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N°170 Avril 1991 - J Bainville, Jeanne d´Arc, la Vendée militaire

Référence : 64891
Date de parution : 1 avril 1991
EAN 13 : 0000364500000
Nb de pages : 32
3.50
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Description
Sommaire : 
  • Editorial : La dernière leçon de Jacques Vier 
  • Mon souvenir de Jacques Vier, par J.A.  
  • La sagesse de Jacques Bainville, par Jean-Baptiste Geffroy.  
  • Bainville ou d'une politique réelle et nationale, par Olivier Figueras  
  • Jeanne d'Arc et Charles VII, par Yves Griffon  
  • Nous avons reçu, par Jean Auguy  
  • De pourpre et d'or. Les conquêtes de la gloire de Pierre Dufour, par Henri Servien  
  • Fascinante Vendée... Ou comment je suis devenu historien, d'Emile Gabory, par C. Lagrave  
  • La Contre-Encyclopédie
  • - Duc d'Angoulême
    - Le Bas-Briacé.
    TitreN°170 Avril 1991 - J Bainville, Jeanne d´Arc, la Vendée militaire
    Auteur LECTURE ET TRADITION
    ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
    Date de parution1 avril 1991
    Nb de pages32
    EAN 130000364500000
    Épaisseur (en mm)3
    Largeur (en mm)150
    Hauteur (en mm)210
    Poids (en Kg)0.05
    Critique du libraire
    Editorial (extrait) :
    Jacques Vier nous a donc quittés dans la nuit du 3 au 4 février. Les belles lettres et la critique littéraire et nous tous ses fervents admirateurs sommes un peu orphelins. Nous ne reviendrons pas sur sa personnalité et sur son oeuvre que nous avons longuement et récemment évoquées dans le numéro de décembre dernier de notre revue, sauf à rappeler à nos lecteurs qu'il leur resteà faire ce que beaucoup parmi eux n'ont pas encore fait, acquérir, lire et faire lire les beaux livres de Jacques Vier. Nous voudrions seulement que son souvenir et son exemple fussent d'une certaine manière l'occasion de tirer une leçon pour le combat des idées.
    L'agression quasi-permanente que le monde actuel constitue pour nos traditions intellectuelles, nous fait ressentir d'une façon plus tangible la redoutable vacuité occasionnée par la mort de Jacques Vier. Les rubriques nécrologiques sont hélas! chez nous, dans le combat des idées, plus fréquentes que les bulletins de naissance. La source des maîtres se tarit et les remplaçants se font rares. Il est tout de même inquiétant que des hommes comme Jacques Vier n'aient en fin de compte suscité que peu d'émules. La raison en est simple. Nos générations étiques s'effraient devant les promesses d'efforts et de sacrifices que représente une carrière universitaire : sept ou huit ans d'études supérieures, l'agrégation, la thèse, l'enseignement, la recherche et parfois les tâches administratives. De plus l'Université libéral-socialiste n'offre aujourd'hui aux siens que des moyens dérisoires de travail, pour ne former que des générations de quasi-analphabètes. Je ne parle même pas des traitements sordides (je dis bien sordides eu égard au parcours du combattant que représente l'accession à une chaire universitaire) qui ne sauraient que rebuter une jeunesse trop encline à faire prévaloir la rémunération sur l'intérêt du travail. Ni le talent d'hommes comme Jacques Vier, ni tout ce qui pouvait émaner de leur personnalité ne peuvent, dans de telles circonstances, facilement générer. une postérité très nombreuse.