Les Français n'accepteront plus cela L'islamisation est galopante, les hommes politiques l'accompagnent. Monsieur Valls a dit, face à la radicalisation, il faut, je cite, "un islam fort. À chaque fois qu'il y a un attentat, on cherche les "islamophobes" pour les culpabiliser. Il y a un moment donné où les Français n'accepteront plus cela. Et donc l'islamisation de la France va provoquer un phénomène de résistance.
« On n'y est pas pour l'instant. Tout le monde se terre, tout le monde se tapit. On a peur parce qu'il y a une judiciarisation des pensées et des arrière-pensées, mais le temps va venir où le laïcisme d'un coté et l'islamisation de l'autre vont réveiller la France chrétienne. Aujourd'hui, les autorités politiques, spirituelles, morales sont toutes orientées vers « l'Accueil de l'Autre » et le Vivre-Ensemble, c'est à dire en fait la fin de l'Europe, la fin de l'Europe chrétienne.
Pour être chrétien aujourd'hui il faudrait « faire rentrer des migrant-s ». Ce qui veut dire « faire rentrer l'islam ».
Ce sont des inconscients. Ils se trompent. Aujourd'hui, la première des charités, c'est de fixer là où ils sont ceux qui ne doivent pas être des migrants, parce que ce n'est pas faire leur bonheur que de les déraciner.
On leur vend du rêve et le rêve se termine par un cauchemar.
Parmi les migrants, évidemment, il y a les terroristes dissimulés.
Donc la première de toutes les charités, c'est l'enracinement.
Et la deuxième charité, c'est de se préoccuper de son voisin, et de se préoccuper de sa famille. Il y a une famille qui est la famille des familles et qui s'appelle la nation.
[...] Nous sommes au début d'une guerre, c'est une guerre sur notre territoire, c'est la guerre parce que l'islam nous fait la guerre. Et je ne leur en veux même pas parce que c'est dans le Coran, ils appliquent le Coran, c'est une lecture littérale du Coran. Dans le Coran, il est dit : il y a le Dar-al-islam, où est la paix, c'est à dire là où ils sont, en Orient, où ils éradiquent les derniers lambeaux de christianisme, ce qu'ils appellent les Nazaréens.
Et puis il y a le Dar-el-harb, qui est le territoire de la guerre, là où il faut porter le djihad parce que le monde entier doit se soumettre à Allah.
C'est dans le Coran. Et ils appliquent le Coran. Et face à des gens qui appliquent le Coran, on a des inconscients et des collabos de toutes sortes, comme toujours, ce que l'on appelle aujourd'hui, ce que les islamistes appellent des dhimmis, et les dhimmis, sont condamnés à la dhimmitude, Houellebecq avait raison, il a sorti son livre, "Soumission", le jour des attentats de Charlie Hebdo.»
Savoir, n°117, septembre 2016. - 11/10/2016
Un livre boussole. Un manuel de survie. .----. Comme une gifle. On a beau se cogner chaque jour contre la réalité de l’immigration et de l’islam – les deux tiers des enfants des écoles publiques de ma ville de Béziers sont issus de l’immigration –, on sort comme assommé de la lecture de Les cloches sonneront-elles encore demain ? Que nous dit, en effet, Philippe de Villiers que les autres éludent ou taisent ? Que nous serons submergés. Que cette immigration de peuplement a été organisée, voulue. Que l’islam n’est pas compatible avec notre République. Que la violence lui est intrinsèque. Que notre classe politique a trahi, a « viré de bord », qu’elle « pratique l’intelligence avec l’ennemi. Elle espère encore passer entre les gouttes. Les gouttes de sang français. » Et de dénoncer, sans gants, sans ménagement, sans prudence — car il n’est plus temps —, un « Munich migratoire », la « position du soumissionnaire » adoptée par la haute administration et bon nombre d’évêques, la dhimmitude devant le « grand dérangement » des compagnons de route (du communisme hier, de l’islamisme aujourd’hui), d’Alain Badiou à Philippe Sollers. Maire d’une ville qui paie un tribut insupportable à ce « néocolonialisme