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Chant funèbre pour Pnom Penh et Saïgon

Référence : 35752
4 avis
Date de parution : 1 juillet 1975
Auteur : COLLECTIF
Éditeur : S.P.L
EAN 13 : 0000007357527
Nb de pages : 432
12.20
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Description
Sommaire :
Le silence des batailles perdues, par J. Y. Alquier
Le glas de l'Occident, par le Colonel A. Argoud
Pour un adieu, par F. d'Aulan, écrivain
Phap, par S. de Beketch, journaliste
Que l'Europe redevienne, par A. de Benoist, directeur de Nouvelle Ecole
Cat Caï Dao. Coupez-leur la tête, par E. Bergot, écrivain
Le temps d'une oraison funèbre, par le Général M. Bigeard, secrétaire d'Etat auprès du Ministre de la Défense
Les bons enfants, par F. Bluche, écrivain et professeur de faculté
Le seul crime de l'Occident, par J. Bourdier, écrivain et journaliste
Capitales, par F. Broche, écrivain
Cris de vengeance, par A. Camille (A.D.G.), écrivain et journaliste
L'espérance dans les fers, par J. Cau, écrivain et journaliste
Maintenant Saïgon va vraiment mourir, par F. Caviglioli, journaliste
Mon compatriote Bennett, par J.P. Chappuis, journaliste
Un Munich asiatique, par J. Chardonnet, ancien élève de l'Ecole Normale Supérieure, professeur de faculté, ancien membre du Conseil Economique
Examen de conscience, par P. Charpy, directeur de la Lettre de la Nation
Le très faible espoir, par le Colonel P. Charton, ancien commandant du secteur autonome de Cao-Bang
Le drame indochinois, par J. Chastenet, de l'Académie Française
La démission et la mort, par P. Chaunu, professeur à la Sorbonne
La République des autruches, par J.F. Chiappe, écrivain et journaliste
Saïgon est tombée, par le Général C. Clément
Missionnaires français au Tonkin, par E. Delamare, journaliste
Le droit des peuples, par M. Dem, journaliste
Les vertiges de la liberté, par E. Deschodt, écrivain
Là-bas s'est éteinte une des lumières de l'Occident, par G. de Diesbach, écrivain
Les leçons de Clio, par Jacques Dinfreville
Quand le soleil descend sur l'horizon, par Geneviève Dormann
Mort d'une civilisation, par Raymond Dronne
E Koa, par Jean-Marc Dufour
L'enfant de 1917, par Pierre Durand
La prière des catacombes, par Jean-André Faucher
La première pierre, par André Figueras
Drôle de paix, par Maurice Gaït
Quand Timor passe, par Michel Garder
Chant, par François Gardes
Requiem pour 10000 livres, par Roland Gaucher
La guerre gagnée, par Paul Gaujac
Il est des mauvaises nouvelles que l'on n'en finit pas d'apprendre, par Bernard George
En Indochine, la France vient de mourir pour la seconde fois, par Yves Gignac
Adieuà l'Indochine, par Marcel Grancher
L'Occident de l'Ouest et l'Occident de l'Est, par JEAN gRANDMOUGIN
Ce qu'il n'est plus permis d'ignorer, par Pierre Gripari
Le discours du Président, par Marcel Haedrich
Le grand souffle apaisant, par Philippe Héduy 

...  


Le mot culture, par Roger Holeindre 

...  


Les causes profondes du drame indochinois, par Christian Lagrave 

...  


Le message de Léonidas, par Jean-Marie Le Pen 

...  


Réactions, par Jacques Ploncard d'Assac 

...  


La pagode assiégée, par Jean Raspail 

...  


Après leur longue marche, les Khmers rouges libèrent Landivisiau, par Saint-Paulien 

... 

Une grande honte pour toute la terre, par Michel de Saint-Pierre 

... 

