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En terrasse avec Cicéron

Référence : 96443
2 avis
Date de parution : 12 avril 2018
EAN 13 : 9782251447933
Nb de pages : 157
15.90
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Description
"Une conversation entendue, un jour à midi, à l'heure de l'apéritif, à la terrasse d'un bar, à Corte, ressemblait comme une petite sœur aux conversations que Cicéron a relatées dans nombre de ses ouvrages, surtout dans les Tusculanes.
Cicéron parle avec les morts et fait parler les morts. De là à l'inviter dans mon village, à Vivario où, comme dans toutes les îles de la Méditerranée, les morts ne nous quittent pas, il n'y avait qu'un pas que nous avons vite franchi.
Et nous avons eu neuf nuits - qui font les neuf chapitres de ce livre - où nous avons parlé de la vieillesse et de la mort, de la souffrance et du bonheur, de la politique et du gouvernement, de la richesse et de la gloire, et, surtout de la patrie et de l'amitié.
Cicéron, comme tous les grands anciens,
"déployait comme une aile
"la ferme volonté de sa vie éternelle."
Seule l'éternité est vraiment présente à tous les temps." 
TitreEn terrasse avec Cicéron
Auteur TREMOLET DE VILLERS (Jacques)
ÉditeurBELLES LETTRES (EDITIONS)
Date de parution12 avril 2018
Nb de pages157
EAN 139782251447933
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)15
Largeur (en mm)122
Hauteur (en mm)196
Poids (en Kg)0.18
Critique du libraire
Un pur moment de plaisir avec ces conversations entre Cicéron et... Me Trémolet de Villers ! Une petite lecture d'été saine, distrayante et enrichissante sur les grandes questions essentielles ; l'Antiquité répond à l'actualité !
Les avis clients
Cicéron, notre mécontemporain
5/5 L'homme nouveau .
.----. Assurément, il faut être poète pour déceler à travers le temps, ou au-delà même du temps, les résonances profondes qui trouvent des échos en chacun d’entre nous. Plus encore, faut-il être poète pour convoquer à sa table une figure des anciens temps et dialoguer avec elle comme si de rien n’était. Ou presque !… C’est en quelque sorte ce que vient de réaliser Jacques Trémolet de Villers avec son petit et séduisant En terrasse avec Cicéron. Que nous propose-t-il dans ce nouveau livre ? Ni plus ni moins que d’entrer en dialogue avec Marcus Tullius Cicero que nous connaissons mieux sous le nom de Cicéron. Rhéteur et orateur célèbre, philosophe et homme d’État, écrivain prolifique, Cicéron ne pouvait que retenir l’attention de l’avocat français dont la chaleur du verbe et la pensée ont séduit nombre de personnes. Si l’on y ajoute la Corse, l’une des terres de l’auteur, on a les ingrédients nécessaires à la confection d’un livre qui réussit le pari difficile de relier l’Antiquité romaine à notre aujourd’hui. Mais, pourquoi en terrasse, se demandera-t-on ? Tout simplement parce qu’un dialogue est souvent déterminé par son lieu et que la terrasse d’un « estaminet » est encore dans quelques endroits privilégiés un lieu de vraie vie sociale, d’échanges et de mélanges. Lors de neuf nuits, l’avocat romain et l’avocat français se sont entretenus de sujets essentiels à la vie humaine. Non pas tant de la hausse du pétrole que de la mort et de la gloire. Non pas essentiellement du monde de la communication et des réseaux sociaux que de la politique, de la patrie et de l’amitié. La philosophie habite tout entier ce livre, mais une philosophie, non pas digérée, mais mise à la portée des lecteurs par la magie des dialogues. « La philosophie, déclare d’ailleurs Cicéron au début du chapitre VIII, est la médecine de l’âme. » Encore faut-il vouloir se soigner et pour se faire être au préalable conscient de sa propre détérioration. On sent justement, à la lecture de ce petit livre, que nous n’y échappons pas dans notre condition d’homme moderne. Certes, le but affiché de l’auteur consiste à nous familiariser avec Cicéron l’oublié, à goûter sa pensée et ses œuvres dans lesquelles a été puisée chacune des réponses qu’il apporte dans ces dialogues. Mais l’un des effets collatéraux est peut-être de nous transmettre la nostalgie de la sagesse et l’appétit des Humanités, à travers lesquelles se transmettent non pas seulement un patrimoine et le sens du beau, mais également cette expérience humaine qui nous manque tant. Certes, il y a là comme une prise de position dans le grand affrontement contemporain, entre ceux qui postulent le changement perpétuel et ceux qui, sans nier l’existence du changement, entendent défendre les permanences. De Cicéron à aujourd’hui, l’homme a changé, mais la nature humaine est restée la même. Prenez chacun des neuf dialogues de ce livre, de ces échanges entre l’auteur et Cicéron, sans oublier leurs amis respectifs, et vous constaterez que Marcus Tullius Cicero, tout romain qu’il fut, est notre « mécontemporain », pour parler comme Péguy dans Victor-Marie, comte Hugo. Ni de son époque, ni de la nôtre, mais de toutes, finalement. Vous vouliez une raison, une seule, de lire ce livre ? La voici ! [ Rédigé par Philippe Maxence le 11 mai 2018 pour " L'homme nouveau " ]
Plaire, instruire, émouvoir !
5/5 Plaisir de Lire .
.----. Dans les propos échangés sous l'ombrage d'une terrasse corse, l'auteur saisit " une résonance " en écho aux conversations relatées par Cicéron, cet immortel, modèle des avocats. Ainsi s'est dessiné cet essai original qui sera ce reportage-fiction de quelques soirées imaginaires où morts et vivants bavardent en voisins. Leurs échanges familiers abordent tour à tour les thèmes communs à tous les temps et à tous les âges : le bonheur, l'amitié, la chose publique, la justice... Ces quelques brefs, aisés, clairs atteignent leur but : " plaire, instruire, émouvoir ", et peut-être aussi convaincre. POUR QUI CE LIVRE ? Accessible à tous dès le lycée, ce bref essai peut éveiller agréablement les souvenirs des études passées ou sera l'opportunité d'une découverte et une initiation à l'art de converser. [ Numéro 186 - Décembre 2018 de " Plaisir de Lire " ( 57 route Nationale - 80160 - Flers-sur-Noye ) Cette petite revue trimestrielle est dirigée par Marie de l'Aubier ; elle a pour sous-titre : Littérature et vie chrétienne et parait depuis 1966 ) Vous pouvez demander un spécimen de la part de " Chiré " }]