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De l´universalité de la langue française

Référence : 1060
3 avis
Date de parution : 5 novembre 2014
Collection : GF LITTERATURE
EAN 13 : 9782081339095
Nb de pages : 144
6.00
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Description
"Sûre, sociale, raisonnable, ce n'est plus la langue française, c'est la langue humaine." Rivarol
TitreDe l´universalité de la langue française
Auteur RIVAROL (Antoine de)
ÉditeurFLAMMARION (EDITIONS)
Date de parution5 novembre 2014
Nb de pages144
CollectionGF LITTERATURE
EAN 139782081339095
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)110
Hauteur (en mm)178
Poids (en Kg)0.12
Les avis clients
Hugo / Rivarol .
5/5 Hugothérapie .
.----. Si j'ajoute que Rivarol est à la fois contre les immortels principes et contre l'obscurantisme et qu'il est mort en exil, vous voyez quelle âme sœur j'ai découverte là ! Et c'est à cet idiot pyramidal de Victor Hugo qu'on a foutu des places, des avenues et des avalanches de citations dans les morceaux choisis ! [ Lettre écrite par Pierre-Antoine Cousteau à sa femme le 14 novembre 1947 ; lettre que vous pouvez lire dans " Hugothérapie " , à l'époque Cousteau " séjournait " à Clairvaux ].
Langue éblouissante .
5/5 P.-A. Cousteau / Lettre à sa femme .
.----. Tout ce qu'il fallait dire sur les grands ancêtres, sur les immortels principes, Rivarol l'a dit. Et il l'a dit en journaliste, au jour le jour avec un sens de la prophétie peu commun chez les écrivains politiques. Facile aujourd'hui de voir les conséquences de la chose, mais lui, il écrivait au moment où on prenait la Bastille et où tout le monde s'en réjouissait. Et il voyait exactement ce qui en découlerait. Et il le disait dans cette langue éblouissante du XVIIIè siècle que nul ne peut plus imiter, avec autant d'esprit que Voltaire, plus peut-être même : un Voltaire rodé, déniaisé pat les événements. ( suite ).
J'ignorais Rivarol ! ( Hugothérapie ).
5/5 P.-A Cousteau / Lettre à sa femme .
.----. Je suis depuis deux jours dans une sombre rage contre moi-même et contre les pâles idiots qui m'ont distribué l'instruction laïque et obligatoire. Mais surtout contre moi-même car ça serait trop facile de rejeter l'exclusion d'un pareil scandale sur les seuls barbichus des chaires de littérature. Donc, à 41 ans révolus, moi qui suis par définition un intellectuel, j'ignorais Rivarol, je n'avais pas lu Rivarol !!! Incroyable ! Monstrueux ! Et il a fallu la bibliothèque de Clairvaux pour que cette lacune se comblât ! Si j'étais mort sans avoir lu Rivarol, je ne me le serais jamais pardonné. ( lettre du 14 novembre 1947, Cousteau " séjournait " à Clairvaux à la suite des procès de la Libération. )