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Diurnal romain latin-français - 2-18756

Référence : 74214
3 avis
Date de parution : 27 juin 2014
Auteur : ANONYME
Éditeur : IRIS (EDITIONS)
EAN 13 : 9782940465217
Nb de pages : 1260
81.00
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Description
Offices du jour en latin et en français : de Laudes à Complies. Psaumes tirés de la Vulgate, deux colonnes. Papier de couleur crème. Couverture reliée souple en cuir noir avec 6 signets et tranche dorée.
Contient en outre le Petit Office de la sainte Vierge dans son intégralité, bilingue lui aussi (Matines comprises).
TitreDiurnal romain latin-français - 2-18756
Auteur ANONYME
ÉditeurIRIS (EDITIONS)
Date de parution27 juin 2014
Nb de pages1260
EAN 139782940465217
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)30
Largeur (en mm)125
Hauteur (en mm)190
Poids (en Kg)0.55
Critique du libraire
Diurnal conforme au code des rubriques de 1960.    
Les avis clients
DIURNAL ROMAIN LATIN-FRANÇAIS
5/5 Una Voce n 307 mai juin 2016 p 32
Depuis le Concile Vatican II, les tentatives pour rendre accessible au peuple de Dieu le vénérable Breviarium romanum se sont multipliées. Dès 1971 paraissait la 1ère édition de Liturgia Horarum juxta ritum romanum. Plus récemment la Communauté Saint-Martin publiait la Liturgia Horarum, avec partitions musicales (240 €). Mais il s'agit de la liturgie conciliaire avec tous ses aspects contestables, notamment la récitation du psautier sur quatre semaines (au lieu d'une), omission de certains psaumes, réduction des quatre petites heures à une seule, etc. Si nous ajoutons à ces faiblesses des traductions issues notamment de la TOB, nous ne pouvons que regretter cette rupture avec treize siècles de tradition et nous reviendrons au code des Rubriques d'avant ce Concile. Un Diurnal monastique avait été publié en 2002 par les Éditions Sainte-Madeleine du Barroux, mais il suivait, comme son nom l'indique, le Bréviaire de l'Office bénédictin. Il répondait à un besoin et nous en avons usé durant plus d'une décennie. Il a rendu grand service aux fidèles qui désiraient s'associer à la prière du Clergé et qui n'étaient pas latinistes. Je pourrais aisément étendre ce lectorat à certains prêtres diocésains qui n'ont hélas pas eu de formation suffisante dans l'apprentissage de la langue de l'Église (c'est un euphémisme !). Un ami posa un jour cette troublante question : « Imagine-t-on un pays qui n'enseigne pas sa langue à l'école ? » Le choix des saints, principalement de l'ordre bénédictin, nous procurait une dimension hagiographique supplémentaire appréciable. Mais les textes différaient souvent de la liturgie romaine. Il suffit de comparer la fête de saint Joseph Artisan du 1er mai que nous vous avons présentée dans le dernier numéro. Il faut arriver à l'hymne des deuxièmes vêpres, "Te Joseph celebrent" pour trouver un texte commun avec celui que nous offre le présent Diurnal. Tout le reste appartient au rit monastique bénédictin, ce que nous nous garderons de reprocher à nos moines et moniales ! Un bréviaire latin/langue vernaculaire était disponible aux Éditions Baronius, mais c'était au bénéfice de la langue anglaise ! Il était très complet (6 064 pages en rouge et noir, superbement présentées). J'ai entendu dire qu'il existait un bréviaire latin/français édité par l'association "Fort dans la Foi" dans les années quatre-vingt, mais il a vite disparu avec ladite association. Le Diurnal édité par les Éditions Iris que nous vous présentons n'aura pas suscité l'intérêt de la presse catholique (excepté "L'Homme Nouveau"). Il est d'un format que l'on pourrait qualifier de poche. Sans être luxueux, l'on sent une excellente qualité de confection, avec une couverture souple en cuir et reliée, une tranche dorée, un beau papier crème. Nulle préface ! Nous attaquons à la première page la belle prière avant l'office divin : "Aperi Domine, os meum ad benedicéndum nomen sanctum tuum". Avec bien sûr sa traduction : "Ouvrez, Seigneur ma bouche, pour qu'elle bénisse Votre saint nom..." (avec vouvoiement et majuscules de rigueur !) Les six signets ne seront pas de trop pour bien séparer et retrouver les différents chapitres. D'abord le Temporal, puis le Psautier du Bréviaire romain (excellente traduction de Fillion), suivi du Sanctoral (Propre des saints) et enfin du Commun des saints Apôtres, Souverains Pontifes, Martyrs etc. Le Commun de la Sainte Vierge au samedi s'achève par le Petit office de la Bienheureuse Vierge Marie que nous n'attendions pas dans semblable ouvrage et est une agréable surprise : 28 pages bilingues en l'honneur de notre Reine du Ciel, avec même les matines ! L'ouvrage se termine par un appendice comportant les sept psaumes de la pénitence, quelques prières tirées du Missel romain (préparation de la messe, action de grâces, agonisants, litanies). C'est donc de laudes à complies que le fidèle peut suivre la liturgie des Heures. L'office des matines eût exagérément chargé ce manuel. Un Diurnal n'est d'ailleurs pas un psautier. Il est une évidence que si l'on ne récite que les heures du jour, nul besoin des psaumes de nuit ! Pour conclure, nous avons là, pour la première fois, un diurnal bilingue conforme aux rubriques antéconciliaires avec une traduction qui a fait ses preuves puisque c'est la Vulgate. Un ouvrage à mettre dans les mains de tout catholique, clerc ou laïc, désireux d'accéder à ce trésor qu'est le bréviaire et à pénétrer plus profondément dans les insondables beautés de notre liturgie romaine ! <p align="right">Patrick Banken <a href= http://www.unavoce.fr/ target=_blank>www.unavoce.fr</a>
Parfaitement réussi !
5/5 L'homme nouveau.
.----. Prier la liturgie des Heures selon la liturgie traditionnelle, Est-ce possible ? Il y avait jusqu'ici le DIURNAL MONASTIQUE des éditions Sainte-Madeleine. Il y a désormais ce DIURNAL ROMAIN, latin-français, qui est utilisé par les personnes, clercs ou laÏcs, voulant prier l'office dans le cadre et la spiritualité de la forme extraordinaire du rite romain. . ****** . D'un format de poche, ce diurnal qui comprend donc toutes les heures du jour, de laudes à complies, est parfaitement réussi. Lisible, utilisant les couleurs noir et rouge, il offre à la fois le texte des offices eux-mêmes ainsi que le propre du temps, le sanctoral et les différents communs. Les renvois sont clairs et faciles à comprendre pour qui débute dans la récitation de l'office. Les signets de couleurs différentes sont suffisants pour marquer les pages et la couverture, reliée et souple, permettra de conserver longtemps ce livre de prières. Ajoutons que ce diurnal comprend également le " Petit Office de la Sainte Vierge " complet, en latin-français lui aussi. En priant au rythme de l'Eglise, les fidèles trouveront dans ce livre le soutien à leur vie spirituelle. A quand l'équivalent pour matines ? [ signé Stéphen Vallet dans le numéro 1600 - 24 octobre 2015 de " L'homme Nouveau " ].
diurnal romain
2/5 Jean
Quelques regrets : -une typographie inégale qui ne facilite pas la lecture. -des traductions française d'hymnes qui utilisent le tutoiement ce qui est pénible.