Voici le temps du réveil, par Général André Zeller.
...
TitreChant funèbre pour Pnom Penh et Saïgon
Auteur COLLECTIF
ÉditeurS.P.L
Date de parution1 juillet 1975
Nb de pages432
EAN 130000007357527
Épaisseur (en mm)26
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)235
Poids (en Kg)0.53
Critique du libraire
92 auteurs donnent leur sentiments et témoignage au lendemain de la chute de Saïgon (le 1er mai 1975) tombée aux mains de la barbarie communiste. Parmi eux nous remarquons : A. Argoud, E. Bergot, F. Bluche, P. Chaunu, J.-F. Chiappe, G. de Diesbach, A. Figueras, R. Gaucher, R. Holeindre, Général Jouhaud, J.-M. Le Pen, J. Ploncard d´Assac, J. Raspail, J. Soustelle, P. de Villemarest...
Les avis clients
Khmers rouges.
5/5 Lectures Françaises / 1975.
.----. PNOM PENH. -- Abandonnés par Washington, les républicains cambodgiens ont été écrasés par les Khmers rouges. L'épuration, qui suit toute prise du pouvoir par les communistes, a commencé. Des listes de " traitres " et de " super-traîtres " sont publiées. Le prince Sihanouk a cru devoir ajouter à ces listes les noms de 21 " criminels de guerre ", membres du gouvernement, généraux, sénateurs. ( numéro 217 - mai 1975 ).
Un écho de 1966 .
5/5 Lectures Françaises .
.----. " Idées et réalités " (2-9) souligne tout ce qu'il y a de malhonnête dans le discours que le général De Gaulle a prononcé à Pnom-Penh. Il " adopte, écrit notre confrère belge, les thèses communistes, en les présentant avec plus d'hypocrisie et en y ajoutant le mensonge de son amitié pour les Etats-Unis (...) De Gaulle n'a soufflé mot ni du Nord-Vietnam, ni de la Chine. L'injustice de ces propos était tellement flagrant-e qu'un communiqué publié le lendemain vendredi, par les deux compères De Gaulle et Sihanouk, corrigeait le discours de l'illustre " général " en parlant " des puissances étrangères ( au pluriel ) qui s'affrontent au Vietnam ". ( numéro, 113-114, septembre-octobre, 1966 ).
Surprise.
5/5 Jean Saumur 49.
Je suis surpris que votre présentation actuelle n'insiste pas sur le très bon texte de votre collaborateur : Christian Lagrave; c'est même - à mon point de vue - le meilleur !
Souvenirs ... !
3/5 LoongAlain91
.----. On était le 30 avril 1975. A Tan-Son-Nhut, au camp des paras, ce qui restait d'une brigade et des isolés étaient commandés par des officiers qui avaient servi dans les B.E.P., les Bataillons Étrangers Parachutistes, du temps des français. - "Quand on est soldat, ont-ils dit, on est fait pour obéir et on est fait pour mourir quand il n'y a plus que cela à faire…" Le propos a été réellement tenu. Cela ne peut pas s'inventer. Cela a été entendu par un soldat français qui le rapporte. Et l'un d'eux ajouta : - "Aujourd'hui c'est Camerone. Alors on fera Camerone !" - "On fera Camerone", dirent quelques uns. Et ils l'ont fait. Une quinzaine de jours plus tard, des bulldozers raclèrent ce qui restait des cadavres ; il y en avait des centaines ; on les mis en tas ; on les arrosa d'essence ; on les brûla ; la fumée s'éleva longuement dans le ciel chargé de la mousson proche ; ils n'ont pas reçu les honneurs funèbres ; ils n'auront pas de tombeaux comme les nôtres, au vieux cimetière tout proche où parfois une fille vietnamienne vient déposer une fleur en se promenant parmi les stèles, disant : "Nous sommes entre amis.". Le vent emporta leurs cendres : leur esprit est dans l'air du Viêt-Nâm ; il y demeurera suspendu ; il entretiendra ce parfum d'honneur et de liberté qui, lui, ne saura mourir et qui rejaillira parmi les jeunes aujourd'hui courbé sous le joug dans un esclavage sans merci. Ils ont fait Camerone à la française.