à l’envers », les propos de Philippe de Villiers me touchent, me soulèvent, me bouleversent. Et, je veux le dire, me mettent les larmes aux yeux : « Toutes ces vieilles églises de pierre malade et ces cloches ancestrales qui ne sonnent plus appartiennent malgré tout à la personnalité française. Nul ne peut en disposer. Elles mettent chaque jour en nos humeurs si changeantes un peu de pérennité. Elles sont la haute mémoire de “ce cher et vieux pays”. C’est pourquoi il ne faut pas y toucher. Il ne faut pas déranger nos paysages intimes. C’est la civilisation. La nôtre. Elle n’est pas échangeable. On ne peut pas la troquer contre une autre, comme une liquette. » Oui, comme le fondateur du Puy du Fou – cet appartement témoin de la France que nous revendiquons —, je veux continuer à rêver d’un pays qui nous ressemble, à me réclamer d’une histoire que je chéris. Même si ces rêves n’ont pas l’heur de plaire à ces journalistes-gardes-chiourme et ces préfets-proconsuls qui nous font, qui me font une guerre de tous les jours. Philippe de Villiers, à lui seul, est œuvre de salubrité publique. Parce qu’il remet en perspective, parce qu’il est animé d’un souffle salvateur, parce qu’il manie les mots comme une hache pour se faire un chemin dans la jungle des idées reçues. Un souffle qui vous prend aux tripes : « Oserai-je l’avouer ?, écrit-il, Il m’arrive, certains soirs, de vagabonder vers les temps interdits par l’historiquement correct, vers les époques bannies par la censure officielle et de repartir aux croisades. J’aime cette France-là, de lumière vive et de tendresse rugueuse, qui ne doute pas et qui, pendant des siècles, a nourri les grandeurs intimes du poème français. » Mais, vite, il nous faut quitter le pont du Titanic et sonner les cloches. Pas pour le glas, écrit Philippe de Villiers, mais pour le tocsin. Et de rappeler les mots du général de Gaulle confiés à Malraux : « Nous sommes les derniers Européens de l’Europe, qui fut la chrétienté. » Il n’est pas trop tard. À condition de ne pas se contenter de lire Philippe de Villiers mais de le prendre au mot. Et de se battre. Un livre boussole. Un manuel de survie. [ Robert Ménard sur Boulevard Voltaire le 25/10/2016 ]
Robert Ménard / Boulevard Voltaire. - 25/10/2016
Titus donne son avis sur Villiers à Nantes . .----. Superbe manifestation patriotique à ne pas manquer. A propos de Philippe de Villiers, on a pu regretter qu'il ne revienne pas en politique de façon traditionnelle. Mais son travail de "lanceur d'alerte" est finalement plus important. Avez-vous entendu un (ou une) postulant à la présidentielle dire que l'Islam visible devrait être interdit en France ? Non, lui le dit, l'écrit, et le justifie dans LES CLOCHES SONNERONT ELLES ENCORE DEMAIN. Ce bouquin est le plus utile des cadeaux à faire pour Noël.
Superbe manifestation patriotique à ne pas manquer. A propos de Philippe de Villiers, on a pu regretter qu'il ne revienne pas en politique de façon traditionnelle. Mais son travail de "lanceur d'alerte" est finalement plus important. Avez-vous entendu un (ou une) postulant à la présidentielle dire que l'Islam visible devrait être interdit en France ? Non, lui le dit, l'écrit, et le justifie dans LES CLOCHES SONNERONT ELLES ENCORE DEMAIN. Ce bouquin est le plus utile des cadeaux à faire pour Noël;
TITUS • il y a un jour
Superbe manifestation patriotique à ne pas manquer. A propos de Philippe de Villiers, on a pu regretter qu'il ne revienne pas en politique de façon traditionnelle. Mais son travail de "lanceur d'alerte" est finalement plus important. Avez-vous entendu un (ou une) postulant à la présidentielle dire que l'Islam visible devrait être interdit en France ? Non, lui le dit, l'écrit, et le justifie dans LES CLOCHES SONNERONT ELLES ENCORE DEMAIN. Ce bouquin est le plus utile des cadeaux à faire pour Noël;
Breizh-info / décembre 2016. - 09/12/2016