : 24513
1 avis
Date de parution : 1 octobre 2008
Éditeur : GODEFROY DE BOUILLON (EDITIONS)
EAN 13 : 9782841910045
Nb de pages : 128
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Description
Bérénice, plus connue sous le nom de La Reine de Césarée, est une tragédie en cinq actes écrite par Robert Brasillach pendant la deuxième guerre mondiale et publiée pour la première fois en 1954.
Cette pièce est une histoire d'amour entre deux personnages que tout sépare. Dans son Journal d'un homme occupé, Robert Brasillach explique que sa pièce était "fondée sur deux faits historiques que Bérénice était juive et qu'elle avait quatorze ans de plus que Titus". La rupture devint donc "la conclusion logique d'une liaison trop longue entre un Chéri et une Léa, en même temps qu'un drame de race".
Essayiste et romancier, Robert Brasillach (1909-1945) fit ses études au Lycée Louis-le-Grand à Paris puis à l'Ecole Normale Supérieure. Très jeune, il devint le responsable de la chronique littéraire de l'Action française et l'auteur de plusieurs chef-d'oeuvres littéraires.
En 1939, il succéda à Pierre Gaxotte à la tête de l'hebdomadaire Je suis partout.
En 1945, victime des drames de l'épuration, il fut condamné à mort par une cour de justice et exécuté malgré une pétition signée et adressée au général De Gaulle par les plus grands écrivains français dont François Mauriac.
Cette pièce est une histoire d'amour entre deux personnages que tout sépare. Dans son Journal d'un homme occupé, Robert Brasillach explique que sa pièce était "fondée sur deux faits historiques que Bérénice était juive et qu'elle avait quatorze ans de plus que Titus". La rupture devint donc "la conclusion logique d'une liaison trop longue entre un Chéri et une Léa, en même temps qu'un drame de race".
Essayiste et romancier, Robert Brasillach (1909-1945) fit ses études au Lycée Louis-le-Grand à Paris puis à l'Ecole Normale Supérieure. Très jeune, il devint le responsable de la chronique littéraire de l'Action française et l'auteur de plusieurs chef-d'oeuvres littéraires.
En 1939, il succéda à Pierre Gaxotte à la tête de l'hebdomadaire Je suis partout.
En 1945, victime des drames de l'épuration, il fut condamné à mort par une cour de justice et exécuté malgré une pétition signée et adressée au général De Gaulle par les plus grands écrivains français dont François Mauriac.
| Titre | Bérénice - La Reine de Césarée |
| Auteur | BRASILLACH (Robert) |
| Éditeur | GODEFROY DE BOUILLON (EDITIONS) |
| Date de parution | 1 octobre 2008 |
| Nb de pages | 128 |
| EAN 13 | 9782841910045 |
| Épaisseur (en mm) | 10 |
| Largeur (en mm) | 150 |
| Hauteur (en mm) | 210 |
| Poids (en Kg) | 0.18 |
Biographie
Robert BRASILLACH (1909-1945) Écrivain journaliste, né à Perpignan le 31 mars 1909. Issu d'une famille du Roussillon, son père, officier de l'armée coloniale, fut tué dans les combats de Kenifra, au Maroc, en 1914. Voir plus
Les avis clients
Un écho de Lectures Françaises ( 1958 )).
5/5 " Henry Coston ".
.----. Voulez-vous un exemple de la conscience des journaux parisiens ? Lors des manifestations organisées par MM. Pierre Bloch, Daniel Mayer et Maurice Vanikoff contre " La Reine de Césarée ", il y eut des bagarres. Tous les journaux parisiens, qui avaient envoyé sur place un reporter, ont imprimé que le R.P. Chaillet était parmi les manifestants et que Me Tixier-Vignancour, invité à la représentation, avait été rossé d'importance. Eh bien ! deux jours plus tard, on apprenait que le Père Chaillet avait formellement démenti sa participation à cette manifestation ( qu'il jugeait déplacée ) et que Me Tixier-Vignancour était ce soir-là à 800 kms de Paris, dans sa circonscription du Béarn. Ah ! la belle conscience des " responsables " de la presse parisienne qui avaient, tout bonnement, reproduite, en la délayant un peu, une nouvelle transmise par l'agence France-Presse dont le patron, ne l'oublions pas, fut jadis un condisciple de Maurras au même titre que l'auteur de " La Reine de Césarée ". ( notice dans " Rumeurs et Murmures ", non signée, mais elles sont en général rédigées par Henry Coston, numéro 1, 2me Année-janvier 1958 ).