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Qui a tué le maire de Paris ? - Roman

Référence : 112734
1 avis
Date de parution : 25 février 2020
EAN 13 : 9782363713230
Nb de pages : 256
18.00
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Description
Le maire de Paris, bâti comme un dieu, est un menteur providentiel dont le programme électoral irradie une admirable fraternité républicaine. Verdie à souhait : il a la haine de l'automobile et la passion des poumons clairs. Il veut imposer bonheur et santé à tous ; trottinette et bicycle sont ses chevaux de bataille. Pourtant, cinq Parisiens, aussi banals que vous et moi, et qui ne se connaissent pas, se mettent à caresser le projet de l'assassiner.
Ils ont, chacun, une bonne ou une mauvaise raison de vouloir hâter le décès de l'élu. Et voilà que le maire disparaît... A la fois thriller et charge humoristique contre nos politiciens, ce roman est évidemment une fiction. Chaque lecteur, toutefois, pourra s'y retrouver.  
Philippe Colin-Olivier, auteur d'une douzaine de romans - dont Corps d'élite et Blanche neige aux éditions Pierre-Guillaume de Roux - aime à s'amuser des ridicules de notre époque. Il cultive, selon les critiques, un sens aigu du burlesque et de limage drolatique, un art consommé des dialogues incisifs... à retrouver dans ce nouvel opus pour notre plus grande délectation.
TitreQui a tué le maire de Paris ? - Roman
Auteur COLIN-OLIVIER (Philippe)
ÉditeurPIERRE GUILLAUME DE ROUX (EDITIONS) (PGDR)
Date de parution25 février 2020
Nb de pages256
EAN 139782363713230
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)18
Largeur (en mm)195
Hauteur (en mm)123
Poids (en Kg)0.26
Les avis clients
Jeu de massacre !
3/5 Présent .
.----. Ecrivain prolifique, publiant presque chaque année un roman (faussement) policier, Philippe Colin-Olivier choisit avec délectation ses têtes de turc .Le monde du cinéma avec L'Actrice (2008), celui du nucléaire (Le Bal des débutants,2013), les requins de l'art (Tableaux d'honneur, 2010), voire l'Elysée, avec Un bon président en 2003 et Corps d'élite en 2016 . Pour l'édition 2020, c'est la mairie de Paris qui est à la fête, avec un premier magistrat qui ne s'appelle pas Benjamin " Grivois ", l'impression du livre ayant précédé l'abracadabrantesque explosion en vol de celui-ci, mais Jean-Jacques Navalo . Lequel cumule les tares du tandem Hidalganoë et celles de Christian Estrosi avec un zeste de DSK, ce qui lui vaut de solides inimitiés et finalement la mort . Ce roman, fort amoral puisque l'assassin déjoue tous les pièges, est d'abord un portrait accablant du personnel politique, avec sa soif de l'argent et sa passion pour les faux semblants, les jeux de rôles et le happening permanent . Bonne lecture en attendant, le 15 ou le 22 mars, le résultat des municipales . [ Deux extraits d'un article " Jeux de massacre à la mairie de Paris " signé Camille Galic dans " Présent " , numéro 9557 du 20/02/2020 ]